CHAPITRE 7 : Trois jours et trois nuits

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CHAPITRE 7 : Trois jours et trois nuits

L’un des événements les plus importants et encourageants de tous les temps fut la résurrection de Jésus-Christ. Dieu le Père ressuscita Son Fils unique, Jésus-Christ, qui avait été tué et placé dans une tombe à l’extérieur de Jérusalem. Sa mort, permise par le Père et à laquelle Jésus se soumit de plein gré (Jean 10:17-18), paya le salaire des péchés de tous les êtres humains ayant jamais vécu. La condition est toutefois qu’ils se repentent sincèrement de leurs péchés. Sa mort fut prévue par le Père et par Jésus-Christ Lui-même avant la fondation du monde comme un élément essentiel au salut de l’humanité (1 Pierre 1:20).

Dieu, dans Sa justice, Sa miséricorde et Son amour souverains, rendit possible pour tous les êtres humains d’avoir leurs péchés pardonnés (sous condition de repentir et de foi) et d’être réconciliés avec Lui par le sang du Christ, l’Agneau de Dieu (Matthieu 26:28 ; Apocalypse 12:11). (Voir le chapitre intitulé « Le sacrifice de Jésus-Christ ») Mais la mort de Jésus-Christ n’est pas tout. Si nous sommes réconciliés avec Dieu par la mort de Jésus, c’est par sa vie que nous serons sauvés (Romains 5:10).

C’est seulement par la résurrection du Christ à l’immortalité que nous pouvons avoir un Sauveur vivant qui, en tant que Souverain Sacrificateur, intercède auprès du Père en notre faveur (1 Timothée 2:5 ; Hébreux 4:15-16 ; Romains 8:26-27). C’est seulement parce que Jésus-Christ fut ressuscité des morts que les êtres humains ont une raison de croire en l’Évangile du royaume de Dieu et de croire qu’ils peuvent être sauvés de la mort éternelle (1 Corinthiens 15:14-19). Sa résurrection est le fondement solide qui permet aux êtres humains de vivre dans le ferme espoir de pouvoir eux aussi, hériter la vie éternelle (1 Pierre 1:3).L’un des événements les plus importants et encourageants de tous les temps fut la résurrection de Jésus-Christ. Dieu le Père ressuscita Son Fils unique, Jésus-Christ, qui avait été tué et placé dans une tombe à l’extérieur de Jérusalem. Sa mort, permise par le Père et à laquelle Jésus se soumit de plein gré (Jean 10:17-18), paya le salaire des péchés de tous les êtres humains ayant jamais vécu. La condition est toutefois qu’ils se repentent sincèrement de leurs péchés. Sa mort fut prévue par le Père et par Jésus-Christ Lui-même avant la fondation du monde comme un élément essentiel au salut de l’humanité (1 Pierre 1:20).

Dieu, dans Sa justice, Sa miséricorde et Son amour souverains, rendit possible pour tous les êtres humains d’avoir leurs péchés pardonnés (sous condition de repentir et de foi) et d’être réconciliés avec Lui par le sang du Christ, l’Agneau de Dieu (Matthieu 26:28 ; Apocalypse 12:11). (Voir le chapitre intitulé « Le sacrifice de Jésus-Christ ») Mais la mort de Jésus-Christ n’est pas tout. Si nous sommes réconciliés avec Dieu par la mort de Jésus, c’est par sa vie que nous serons sauvés (Romains 5:10).

C’est seulement par la résurrection du Christ à l’immortalité que nous pouvons avoir un Sauveur vivant qui, en tant que Souverain Sacrificateur, intercède auprès du Père en notre faveur (1 Timothée 2:5 ; Hébreux 4:15-16 ; Romains 8:26-27). C’est seulement parce que Jésus-Christ fut ressuscité des morts que les êtres humains ont une raison de croire en l’Évangile du royaume de Dieu et de croire qu’ils peuvent être sauvés de la mort éternelle (1 Corinthiens 15:14-19). Sa résurrection est le fondement solide qui permet aux êtres humains de vivre dans le ferme espoir de pouvoir eux aussi, hériter la vie éternelle (1 Pierre 1:3).

Comme seul signe divin qu’Il était « plus que Jonas » et « plus que Salomon », Jésus offrit à Sa génération à la fois le fait et les détails de Sa résurrection. Par ceci, Son message devait mener Son auditoire au repentir (Matthieu 12:39-42). Il déclara qu’Il serait trois jours et trois nuits — une période de 72 heures (Jean 11:9-10 ; Genèse 1:5) — dans le sein de la terre (la tombe), tout comme Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre du poisson (Jonas 2:1). Ailleurs, Il déclara qu’il fallait qu’Il soit « mis à mort, et qu’Il ressuscite trois jours après » (Marc 8:31).

Le problème que pose la croyance communément acceptée au sujet de la crucifixion et de la résurrection est qu’il n’y a pas trois jours et trois nuits entre l’après-midi du vendredi saint et le matin du dimanche des Pâques.

Le poids des preuves scripturaires et historiques nous permettent de conclure ce qui suit :

• Jésus mourut le mercredi après-midi.

• Il fut déposé précipitamment dans la tombe de Joseph d’Arimathée peu avant le coucher du soleil ce même après-midi — la veille d’un sabbat annuel (Jour Saint de repos), le premier jour des Pains sans Levain (Jean 19:30-31 ; Jean 19:42 ; Marc 15:42-46).

• Il fut ressuscité par le Père peu avant le cou cher du soleil le samedi, (à la fin du sabbat hebdomadaire) trois jours et trois nuits après avoir été mis dans la tombe, exactement comme Il l’avait dit.

Cette explication est cohérente avec les détails des Écritures. Elle ne nécessite pas de s’évertuer à faire tenir trois jours et trois nuits entre le vendredi soir et le dimanche en spéculant sur des parties de jour et de nuit. Elle concilie les récits des femmes et des aromates, que l’on trouve dans Marc 16:1 et Luc 23:56. Dans le premier récit, les femmes fidèles se reposèrent lors du jour de sabbat et après quoi elles se procurèrent les aro­mates. Dans le second récit, elles préparèrent les aromates et se reposèrent ensuite pendant le jour de sabbat.

Ces récits se complètent si on comprend qu’il y avait deux jours de sabbat au cours de cette semaine-là. Jésus fut crucifié le jour de la Pâque (Matthieu 26:18-20 ; 1 Corinthiens 5:7), qui était le jour de préparation d’un jour de sabbat qualifié de « grand jour » (Marc 15:42 ; Jean 19:31). Ce grand jour était le premier jour saint annuel du calendrier hébraïque, c’est-à-dire le premier jour des Pains sans Levain qui tombait toujours le lendemain de la Pâque (Lévitique 23:5-7). C’était un sabbat annuel et non un sabbat hebdomadaire. Les Jours Saints sont aussi appelés « sabbats » puisqu’aucun travail ne devait être fait pendant ces jours-là (Lévitique 23:7 ; Lévitique 23:24 ; Lévitique 23:32).

Les femmes attendirent la fin de ce jour de sabbat annuel, achetèrent et préparèrent les aromates, puis se reposèrent à nouveau lors du jour du sabbat hebdomadaire de Dieu, et se rendirent ensuite à la tombe le dimanche matin pour appliquer les aromates au corps de Jésus.

Elles visitèrent la tombe après les sabbats saints (pluriel) de cette semaine-là (Matthieu 28:1, traduction grecque originale). Le sabbat annuel, cette année-là, commençait à partir du coucher de soleil du mercredi et finissait au coucher de soleil du jeudi et le sabbat hebdomadaire allait du coucher de soleil du vendredi soir au coucher de soleil du samedi soir.

Quand elles arrivèrent à la tombe tôt le dimanche matin, elles la trouvèrent vide et entendirent l’ange annoncer que Jésus était vivant et ne se trouvait pas là (Marc 16:6).

Un nombre significatif de preuves historiques et scripturaires désignent l’an 31 comme l’année de la crucifixion et de la résurrection du Christ. Certaines d’entre elles sont l’accomplissement de la prophétie de Daniel concernant la venue du Messie (avec un décompte spécifique des années dans Daniel 9:24-26 commençant bien évidemment avec le décret du roi Perse Artaxerxés dans Esdras 7) et en faisant particulièrement attention à trois événements importants : la date probable de la naissance de Jésus, Son âge au début de Son ministère et la durée de celui-ci.

La Pâque à l’époque du Christ tombait le quatrième jour de la semaine (depuis le coucher du soleil du mardi soir au coucher du soleil du mercredi soir), et la mort de Jésus-Christ lors de ce jour remplit son rôle de véritable Agneau pascal de Dieu (1 Corinthiens 5:7). Le jour suivant, du coucher du soleil du mercredi soir au coucher du soleil du jeudi soir, était un sabbat saint annuel.

En résumé, nous croyons que Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu, mourut pour nos péchés le jour de la Pâque, qu’Il fut dans la tombe trois jours et trois nuits (72 heures). Ensuite, Il fut ressuscité et après divers autres contacts avec les disciples, Il monta au ciel pour S’asseoir à la droite du Père, bien supérieur à tous en puissance, gloire et honneur (Éphésiens 1:19-23). (Voir le chapitre intitulé « Dieu le Père, Jésus-Christ et le Saint-Esprit »)

Comme seul signe divin qu’Il était « plus que Jonas » et « plus que Salomon », Jésus offrit à Sa génération à la fois le fait et les détails de Sa résurrection. Par ceci, Son message devait mener Son auditoire au repentir (Matthieu 12:39-42). Il déclara qu’Il serait trois jours et trois nuits — une période de 72 heures (Jean 11:9-10 ; Genèse 1:5) — dans le sein de la terre (la tombe), tout comme Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre du poisson (Jonas 2:1). Ailleurs, Il déclara qu’il fallait qu’Il soit « mis à mort, et qu’Il ressuscite trois jours après » (Marc 8:31).

Le problème que pose la croyance communément acceptée au sujet de la crucifixion et de la résurrection est qu’il n’y a pas trois jours et trois nuits entre l’après-midi du vendredi saint et le matin du dimanche des Pâques.

Le poids des preuves scripturaires et historiques nous permettent de conclure ce qui suit :

•  Jésus mourut le mercredi après-midi.

•  Il fut déposé précipitamment dans la tombe de Joseph d’Arimathée peu avant le coucher du soleil ce même après-midi — la veille d’un sabbat annuel (Jour Saint de repos), le premier jour des Pains sans Levain (Jean 19:30-31 ; Jean 19:42 ; Marc 15:42-46).

•  Il fut ressuscité par le Père peu avant le cou cher du soleil le samedi, (à la fin du sabbat hebdomadaire) trois jours et trois nuits après avoir été mis dans la tombe, exactement comme Il l’avait dit.

Cette explication est cohérente avec les détails des Écritures. Elle ne nécessite pas de s’évertuer à faire tenir trois jours et trois nuits entre le vendredi soir et le dimanche en spéculant sur des parties de jour et de nuit. Elle concilie les récits des femmes et des aromates, que l’on trouve dans Marc 16:1 et Luc 23:56. Dans le premier récit, les femmes fidèles se reposèrent lors du jour de sabbat et après quoi elles se procurèrent les aro­mates. Dans le second récit, elles préparèrent les aromates et se reposèrent ensuite pendant le jour de sabbat.

Ces récits se complètent si on comprend qu’il y avait deux jours de sabbat au cours de cette semaine-là. Jésus fut crucifié le jour de la Pâque (Matthieu 26:18-20 ; 1 Corinthiens 5:7), qui était le jour de préparation d’un jour de sabbat qualifié de « grand jour » (Marc 15:42 ; Jean 19:31). Ce grand jour était le premier jour saint annuel du calendrier hébraïque, c’est-à-dire le premier jour des Pains sans Levain qui tombait toujours le lendemain de la Pâque (Lévitique 23:5-7). C’était un sabbat annuel et non un sabbat hebdomadaire. Les Jours Saints sont aussi appelés « sabbats » puisqu’aucun travail ne devait être fait pendant ces jours-là (Lévitique 23:7 ; Lévitique 23:24 ; Lévitique 23:32).

Les femmes attendirent la fin de ce jour de sabbat annuel, achetèrent et préparèrent les aromates, puis se reposèrent à nouveau lors du jour du sabbat hebdomadaire de Dieu, et se rendirent ensuite à la tombe le dimanche matin pour appliquer les aromates au corps de Jésus.

Elles visitèrent la tombe après les sabbats saints (pluriel) de cette semaine-là (Matthieu 28:1, traduction grecque originale). Le sabbat annuel, cette année-là, commençait à partir du coucher de soleil du mercredi et finissait au coucher de soleil du jeudi et le sabbat hebdomadaire allait du coucher de soleil du vendredi soir au coucher de soleil du samedi soir.

Quand elles arrivèrent à la tombe tôt le dimanche matin, elles la trouvèrent vide et entendirent l’ange annoncer que Jésus était vivant et ne se trouvait pas là (Marc 16:6).

Un nombre significatif de preuves historiques et scripturaires désignent l’an 31 comme l’année de la crucifixion et de la résurrection du Christ. Certaines d’entre elles sont l’accomplissement de la prophétie de Daniel concernant la venue du Messie (avec un décompte spécifique des années dans Daniel 9:24-26 commençant bien évidemment avec le décret du roi Perse Artaxerxés dans Esdras 7) et en faisant particulièrement attention à trois événements importants : la date probable de la naissance de Jésus, Son âge au début de Son ministère et la durée de celui-ci.

La Pâque à l’époque du Christ tombait le quatrième jour de la semaine (depuis le coucher du soleil du mardi soir au coucher du soleil du mercredi soir), et la mort de Jésus-Christ lors de ce jour remplit son rôle de véritable Agneau pascal de Dieu (1 Corinthiens 5:7). Le jour suivant, du coucher du soleil du mercredi soir au coucher du soleil du jeudi soir, était un sabbat saint annuel.

En résumé, nous croyons que Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu, mourut pour nos péchés le jour de la Pâque, qu’Il fut dans la tombe trois jours et trois nuits (72 heures). Ensuite, Il fut ressuscité et après divers autres contacts avec les disciples, Il monta au ciel pour S’asseoir à la droite du Père, bien supérieur à tous en puissance, gloire et honneur (Éphésiens 1:19-23). (Voir le chapitre intitulé « Dieu le Père, Jésus-Christ et le Saint-Esprit »)