Les guerres, ces désastres créés par l'homme
Les catastrophes d'origine humaine sont plus faciles à expliquer, car nous pouvons en déceler la cause. Les guerres constituent un exemple typique de catastrophes provoquées par l'homme. Si nous cherchons à comparer les maux que nous nous sommes infligés à ceux provoqués par des catastrophes naturelles, ne serait-ce que ces derniers siècles, nous constatons que nous avons été nettement plus destructeurs que les forces de la nature. Au XXe siècle, on a calculé qu'avec les deux guerres mondiales, les purges ethniques et politiques de Staline, d'Hitler et de Pol Pot, la révolution culturelle chinoise et autres conflits trop nombreux pour tous être mentionnés, les êtres humains ont tué au moins 130 millions de leurs semblables.
Songez, par exemple, à des guerres civiles dont on parle peu:au million de personnes tuées au Congo, au Rwanda et aux deux millions de personnes tuées dans le sud du Soudan (sans compter les victimes du conflit récent au Darfour). Chacun de ces conflits a fait bien plus de victimes que le tsunami de l'Océan indien dans lequel 280 000 personnes auraient péri.
Jésus-Christ, qui était prophète, évoqua l'état du monde qui n'allait cesser d'empirer, du fait, notamment, de guerres:« Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume, et il y aura, en divers lieux, des famines et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs » (Matthieu 24:7-8).
La Bible a annoncé que la situation va empirer avant de s'améliorer.
Le 6e chapitre de l'Apocalypse indique que le quart de la population mondiale périra à la suite des événements dévastateurs symbolisés par quatre cavaliers (Apocalypse 6:8). Sous bien des aspects, ces quatre cavaliers dépeignent la dégradation de la condition humaine du fait des actions de l'humanité. Dans l'un des derniers carnages prophétisés, une armée de deux cents millions de soldats tuera un tiers de la population mondiale (Apocalypse 9:15-18). Tout a commencé à dégénérer quand l'homme a décidé de ne plus écouter son Créateur