La famille est une institution en voie de disparition
Vous pouvez lui redonner sa place
En France, le taux des divorces était, en 2007, de 45,5% (INED).Ce n'est guère mieux dans les autres pays industrialisés, dans lesquels il avoisine souvent 40%. Et comme si cela ne suffisait pas, plus de la moitié des naissances (50,5%), en France, la même année, étaient issues d'unions libres (Le Figaro, 15-01-2008). De plus, quand on songe à ce que les filles mères coûtent à l'État, en frais médicaux, pour l'éducation, en prestations pour les criminologues, et au niveau des divers programmes d'entraide locaux ou gouvernementaux….
Le mariage et la famille, véritables pierres angulaires de toute société civilisée, morale et fonctionnelle, courent un grave péril.
Les temps ont changé, ainsi que nos valeurs morales. Cela passe pour normal dans la plupart des sociétés nanties, et pourtant, le divorce et l'éclatement des foyers affectent gravement non seulement les couples mais aussi leurs enfants, la parenté et les amis. Avec le temps, et les pressions de toutes sortes, le taux des divorces risque de s'aggraver sérieusement et de nombreuses familles de e disloquer encore davantage.
Attendons-nous à présent à « autre chose »
Voilà bien deux institutions gravement menacées. Mais pourquoi ? Comment en sommes-nous arrivés là ?
Quand un mariage échoue, la famille emboite le pas. Et, à plus grande échelle, la société et la civilisation.
Il est utile de comprendre que les fréquentations, et les liens conjugaux, eux aussi ont changé. Jusqu'au siècle dernier, les fréquentations finissaient généralement par un mariage, avoir des enfants et s'occuper de leur éducation ; on avait généralement les moyens financiers de les élever. Si la conjecture était austère, on mettait la main à la pâte et l'on faisait de son mieux pour s'acquitter de ses responsabilités matérielles.
Au début du XXe siècle, même si l'on n'avait pas toujours les moyens de pourvoir à ses besoins matériels, les fréquentations devenaient généralement plus sérieuses. Lorsque un jeune homme et une jeune fille se sentaient attirés et s'aimaient, les parents surveillaient toujours les rencontres.
Lors de la IIe Guerre mondiale, le nombre des jeunes hommes disponibles se mit à décroître, et le nombre des automobiles à augmenter. Les fréquentations et les sorties entres jeunes finirent par être plus publiques et moins surveillées. Quant aux principes respectés pendant de telles rencontres, ils allaient eux aussi se modifier considérablement. À présent, les jeunes estiment normal de se livrer à diverses activités sexuelles avant de se marier, et les parents ou bien font mine de ne rien voir ou bien approuvent tacitement.
Les êtres humains, en tout temps, se sont souvent mépris sur l'amour. On confond fréquemment aimer avec avoir un coup de foudre ou se sentir attiré par un autre être humain. Il serait bon de comprendre ce qui nous anime, ce dont nous sommes tant physiologiquement que psychologiquement faits.
Est-ce de l'amour ou une simple attraction ?
Nous arrive-t-il, une fois marié, de nous dire : « Je l'aime bien, certes, mais ce n'est plus comme avant » ? N'avons nous pas parfois envie de remplacer le oui ! prononcé jadis lors des noces par un non ! ? Et le cas échéant, qu'est-ce qui peut bien produire un tel retournement ? Pourquoi les émotions intenses ressenties quand on était amoureux se sont-elles passablement émoussées au fil des années ?
Le Dr Patricia Love, thérapeute conseillère en relation conjugale et familiale, a rédigé un guide pratique pertinent, de nature à aider les couples à améliorer ou à faire renaître les sentiments qu'ils avaient jadis. Son livre The Truth About Love décrit les fonctions de la physiologie et de la psychologie dans le développement du vrai amour!
Comme elle l'explique, « il existe une différence énorme entre un simple “coup de foudre” et l'amour vrai. Le cerveau est une création magistrale. Il commence à fonctionner bien avant que vous soyez né, et il tombe en panne [!] quand vous tombez amoureux » (p. 28).
Puis le Dr Love parle « du coup de foudre déclenché par la “molécule d'amour”, véritable “potion d'excitation” ». Le syndrome de l'attraction incontrôlée constitue un exemple de Mère Nature dans ce qu'elle a de meilleur à offrir. Tous les comportements prévisibles accompagnant l'expérience du coup de foudre sont déclenchés par une modification radicale des échanges chimiques cérébraux produits en pareille circonstance ».
Et le Dr. Love d'ajouter : « Quand vous rencontrez une personne qui vous attire fortement, votre système limbique s'imbibe d'une puissante concoction chimique, si puissante que, de l'avis des experts, l'euphorie du coup de foudre vous plonge dans un véritable état second au niveau de votre prise de conscience. Les symptômes comprennent une attitude délicieusement positive, une énergie renouvelée, une diminution du besoin de sommeil et une réduction de votre appétit. Cette description évoque-t-elle pour vous quelque chose de familier ? Il est clair que lorsque l'on “tombe amoureux”, c'est comme si on était littéralement drogué » (p. 28-29).
Le Dr Love explique que ladite « potion amoureuse » a le pouvoir de stimuler l'amygdale cérébelleuse – le centre inhibiteur du cerveau – vous avertissant que vous vous apprêtez à faire quelque chose de pas très futé et qui risque de vous causer des ennuis. « Néanmoins, l'amygdale est impuissante face à ce raz de marée hormonal » (p. 29).
Les médias actuels exercent souvent une influence désastreuse sur le mariage et la famille, avec leur régime continu d'hédonisme et d'amoralité.
L'engouement dont nous sommes pris en pareil cas nous pousse à une intrépidité telle que nous ne pensons même pas aux conséquences de nos actes sur notre foyer. Et comme le fait remarquer le Dr Love, il n'est pas question ici d'amour mais véritablement d'engouement. Et la différence est évidemment énorme.
Bien qu'il faille tenir compte d'autres aspects lorsqu'il s'agit de déterminer si deux personnes bien intentionnées sont prêtes à se marier, la « potion amoureuse » est très grisante et émousse dès le départ notre logique à reconnaître les signes annonciateurs d'un désastre conjugal.
Bref, l'engouement en question est momentané, et alimenté par des émotions. L'amour vrai qui dure, quant à lui, comprend un profond respect et une affection sincère, étant motivé par un souci réel du bien-être et du bonheur de l'autre.
Une foule de gens, ne comprenant pas cette distinction, ou bien se marient trop tôt, ou bien, lorsque leurs sentiments respectifs s'émoussent se disent qu'ils n'étaient pas, tout compte fait, « faits l'un pour l'autre » et optent pour la séparation.
L'éclatement de la famille
Quand un mariage échoue, la famille emboîte le pas. Et, à plus grande échelle, la société et la civilisation.
Les médias actuels exercent souvent une influence désastreuse sur le mariage et la famille, avec leur régime continu d'hédonisme et d'immoralité. Ils nous disent souvent que le mal est bon, et le bien mal (Ésaïe 5:20-21).
Beaucoup d'émissions ridiculisent le mariage et la famille, encourageant promiscuité, familles monoparentales, cohabitation à plusieurs, et unions entre personnes du même sexe. Nos feuilletons, jadis de bon goût et moraux, font la promotion des mixages sexuels.
Les points de vues ainsi diffusés tordent la mentalité de bien des gens, en matière de mariage et de famille. Beaucoup de problèmes conjugaux et familiaux proviennent de l'égoïsme, de malentendus et du refus de pardonner ; de ce que, dans bien des cas, on insiste sur sa propre satisfaction, et immédiatement. La situation n'est cependant pas désespérée. Avec des efforts et un esprit de coopération, il est possible, comme l'ont découvert Jean-Paul et Claire, d'avoir une famille heureuse.
Un mariage mis à l'épreuve
Jean-Paul et Claire, après 15 ans de mariage, s'aperçurent que leur foyer était en péril. Ils ne s'étaient pas rendus compte de l'intensité des efforts à fournir pour maintenir leur engagement initial. Après quatre ans de mariage, ils avaient eu un petit garçon et une petite fille qui était une vraie poupée. Et pourtant, leur idéal d'un mariage réussi et d'une famille heureuse et unie avait fini par s'estomper.
Jean-Paul se mit à faire passer son travail avant le reste. Claire, pour sa part, consacra toute son énergie à l'éducation de ses enfants. En fin de compte, tous deux finirent par tirer la conclusion qu'il allait leur falloir repenser leurs activités s'ils voulaient améliorer leur union et avoir un foyer heureux.
Pour commencer, ils acceptèrent de cesser de se disputer. Jean-Paul réfléchit longuement à ses priorités, et se dit qu'il était, certes, bon d'aimer son travail, mais qu'il valait mieux commencer par avoir plus d'amour pour sa femme. Claire, pour sa part, décida d'être plus affectueuse envers son mari, puis ses enfants. En réajustant leurs priorités, ils créèrent un milieu propice au bonheur de tous les membres de leur foyer.
Puis ils se dirent qu'il vaut mieux profiter de la vie ensemble - en tant que famille - plutôt qu'individuellement. Ils se mirent à l'affût des traits positifs et du bien existant dans chacun d'eux, refusant de s'attarder sur les défauts.
Bien qu'encore imparfaite, l'ambiance familiale s'améliora considérablement. Ils comprirent que la condition humaine n'est pas sans accrocs ni difficultés, et ils sont aujourd'hui plus aptes à y faire face.
En réajustant leurs priorités, mari et femme peuvent créer un milieu propice au bonheur de tous les membres de leur foyer.
Jean-Paul et Claire ont revitalisé leur vie de couple. Leur amour est redevenu ce qu'il était quand ils se sont mariés, et le respect qu'ils avaient édifié l'un pour l'autre en quinze ans de mariage s'est intensifié.
De l'espoir pour les familles fragmentées
Jean-Paul et Claire ne sont pas uniques. Les problèmes conjugaux et familiaux prennent diverses formes. Il existe de bons conseillers matrimoniaux.
Quand on cherche à consolider son mariage en s'accrochant à ses valeurs familiales, on a souvent l'impression de mener un combat inégal. Nous sommes souvent, à notre insu, influencés par la culture moderne et les médias environnants, promoteurs de toutes sortes d'idées néfastes. C'est ce qui s'est produit quand notre monde a remplacé Dieu et Sa Parole par le « tout est bon » et le « tout est permis ». Or, pour réussir, des efforts sont exigés de notre part.
Votre vie familiale peut être une réussite
Nous vous proposons quelques conseils pour améliorer votre vie conjugale et familiale :
1 - Soyez plus bienveillant, moins égoïste.
Dans toutes les familles, quelqu'un fait preuve d'égoïsme. Qui ne cherche pas à obtenir satisfaction ? Nous sommes tous, dans une certaine mesure, programmés à prendre soin de nous-mêmes, ne serait-ce qu'à nous protéger.
Là où le bât blesse, c'est quand nous cherchons à obtenir quelque chose que nous ne sommes pas supposés avoir, et nous donnons satisfaction à nos envies. Cela dépasse notre recherche naturelle de protection. Grâce à Dieu, nous pouvons maîtriser nos désirs égoïstes (Romains 8:5-14).
La lecture et l'étude quotidiennes de la Bible peuvent remplir votre esprit d'idées et d'exemples positifs. Ce que nous mettons dans notre esprit et dans nos coeurs devient notre raisonnement et détermine comment nous traitons autrui (Proverbes 23:7).
Seul Dieu, par Son Esprit, peut nous aider à vaincre notre égoïsme. (1 Corinthiens 2:12-15).
2 - Le mariage et la famille requièrent des sacrifices et des actes de service.
D'après la Bible, la meilleure vie que l'on puisse avoir est une vie fertile en sacrifices et en actes de service (Jean 15:13 ; Matthieu 20:26 ; Luc 6:38). Dans ce monde où bon nombre de besoins sont satisfaits, cela peut sembler insensé et archaïque ; pourquoi se sacrifier quand on peut éviter de le faire ?
Cela nous ramène à la nature humaine. Nous avons été créés pour avoir des rapports paisibles et agréables avec autrui. Néanmoins, une paix durable et le bonheur ne sont possibles qu'avec des efforts de notre part (Jacques 3:18). Le comportement le plus noble consiste à se sacrifier. Grâce au sacrifice du Christ, l'humanité dans son ensemble va pouvoir être sauvée et vivre éternellement (Jean 3:16-17).
Dans 100 Simple Secrets of Great Relationships, le psychologue David Niven fournit des conseils pratiques et terre à terre sur ce que les experts ont découvert à propos des relations humaines et de leurs avantages. À propos du sacrifice personnel, il déclare ceci : « On reconnaît qu'avoir une longue et profonde amitié est une prouesse… Il est un fait que cela n'est pas toujours facile, et que les dividendes ne sont pas toujours immédiats, mais sacrifier ses propres préférences immédiates et s'engager à partager, à prendre soin [de l'autre] et à être un auditeur attentif sont des mesures terre-à-terre mais héroïques menant à la réalisation de votre raison d'être » (2003, p. 1).
En fait, si vous voulez profiter au maximum de votre mariage et de votre famille, vous devez rendre service aux autres, montrant ainsi le bon exemple à suivre.
3 - Cessez toute activité néfaste à la vie conjugale ou familiale
Si vous voulez améliorer votre vie familiale et conjugale, commencez par renoncer à tout ce qui lui est néfaste. Sinon, vous ne récolterez que douleurs, souffrances, ressentiment et colère.
Les faiblesses auxquelles nous succombons sont symptomatiques de notre nature humaine (Romains 7:15-23). Toute mauvaise habitude que nous développons consciemment ou non s'amplifie avec la pratique, nous enlise dans une routine au niveau de nos pensées, de sorte qu'il nous devient très difficile de résister une fois placé dans des situations similaires.
La Bible nous dit que nous pouvons vaincre le mal par le bien (Romains 12:21). Il est question dans ce passage de remplacer les mauvaises habitudes par de bonnes. Ce qui veut dire qu'il faut vaincre – grâce au Saint- Esprit et à la Bible.
4 - Mari et femme devraient être des amoureux.
Il est des hommes qui s'imaginent que puisqu'ils ont dit à leur femme qu'ils l'aimaient le jour de leurs noces, ils n'ont plus besoin de le leur répéter par la suite. C'est là faire preuve de beaucoup de naïveté. Les êtres humains ont besoin d'être rassurés périodiquement. Nous ne sommes pas des automates. Le besoin pour la femme de s'entendre dire par son mari qu'il l'aime ne disparaît pas. Jamais ! Et il en va de même pour les maris ! Même s'il ne donne pas l'impression d'être à ce point sensible, l'homme, lui aussi, a besoin que sa femme lui rappelle souvent qu'elle a besoin de lui, qu'elle l'aime et le respecte. Hommes et femmes ont besoin de se sentir appréciés et aimés.
Envoyez-lui des fleurs. Appelez-la du travail, et encouragez-la. Honorez-la lors d'un dîner aux chandelles, avec une musique d'ambiance romantique. Elle vous en sera reconnaissante. Et vous de même, Mesdames, n'oubliez pas d'encourager vos maris ; ils ont besoin de se sentir honorés et respectés.
5 - Les parents doivent oeuvrer au bonheur de leur famille.
L'investissement affectif et sentimental que les parents fournissent sur le plan familial produit des dividendes. Si vous aimez et respectez vos enfants, il y a de fortes chances pour qu'ils vous rendent la pareille. Si vous criez, proférez des malédictions ou des menaces, ne vous étonnez pas si un jour vos enfants se mettent à leur tour à crier, à maudire et à menacer les gens, vous y compris !
Physiquement, il n'existe pas de liens plus intimes que les liens familiaux et conjugaux. Quand un mariage est réussi, dans la majorité des cas, la famille elle aussi est heureuse.
Voyez en vos enfants de futurs membres de la famille divine. Les parents sont un peu comme des gérants, comme des tuteurs pour le compte de Dieu (voir Luc 16:1-12), s'occupant avec amour de Ses futurs enfants (2 Corinthiens 6:18). Dans le temps présent, nous les parents, avons l'honneur de former avec amour nos enfants, futurs membres de la famille divine.
Dieu a créé la relation conjugale, et la famille issue de cette relation unique. La Bible nous dit d'inculquer à nos enfants la voie divine de la paix et du bonheur (Deutéronome 6:6-7 ; Éphésiens 6:4). Les familles heureuses sont l'apanage des mariages réussis. Les parents ont un foyer heureux quand ils s'acquittent de leurs responsabilités.
Les parents devraient réserver du temps pour des discussions familiales. Quand avezvous discuté ensemble pour la dernière fois, avec votre famille, de quelque chose d'important ? Certaines familles aiment les discussions intéressantes pendant le dîner.
Si vous voulez que votre famille soit plus unie, prévoyez chaque semaine des moments où elle puisse se retrouver et discuter de choses et d'autres. C'est là une activité de groupe des plus importantes. Les discussions familiales peuvent améliorer beaucoup de choses dans votre foyer, surtout si vous tenez à y apporter de la paix et du bonheur. Agissez dès à présent.
7 - Éteignez la télé ; faites une petite marche, ou lisez un bon livre.
Vous demandez- vous ce qu'il est advenu des bons vieux moments de tranquillité ? Règne-t-il, chez vous, un éternel brouhaha ? Chacun y gardet- il son calme ?
En Occident, les enfants passent en moyenne 4 heures devant le petit écran. De l'avis de bien des pédiatres, les enfants de deux ans ou moins ne devraient pas regarder la télévision, ne pas jouer avec des ordinateurs et ne pas jouer à des jeux vidéo. Pendant les deux premières années de la vie du bambin, quand le développement du cerveau est critique, la télévision peut entraver son apprentissage, ses explorations et ses contacts avec d'autres, responsables du développement d'aptitudes de base.
Un peu de télévision ne peut pas faire de mal, pour autant qu'on en use avec modération. Les jeunes enfants, peuvent y suivre des programmes éducatifs, y apprenant, par exemple, l'alphabet, et par la suite, des faits intéressants sur le monde animal, sur d'autres cultures, sur l'histoire, la géographie et la science, etc.
La plupart des adolescents vivant aujourd'hui ont toujours connu la télévision. Sans doute auraient-il du mal à imaginer un monde privé de petit écran. Ils y ont appris beaucoup de choses. Souvent, ils jouent à des jeux vidéo qui, comme bien des émissions, contiennent des scènes graphiques violentes, des thèmes sexuels, décrivent le monde de la drogue et sont vulgaires.
De telles influences peuvent créer chez votre enfant un caractère rebelle (Un père m'a dit que lorsque son neveu, dont il s'occupait pendant un certain temps, car il traversait une période difficile de sa vie, refusa de lui obéir, il enleva ce à quoi l'adolescent attachait le plus d'importance : la porte de sa chambre. Cela donna, dans ce cas-là, d'excellents résultats).
Éteignez donc le poste, et allez faire de petites randonnées ensemble. Pensez à Dieu et à Sa création. Éteignez la télé, et prenez un bon livre. Essayez de lire la Bible tous les jours. Donnez du répit à vos processus cognitifs. Remplissez votre esprit de morale et de choses saines.
L'avenir de votre famille dépend de vous
Si vous souhaitez améliorer l'avenir de votre famille, appliquez les principes cidessus. N'oubliez jamais que Dieu a créé le mariage (Genèse 2:23-24 ; Marc 10:6-9) et qu'Il est en train de créer une famille divine dont Il veut que vous fassiez partie (Hébreux 2:10 ; 1 Jean 3:1-2 ; Apocalypse 21:3).
Sa Parole, la Bible, indique la voie des bénédictions conjugales et familiales. Et c'est à vous qu'il incombe d'appliquer les instructions les rendant possibles. Commencez dès à présent à faire votre part, pour rétablir la famille en voie de disparition.