Une sagesse issue de souffrances humaines

Une sagesse issue de souffrances humaines

Dans l’abbaye de Westminster à Londres se trouvent deux énormes chandeliers d’airain représentant des scènes de l’Ancien Testament. Sur l’un deux, le roi Salomon est représenté sur son trône, enveloppé de sa tunique majestueuse, gouvernant un peuple sur qui la bénédiction divine s’est répandue. Sa sagesse se résume par le commentaire de la Reine du Midi.

« Je ne le croyais pas, avant d’être venu et d’avoir vu de mes yeux […] Béni soit l’Éternel ton Dieu, qui t’a accordé la faveur de te placer sur le trône d’Israël ! C’est parce que l’Éternel aime à toujours Israël, qu’il t’a établi roi pour que tu fasses droit et justice » (1 Rois 10:7-9). Salomon avait, grâce à Dieu, acquis une gloire temporelle.

Ailleurs sur ce chandelier, le patriarche Job est représenté, en proie à de grandes souffrances et au désespoir. Il a pour trône un lit de cendres. Trois de ses amis viennent lui rendre visite.

L’existence de l’homme inclut la souffrance et la gloire. La souffrance occupe une place aussi importante, dans le kaléidoscope de l’humanité, que la gloire. Le Dieu d’Israël occupait une place importante dans la vie de Job, mais aussi dans celle de Salomon.

La présente Leçon a pour objet de vous montrer que, d’après la Bible, la Parole de Dieu, nos souffrances sont d’une importance capitale. La vie nous donne le temps de nous poser les questions importantes : Qui suis-je ? Pourquoi suis-je né ? Quel est mon rôle dans le magistral plan divin ?

Les souffrances font partie intégrante de notre existence. Nul n’en est exempt. Elles peuvent nous stimuler et nous obliger à réfléchir, nous inciter à méditer sur les questions importantes de la vie. (Pour de plus amples détails à ce sujet, nous vous proposons notre brochure gratuite intitulée « Quelle est votre destinée ? »)

Le Tout-Puissant désire édifier en nous Son caractère juste. Il attache beaucoup plus d’importance au développement de ce caractère qu’au confort que nous souhaiterions souvent avoir. Ne l’oublions pas, Jésus Christ Lui-même a appris « l’obéissance par les choses qu’il a souffertes » (Hébreux 5:8).