CHAPITRE 3 : Continuer sur les traces des Apôtres

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CHAPITRE 3 : Continuer sur les traces des Apôtres

Comme nous l’avons indiqué précédemment, c’est la petite mais fidèle Église décrite dans le livre des Actes que nous, dans l’Église de Dieu Unie, association internationale, considérons comme notre modèle et notre ancêtre spirituel. Afin de pouvoir apprécier pleinement la raison pour laquelle l’Église décrite dans livre des Actes nous sert exclusivement de référence pour nos croyances, notre mission et notre organisation, il faut comprendre au moins en partie l’histoire peu connue du christianisme.

Pour cette raison, nous incluons ici un bref aperçu de ce qui est advenu de l’Église fondée par Jésus, ainsi que de la religion qui porte Son nom.

Le chapitre 2 du livre des Actes décrit le début de cette Église. Commençant avec un nombre de gens relativement restreint, l’Église s’est propagée de la Judée du 1er siècle jusqu’aux confins les plus éloignés de l’Empire romain, et même au-delà. Cependant elle en est restée petite en nombre (voir Luc 12:32), en partie parce qu’elle refusait obstinément de se laisser entraîner dans les compromis et la corruption de ce paganisme qui dominait la croyance religieuse de l’Empire romain.

L’Église de Dieu débuta lors de la fête biblique de la Pentecôte. Ce jour-là Dieu répandit la puissance de Son Esprit sur les disciples qui s’étaient rassemblés à Jérusalem, selon la loi et les instructions personnelles du Christ (voir Actes 1:4-5 ; Actes 2:1-4).

Cela accomplissait la promesse que Jésus avait précédemment faite à Ses disciples en affirmant que « sur ce roc [se référant à Lui-même, voir 1 Corinthiens 10:4] je bâtirai mon Église, et que les portes du séjour des morts [la tombe] ne prévaudront point contre elle. » (Matthieu 16:18)

C’était là une double promesse. Jésus allait former un corps spirituel de croyants, qui continuerait d’exister à travers les âges, même jusqu’à la fin de notre ère et jusqu’à Son retour sur terre. Aucune force humaine du monde matériel, ni aucun pouvoir maléfique du monde spirituel ne serait jamais capable de détruire Son Église.

Le livre des Actes, écrit par Luc, raconte comment l’Église, depuis ses débuts à Jérusalem, répandit l’Évangile du Royaume de Dieu dans le monde de l’Empire romain. Dans les pages de ce récit historique, Luc décrit le travail de Pierre, de Paul, de Barnabas et de bien d’autres qui furent des personnages importants dans l’Église primitive.

Dans ce récit historique, Luc nous décrit brièvement une Église qui se consacre fidèlement à la proclamation de l’avènement du Royaume de Dieu, ayant Christ à sa tête. Le récit de Luc met l’accent sur l’objectif primordial et le but qui unissaient ce premier corps de croyants.

Paul nous informe d’une caractéristique importante de l’Église que le Christ établit. Avec Christ en tant que pierre angulaire, la fondation de l’Église repose également sur les enseignements des apôtres et — ne l’oublions pas — sur ceux des prophètes de l’Ancien Testament (Éphésiens 2:19-20).

Un détournement par rapport aux croyances et aux pratiques

Pourtant, seulement quelques dizaines d’années après la crucifixion de Christ, l’Église commença à changer. Des pasteurs hérétiques commencèrent à réinterpréter les Écritures en fonction de leurs idées personnelles. Pendant les siècles qui suivirent, de plus grandes divisions eurent lieu sur des points de doctrine.

En conséquence, le message prêché par Christ et Ses apôtres subit de subtiles transformations. Au fil du temps, ce message altéré est devenu presque exclusivement centré sur la personne de Jésus, au point de négliger ce qui constituait le cœur et l’essence même de Ses enseignements.

Pour un nombre croissant de personnes, le message d’origine qu’Il avait apporté allait être remplacé par un récit déformé, et en quelque sorte romancé, à propos du Messager du Royaume. Cette transformation était déjà bien engagée, même à l’époque des apôtres, alors que Paul dénonçait ceux qui enseignaient un « autre Jésus » et « un autre évangile » (2 Corinthiens 11:3-4).

Le résultat fut un travestissement habile du message central de l’Évangile — le retour du Christ pour l’établissement du Royaume de Dieu sur la terre ainsi que l’importance capitale de la nature de ce royaume. Cet abandon du message central de l’Évangile fut grandement aidé par les événements qui se produisirent dans l’Empire romain, à la fin du premier siècle de l’ère chrétienne et au début du second.

Au début du premier siècle, le gouvernement romain fit preuve d’une remarquable déférence envers la religion juive. Et pour un court laps de temps, les fonctionnaires romains en vinrent même à considérer les chrétiens comme une autre secte juive, ce qui signifiait que leurs membres bénéficiaient du même respect que celui accordé à la foi juive.

Mais durant la seconde moitié du premier siècle il se produisit un important changement. Il était inévitable que le paganisme et l’idolâtrie des Romains (qui en étaient arrivés à inclure un culte à l’empereur) n’entrent pas en conflit avec la fidélité sans faille des Juifs et des Chrétiens pour le Dieu véritable. Il ne fallut pas longtemps avant que les deux, Chrétiens et Juifs, ne tombent en disgrâce auprès des Romains. En l’an 66 de notre ère, un grand nombre de Juifs vivant en Judée se révoltèrent contre la domination romaine, et en l’an 70 les légions romaines investirent Jérusalem et en rasèrent le temple.

Après cet événement, et pendant de nombreuses décennies, le mot juif devint une épithète à connotation raciale et religieuse parmi les citoyens romains. (Une seconde révolte des Juifs, dans les années 132 à 135, fit empirer les choses : Jérusalem fut détruite et aucun Juif ne fut autorisé à y mettre les pieds sous peine de mort.)

À mesure que ces événements se déroulaient et qu’un sentiment antisémite se répandait partout à travers l’empire (résultant en la mort de Pierre, de Paul et de beaucoup d’autres chrétiens de l’époque), beaucoup de ceux qui se réclamaient de la foi chrétienne se mirent à prendre leurs distances vis-à-vis de tout ce qui avait une apparence juive. Comme les croyances et les pratiques de l’Église primitive avaient beaucoup en commun avec les Juifs, ce rejet de tout ce qui était juif conduisit également à des modifications majeures — voire même à l’abandon d’aspects majeurs liés aux enseignements donnés à l’origine par Jésus-Christ et Ses apôtres.

Ceci fut la cause d’une prolifération de groupes et de pasteurs qui tous se proclamaient chrétiens, mais dont les traditions et les enseignements ne tiraient pas leur origine du Christ et de Ses apôtres. Certains choisirent de conserver la plupart des traditions païennes qu’ils avaient observées précédemment, tout en commençant à mélanger ces croyances et ces pratiques avec leur croyance nouvellement acquise selon laquelle la vie éternelle était accessible par Jésus-Christ. Certains devinrent simplement les victimes d’une tromperie croissante causée par « des faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ », mais qui étaient en réalité, quoique inconsciemment, des ministres de Satan le diable (2 Corinthiens 11:13-15).

Peu à peu, à mesure que les apôtres mouraient, ces faux « frères » (2 Corinthiens 11:26) se mirent soit à abandonner, soit à altérer les enseignements et les traditions bibliques, de peur que ceux-ci ne les associent à la religion juive. Dans ce processus, ils ont aussi jeté par-dessus bord certains aspects essentiels du message et de la Voie qu’enseignaient Jésus et Ses apôtres.

La loi de Dieu : centre de la controverse

Les historiens reconnaissent généralement que l’Église décrite dans le Nouveau Testament diffère considérablement de celle qui s’imposa ensuite en tant que christianisme originel, après que les apôtres eurent disparu de la scène. Edward Gibbon, chroniqueur de l’Empire Romain au 18e siècle, faisait allusion à ce « nuage sombre planant au-dessus de l’Église primitive » (The Decline and Fall of the Roman Empire, 1776, chapitre 15, section 1).

Plus tard, l’historien Jesse Hurlbut écrivait : « Nous appelons la dernière génération du premier siècle, de 68 à 100 après J.C., ‘The Age of Shadows’ (l’Âge des ombres), en partie parce que les ténèbres de la persécution étaient alors répandues sur l’Église, mais plus particulièrement parce que de toutes les périodes de l’Histoire, c’est celle à propos de laquelle nous savons le moins […] Pendant cinquante ans, après la vie de Saint-Paul, un rideau demeure en place au-dessus de l’Église, à travers lequel nous tentons vainement de regarder, et quand enfin il se lève — en l’an 120 de notre ère — avec les écrits qui nous viennent des premiers pères de l’Église, nous découvrons une église qui, sur de nombreux aspects, est très différente de celle de l’époque de Saint-Pierre et de Saint-Paul » (The Story of the Christian Church, 1970, p. 33).

Au cœur de cette brèche au sein du Christianisme se trouvait cette controverse à propos de la loi de Dieu : devait-elle constituer la norme de conduite pour les Chrétiens et, si oui, comment ? Ceux qui voulaient éviter toute association avec les Juifs se décidèrent à abandonner tout ce qui aurait pu les identifier comme faisant partie de cette religion, y compris toute obligation directe d’obéir à la loi de Dieu.

Ils ignorèrent ou essayèrent d’esquiver le fait que Jésus avait déjà donné une réponse définitive à cette question lorsqu’Il disait : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé. » (Matthieu 5:17-18)

Et ainsi, lorsque quelqu’un demanda à Jésus : « Que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle? », Il lui répondit : « Pourquoi m’interroges-tu sur ce qui est bon? Un seul est le bon. Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements. » (Matthieu 19:16-17)

Paul exprima le même soutien à la loi de Dieu, en déclarant : « La circoncision n’est rien, et l’incirconcision n’est rien, mais l’observation des commandements de Dieu est tout. » (1 Corinthiens 7:19) Paul déclara également que le Christ n’est pas venu pour abandonner, mais pour « confirmer les promesses faites aux pères. » (Romains 15:8)

Nous constatons donc que l’Église décrite dans le livre des Actes gardait fidèlement les Dix Commandements, y compris celui du sabbat du septième jour. L’Église de cette ère observait également les mêmes fêtes sacrées que les Juifs (voir Exode 20:8-11 ; Deutéronome 16:1-16 ; Lévitique 23). À mesure que l’Église s’élargissait, s’ouvrant même aux Gentils (les non-Israélites), nous voyons que — eux aussi — se faisaient enseigner qu’il convient d’observer ces fêtes bibliques (Actes 13:42-44 ; Actes 18:4 ; 1 Corinthiens 5:7-8).

Pourtant, lorsqu’on examine l’histoire de ce Christianisme qui a pris une telle ascendance auprès du public durant les siècles subséquents, nous constatons que celui-ci a abandonné ces fêtes et qu’il les a remplacées par un ensemble de célébrations toutes différentes — Noël, les Pâques et dimanche, le premier jour de la semaine. Ceux qui continuèrent fidèlement à observer le Sabbat du septième jour, la Pâque et les autres Fêtes commandées dans les Écritures, furent progressivement marginalisés et traités d’hérétiques.

À mesure que de nouveaux dirigeants, aux points de vue différents, prenaient de plus en plus le contrôle des congrégations, ils se mirent à exclure progressivement tous ceux qui restaient fidèles aux pratiques et aux croyances apostoliques. Vers la fin de sa vie, vers la fin du premier siècle, l’apôtre Jean nous rapporte un de ces incidents : « J’ai écrit quelques mots à l’Église; mais Diotrèphe, qui aime à être le premier parmi eux, ne nous reçoit point. C’est pourquoi, si je vais, je rappellerai les actes qu’il commet, en tenant contre nous de méchants propos ; non content de cela, il ne reçoit pas les frères, et ceux qui voudraient le faire, il les en empêche et les chasse de l’Église. » (3 Jean 1:9-10)

Persécutés non seulement par les autorités de l’Empire romain, mais aussi par ceux qui avaient revêtu une fausse identité chrétienne, ces frères exclus mais fidèles devaient souvent se réfugier dans la clandestinité. Le véritable Christianisme et l’Église de Jésus et des apôtres commencèrent à disparaître de la scène publique.

Peu avant sa mort, l’apôtre Jean reçu une vision venant de Christ, qu’il devait transmettre aux fidèles en difficulté qui étaient restés à Éphèse : « Je connais tes œuvres, ton travail, et ta persévérance. Je sais que tu ne peux supporter les méchants; que tu as éprouvé ceux qui se disent apôtres et qui ne le sont pas, et que tu les as trouvés menteurs. » (Apocalypse 2:2-3)

Mais, pourrait-on se demander, comment une telle chose a-t-elle pu arriver à l’Église que le Christ a lui-même fondée ?

Avertissements de Christ et de Ses apôtres

En dehors du Nouveau Testament, peu de sources ont survécu pour nous transmettre des détails au sujet des évènements qui affectèrent la religion chrétienne durant cette époque. Cependant les écrits du Nouveau Testament sont clairs. Une rupture importante se produisit au sein du christianisme. De fait, Jésus et Ses apôtres n’avaient cessé d’avertir qu’elle se produirait (comparer Matthieu 7:15 ; Matthieu 24:5 ; Matthieu 24:11 ; Actes 20:29-31 ; 1 Jean 4:1).

Jésus avait donné cet avertissement : « Car il s’élèvera de faux christs et de faux prophètes; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s’il était possible, même les élus. Voici, je vous l’ai annoncé d’avance. » (Matthieu 24:24-25)

Durant les premières décennies de l’Église, les apôtres tentèrent farouchement de s’opposer à ceux qui voulaient corrompre la vérité qu’ils avaient personnellement reçue de Christ (1 Jean 2:24-26). Paul mit en garde quelques-uns des responsables qu’il avait lui-même ordonnés, disant : « Qu’il s’élèvera du milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses pernicieuses, pour entraîner les disciples après eux. Veillez donc, vous souvenant que, durant trois années, je n’ai cessé nuit et jour d’exhorter avec larmes chacun de vous. » (Actes 20:30-31)

Pierre proclamait : « Il y aura de même parmi vous de faux docteurs, qui introduiront sournoisement des sectes pernicieuses […] Plusieurs les suivront dans leurs dérèglements, et la voie de la vérité sera calomniée à cause d’eux. » (2 Pierre 2:1-2) Jean avertit également que « plusieurs séducteurs », s’étaient déjà manifesté au monde, cherchant à faire passer leurs hérésies pour du pur christianisme (2 Jean 1:7).

Comment cela a-t-il pu arriver ? Jésus avait expliqué que parmi le « blé » (son vrai peuple), Dieu permettrait que croisse de « l’ivraie » (Matthieu 13:37-43). Au début, ce dernier ne se distinguerait pas du blé, mais, en fin de compte, il ne porterait pas de grain, aucun fruit prouvant son authenticité. Superficiellement, ils ressembleraient à de vrais disciples, mais en réalité, ils seraient bien différents. Il n’y aurait en eux aucune profondeur d’engagement pour le vrai Évangile et les enseignements du Christ.

Ainsi, émergeant de la période apostolique de l’Église, on vit apparaître deux religions « chrétiennes » distinctes. La première, petite et presque invisible sur la scène mondiale, était demeurée fidèle au message du Christ. La deuxième s’était approprié le nom du Christ, tout en incorporant simultanément des idées et des pratiques issues d’autres religions — un processus appelé syncrétisme — comme cela était courant dans l’Empire romain de l’époque. Les traditions des hommes remplacèrent les commandements de Dieu et devinrent ancrées dans ce qui allait devenir la principale forme de christianisme connue dans le monde.

(Pour en savoir plus sur cette corruption de l’Évangile du Christ et sur son effet sur l’Église qu’Il a établi, veuillez demander notre brochure gratuite : « L’Église que Jésus a fondée »)

L’Évangile du Royaume de nos jours

En dépit de ces difficultés et de la montée de ce christianisme contrefait, Jésus-Christ est resté fidèle à Sa promesse selon laquelle Sa véritable Église ne mourrait jamais. À Son retour, ces chrétiens qui l’auront servi assidûment et qui auront été fidèles aux commandements de Dieu seront prêts pour leur rôle dans la prochaine étape du plan de salut de Dieu. Ils deviendront des rois et des sacrificateurs pour Dieu, et assisteront le Christ lorsqu’Il enseignera au monde entier cette même obéissance à la loi de Dieu (Apocalypse 5:10 ; Apocalypse 20:6 ; Michée 4:1-2).

Il est intéressant de noter que, durant l’ère apostolique de l’Église, l’apôtre Paul disait de ses membres qu’ils vivaient selon « la voie » ou selon « cette voie » (Actes 9:2 ; Actes 19:9 ; Actes 19:23 ; Actes 22:04 ; Actes 24:14 ; Actes 24:22). Il a clairement identifié cette voie comme étant un mode de vie. Nous ne devons jamais perdre de vue que le christianisme n’est pas seulement un ensemble de croyances ; c’est une manière de vivre sa vie.

L’Église que Jésus a fondée n’a jamais péri. A travers les siècles, ses membres sont restés fermement attachés à la vérité. Aujourd’hui, elle continue de proclamer fidèlement et avec zèle l’Évangile de Christ à propos du Royaume de Dieu, tout comme le faisaient les premiers disciples. Même si les temps et les cultures ont changé, le fondement des vérités éternelles de Dieu est demeuré le même (comparez Malachie 3:6 ; Jacques 1:17 ; Hébreux 13:8). Apocalypse 12:17 décrit clairement les membres de l’Église de Dieu des temps de la fin comme étant « ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui retiennent le témoignage de Jésus. »

De nos jours, l’Église de Dieu Unie, association internationale, s’efforce de pratiquer « la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. » (Jude 1:3) Pour y parvenir, nous nous sommes engagés à vivre, selon que Jésus l’enseignait, « de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. » (Matthieu 4:4)

Nous nous efforçons donc de vivre selon la même instruction divine que suivirent Jésus, Ses apôtres et l’Église primitive, tout en étant conscients du fait que cela nous distingue nettement de ce qui est aujourd’hui généralement considéré comme le Christianisme, même si ce dernier ne se conforme plus au modèle de l’Église décrite dans le livre des Actes.

Tout, comme les membres de l‘Église primitive, nous restons fidèles à notre engagement de proclamer le message de l’avènement du Royaume de Dieu et du rôle central de Christ dans celui-ci. De même, nous continuons fidèlement à préparer un peuple pour assister le Christ dans ce royaume.

Nous vous encourageons sincèrement à examiner beaucoup plus en profondeur le message que Jésus a enseigné. Si cela vous intéresse, il vous suffit de demander notre brochure gratuite « L’Évangile du Royaume ». Celle-ci peut être obtenue en contactant notre bureau le plus proche de chez vous ou grâce à notre bibliothèque en ligne : pourlavenir.org.