Monsieur Darwin, vous avez eu tort à dix reprises !
Charles Darwin avait-il raison ? Réalité oblige !
Contrairement aux autres théories scientifiques, l’Évolution darwinienne affecte non seulement la science mais aussi la philosophie, la moralité, les sciences sociales et même la religion. Votre conception du monde est radicalement affectée par la manière dont vous répondez à la question de savoir si la théorie darwinienne de l’Évolution est juste. Il importe donc que vous sachiez si c’est – ou non – le cas.
Cent cinquante ans se sont écoulés depuis la parution de cette théorie, et cette philosophie provoque toujours d’énormes remous. Un article de CNN intitulé « Darwin continue de faire des vagues 200 ans plus tard » évoque les débats interminables qu’elle ne cesse de susciter. Examinons donc les « points forts » de sa théorie controversée.
Les médias de masse nous bombardent continuellement d’informations en faveur d’une telle évolution, et les manuels scientifiques prétendent invariablement que Darwin avait raison. Par contre, ces mêmes « autorités » admettent rarement les domaines dans lesquels il avait tort. Nous vous proposons donc 10 hypothèses de sa théorie qui se sont avérées fausses. Que s’est-il passé dans tous ces cas, et comment ces questions risquent-elles d’affecter votre point de vue et votre vie ?
1. La théorie de la « petite mare chaude »
Charles Darwin, écrivant à son bon ami Joseph Hooker, évoqua un jour la possibilité que la vie ait surgi spontanément d’une « petite mare chaude ».
De son temps, plusieurs savants croyaient encore en une génération spontanée, à l’idée que la vie ait pu surgir de l’absence de vie, ce qui faisait l’affaire de notre naturaliste. Par la suite, le savant français connu Louis Pasteur réfutait brillamment cette opinion, et 151 ans d’observations et d’expériences ont confirmé les résultats des travaux du chercheur français .
Il se trouve que la vie est infiniment plus complexe que Darwin aurait pu l’imaginer.
Il y a plusieurs décennies, la fameuse expérience de Miller et Urey eut lieu, supposément pour jeter quelque lumière sur les origines de la vie. En soumettant un mélange de plusieurs gaz à la chaleur et à des décharges électriques, on obtint une substance semblable à du goudron, contenant certains acides aminés. On sait que l’expérience fut truquée, la présence d’oxygène – qui aurait détruit les résultats – en ayant été omis. Selon les savants, de l’oxygène était présent quand la vie fit son apparition.
Même avec cette expérience truquée, on n’est pas parvenu à fournir le niveau d’acides aminés requis pour créer les éléments de base de la vie, les protéines infiniment complexes qui, elles-mêmes, doivent être intégrées avec une infinie précision dans des systèmes immensément complexes.
Bien que l’expérience de Miller et Urey ait permis la fabrication artificielle de quelques éléments organiques de base, on n’a rien pu en tirer. Comment s’y prendre, en effet, pour assembler tous ces éléments disparates en un tout élégant et fonctionnel où ceux-ci occupent tous la bonne place ?
Un tel ensemble doit aussi contenir, en quelque sorte, une fondation, des murs, des portes, des fenêtres, un toit, l’électricité et un système d’élimination des déchets. Et puis il a besoin de créer un certain nombre de matériaux autres que les éléments de base qui doivent être conçus et assemblés avec précision, puis doit avoir la capacité de se reproduire.
Nous faisons allusion, bien entendu, à la simple cellule dont la complexité défie l’imagination. Et le plus primitif de ces éléments de base de la vie, comme nous allons le voir, est infiniment plus complexe que l’édifice le plus sophistiqué.
Quand les savants se lancent dans leurs calculs, le darwinisme n’avoisine même pas le probable ou le possible.
Sir Fred Hoyle, le défunt astronome et mathématicien britannique qui fut adoubé chevalier pour ses travaux scientifiques, fit remarquer à propos de l’expérience de Miller et Urey : « Les … éléments de base des protéines peuvent donc être fabriqués par des moyens naturels. Mais cela ne prouve pas – et de loin –que la vie ait pu évoluer de cette manière. Personne n’a démontré que les arrangements corrects des acides aminés, comme les arrangements des enzymes, puissent être produits par cette méthode…
De son temps, certains savants croyaient que la vie pouvait surgir de l’absence de vie. Il s’avère que cette dernière est infiniment plus complexe que Darwin l’avait imaginé.
« Imaginons un tas de ferraille contenant tous les morceaux d’un Airbus A380, éparpillés et dans le désordre. Une tempête souffle sur ladite décharge. Quelle chance y a-t-il, du fait de cet ouragan, de voir un A380 tout assemblé et prêt à prendre l’air ? Si infime qu’elle est négligeable, même si une tornade traversait assez de tas de ferraille pourr emplir tout l’univers » (The Intelligent Universe, 1983, p. 18-19; c’est nous qui soulignons tout au long de cet article).
Darwin était persuadé que les variations énormes surgissaient des cellules par hasard, ce qui s’avéra par la suite être à 100% faux.
Les faits scientifiques indiquent clairement que la vie n’a pas surgi spontanément – et ne pourrait pas surgir spontanément – d’une petite mare chaude, comme le pensait Darwin. Ce que nous constatons en examinant soigneusement ce qu’indique le registre des fossiles, c’est que – comme l’indique la loi de la biogenèse – la vie ne peut provenir que de la vie.
2. La supposée simplicité de la cellule
Prenons l’exemple de la simple bactérie. Ce que Charles Darwin put observer au microscope rudimentaire de son époque semblait primitif – ressemblait à une boulette de matière à laquelle on a donné le nom de protoplasme – et il pensait que cet amas d’apparence gélatineuse était formé de quelques composantes élémentaires pouvant aisément être assemblées.
À présent, on sait qu’à l’intérieur de la plus simple des bactéries évoluent des machines moléculaires complexes, et que chacune d’elles ressemble davantage à une usine moderne d’assemblage d’automobiles, étant dotée de divers dispositifs robotisés et d’un centre de contrôle sophistiqué.
Le biologiste moléculaire Jonathan Wells, et le mathématicien Willaim Dembski font remarquer: « Il est vrai que les cellules eucaryotes sont les plus compliquées de toutes les cellules que nous connaissons, mais les formes de vie les plus simples – les cellules procaryotes (telles que la simple bactérie, qui ne contient pas de noyau) sont elles-mêmes infiniment complexes. De plus, elles sont tout aussi high tech que les cellules eucaryotes ; si les eucaryotes ressemblent aux ordinateurs portables les plus perfectionnés, les procaryotes, quant à eux, ressemblent aux téléphones portables les plus sophistiqués… Absolument rien ne prouve que des formes de vie antérieures plus primitives aient existé, desquelles les procaryotes aient évolué » (How to Be an Intellectually Fulfilled Atheist (or not), 2008, p. 4).
Ces auteurs mentionnent ensuite ce que ces deux types de cellules ont en commun dans leur complexité :
• Elles traitent, entreposent et puisent des informations.
• Elles emploient des langages artificiels et sont munies de leurs propres décodeurs.
• Elles détectent et corrigent les erreurs et sont munies de dispositifs de contrôle de qualité.
• Elles possèdent une technologie numérique d’enchâssement de données.
• Elles possèdent des dispositifs de transport et de distribution.
• Elles possèdent un système de livraison automatique.
• Elles possèdent des processus d’assemblage utilisant des préfabriqués.
• Elles possèdent des centres de fabrication robotisés se reproduisant d’eux-mêmes. Il s’avère donc que les cellules sont infiniment plus complexes et sophistiquées que Darwin l’avait imaginé. Comment tout cela aurait-il pu être le produit du plus pur des hasards quand tous les plannings et toute l’ingénierie humaine ne sont même pas capables d’obtenir un tel résultat ? Aucun laboratoire n’a encore réussi, et de loin, à reproduire un simple cheveux humain !
3. Les idées concernant les informations contenues dans la cellule
Du temps de Darwin, les savants ignoraient le type ou la quantité d’informations enchâssées dans la cellule. Darwin pensait que cette dernière était élémentaire, ne contenant que quelques données régissant son fonctionnement.
Étant persuadé de la simplicité rudimentaire des informations contenues dans la cellule, il échafauda une théorie – celle de la pangenèse, les variations énormes surgissant des cellules par hasard – ce qui s’avéra par la suite être à 100% faux.
De surcroît, quelque 150 ans plus tard, il s’avère que les informations contenues dans la cellule sont stupéfiantes par leur complexité.
Il importe, pour commencer, d’examiner le type de données entreposées dans le noyau de la cellule. Il s’agit en fait d’un langage génétique – possédant un alphabet numérique à quatre lettres et se conformant à des règles grammaticales – infiniment supérieur au langage artificiel de n’importe quel ordinateur inventé par l’homme. Bill Gates, fondateur de Microsoft, la plus importante société de logiciels informatiques du monde, a déclaré que « l’ADN ressemble à un programme informatique, à la différence près qu’il est beaucoup plus perfectionné que n’importe quel logiciel jamais inventé » (The Road Ahead, 1995, p. 188).
À l’intérieur du noyau de chaque cellule humaine se trouvent plusieurs milliers d’instructions soigneusement codifiées (appelées gènes) qui doivent être traduites, transportées et reproduites. L’information, comme l’ont découvert les savants, ne relève pas du domaine matériel, elle n’a aucune masse, n’a ni longueur ni largeur, bien qu’elle puisse être matériellement véhiculée. Il n’a pas non plus été démontré qu’elle puisse évoluer ou être améliorée par des mutations.
Chaque molécule d’ADN humain contient environ 3 milliards de caractères génétiques, et aussi incroyable que cela puisse paraître, le taux d’erreur de la cellule – après que toutes les machines moléculaires éditrices ont effectué leur travail – n’est que d’une (erreur de copie – ou mutation de point) sur dix milliards de caractères !
Comme l’explique le physicien et chimiste Jonathan Sarfati, « La quantité d’informations pouvant être entreposée dans le volume d’une tête d’épingle d’ADN équivaut à une pile de livres, à couverture souple, 500 fois plus haute que la distance séparant la Terre de la lune, toutes différentes les unes des autres bien que particulières. Autrement dit, si nous pensons que nos nouveaux disques durs d’ordinateurs de 40 gigaoctets sont des merveilles technologiques, nous devons bien comprendre qu’une tête d’épingle d’ADN peut contenir 100 millions de fois plus d’informations » (DNA: Marvelous Messages or Mostly Mess ? mars 2003, édition en ligne).
Une évolution et une sélection naturelle, dénuées d’intelligence, auraient-elles pu créer des instructions aussi précises et aussi sophistiquées que celles de l’ADN– y compris les instincts liés à toutes les espèces et qui permettent à ces dernières de survivre ? Croire qu’une évolution aveugle et fortuite ait pu produire des informations aussi étonnantes que celles de l’ADN exige beaucoup plus de foi que de croire en un Architecte intelligent capable de créer cette prodigieuse quantité de données minutieusement codées !
Ce qui est significatif, c’est que la découverte de cette haute qualité d’informationscontenues dans la cellule, ainsi que leur énorme quantité, ont poussé un philosophe athée très connu et respecté à renoncer à son opinion que les créatures qui nous entourent ne révélaient pas la présence d’une intelligence.
« Ce que l’ADN a accompli, à mon avis, a déclaré Sir Anthony Flew, de Grande Bretagne, jadis l’un des athées les plus convaincus au monde, c’est que par la complexité quasi incroyable des combinaisons frôlant l’inimaginable exigés pour produire [la vie], cette intelligence a dû être impliquée pour permettre à ces éléments étonnamment différents d’agir de concert.
« Je veux parler de l’énorme complexité du nombre des éléments en présence, et de la subtilité des moyens dont ils oeuvrent ensemble. Je veux parler de l’énorme complexité grâce à laquelle les résultats que l’on sait ont été achevés, lesquels, en ce qui me concerne, sont l’ouvrage d’une intelligence » (There is a God, 2007, p. 75).
Tout ce que nous savons à propos de l’ADN indique que ce dernier programme l’espèce à demeurer dans les limites de son identité. Les modifications génétiques qui ont lieu sont, typiquement, mineures et ne portent pas à conséquence, alors que les grandes mutations dont on parle, plutôt que de produire des modèles nouveaux et améliorés, nuisent énormément à la survie de l’organisme.
Darwin avait prévu que les informations contenues dans la cellule s’avéreraient simples. Il avait entièrement tort. Il s’est avéré que ces informations existent en quantité étonnante, sont de la plus haute qualité et d’une complexité époustouflante.
4. Son explication des fossiles intermédiaires
Pendant toute sa vie, Darwin chercha à expliquer le registre, pour lui déroutant, des fossiles. Et pour cause ! Pour étayer sa théorie, il eut fallu que les faits indiquent une progression marquée entre les diverses espèces animales, et des millions de chainons intermédiaires.
Voici en effet ce qu’il déclara : « Le nombre de chainons [d’espèces] intermédiaires ou en transition entre toutes les espèces vivantes et toutes les espèces disparues a dû être incroyablement abondant. Assurément, si cette théorie [de l’évolution] est juste, ces espèces [ou chainons intermédiaires] ont dû vivre sur la Terre » (L’Origine des espèces, 1958, p. 289, version originale).
Confronté aux faits, Darwin reconnut : « Le caractère distinct de formes de vie particulières, et l’absence de chainons intermédiaires innombrables qui devraient les accompagner représente évidemment une difficulté substantielle… Comment se fait-il que l’on ne trouve pas une énorme quantité de ces chainons manquants dans chaque formation géologique et dans chaque strate ? Il est un fait que la géologie n’offre aucune chaine organique graduée de la sorte; et cette lacune, sans doute, représente l’objection la plus flagrante et la plus sérieuse à ma théorie » (p. 287).
Il pensait éventuellement que les « innombrables chainons intermédiaires » faisant partie intégrale de sa théorie seraient découvert. L’ont-ils été ?
Comme l’a admis le paléontologue évolutionniste David Raup, « Nous voilà quelque 120 ans après Darwin, et la connaissance du registre des fossiles a considérablement augmenté. On compte aujourd’hui quelque 250 000 fossiles d’espèces diverses, et pourtant, la situation n’a guère changé.
« Le registre de l’évolution est toujours aussi étonnamment incomplet, et, comble d’ironie, on dispose même de moins d’exemples de transitions évolutives qu’à l’époque de Darwin… Par conséquent, le problème de Darwin ne s’est guère estompé ces 120 dernières années; nous affichons toujours un registre indiquant quelque changement, mais décidément pas le genre de changement qui puisse être cité comme la conséquence la plus raisonnable d’une sélection naturelle » (Field Museum of Natural History Bulletin, 1979, p. 25).
Où constate-t-on l’évolution graduelle d’espèces en mutation, d’une espèce à une autre, que certains savants ont qualifiées de « monstres tant espérés » que, d’après Darwin, on finirait par découvrir dans le registre des fossiles ?
Niles Eldredge, un autre paléontologue connu, répond contre son gré à cette question en ces termes : « Pas étonnant que les paléontologues aient pris si longtemps leurs distances à l’égard de l’évolution. Elle semble ne jamais avoir lieu. L’échantillonnage assidu de diverses falaises n’a produit que des zigzags, que des oscillations mineures, et la très rare et infime accumulation de changements sur des millions d’années, à un rythme si lent qu’il ne correspond pas réellement à tous les énormes changements ayant soi-disant eu lieu d’après le récit que nous confère l’évolution.
Les innombrables chainons manquants au sein des divers types de plantes ou d’animaux sont toujours absents
« Quand on constate l’introduction d’une nouveauté évolutionniste, c’est généralement présenté avec un certain fracas, et souvent sans la moindre preuve concluante que les organismes en question n’aient pas évolué ailleurs ! L’évolution ne peut pas indéfiniment avoir lieu « ailleurs ». Or, c’est de cette manière que le registre des fossiles a frappé de nombreux paléontologues déconfits cherchant à se renseigner sur l’évolution » (Reinventing Darwin : The Great Evolutionary Debate, 1995, p. 95).
« Tel est le verdict de la paléontologie moderne: Le registre n’indique pas une évolution graduelle du type darwinien, fait remarquer le journaliste George Sim Johnston. Otto Schindewolf, probablement le plus grand paléontologue du XXe siècle, a écrit que les fossiles contredisent ouvertement Darwin. Steven Stanley, un paléontologue qui enseigne à l’université de John Hopkins, a écrit dans The New Evolutionary Timetable, que le registre des fossiles ne prouve pas de manière convaincante la moindre transition d’une espèce à une autre » (An Evening With Darwin in New York, Crisis, avril 2006, édition en ligne).
Autrement dit, le registre des fossiles n’a pas soutenu Darwin. Les innombrables chainons manquants d’espèces en mutation au sein des divers types de plantes ou d’animaux brillent toujours par leur absence. Tout ce qu’on a pu constater, c’est toute une variété d’espèces pleines de vie et merveilleusement conçues s’adaptant à leur environnement, mais cela n’indique pas la moindre mutation et aucun degré d’évolution.
5. Son incapacité à mesurer les limites des variations au sein des espèces
Darwin eu l’idée d’une sélection naturelle en partie en observant une sélection artificielle. Il remarqua, par exemple, que les éleveurs de pigeons possédaient une abondante variété de ces oiseaux. Ce qu’il ne faut néanmoins pas oublier, c’est que tous ces oiseaux étaient des pigeons.
Selon lui, de cette variété, et sur une durée suffisante, ces pigeons pourraient éventuellement évoluer et devenir d’autres types d’oiseaux comme des aigles ou des vautours, et le cas échéant même d’autres créatures comme les chauve-souris qui sont des mammifères.
En biologie, nul ne contredit la notion de changement au fil du temps ; l’hérédité y souscrit. Nous différons de nos parents et de nos grand-parents; néanmoins, ce n’est pas ce dont il est question dans la théorie de l’Évolution. Cette dernière tente d’expliquer comment les micro-organismes, les insectes, les poissons, les oiseaux, les tigres, les ours et même les êtres humains sont devenus ce qu’ils sont à présent, au gré de l’écoulement du temps.
Il n’est guère difficile d’accepter également ce que l’on appelle la micro-évolution, certains changements au sein des diverses espèces, où certaines mutations et une certaine sélection naturelle se produisant parfois. Nous avons plusieurs exemples dans la nature de ces adaptations mineures au sein d’organismes, comme la résistance développée par des microbes pour les antibiotiques; la modification des yeux et des ailes des mouches à fruit; et les tailles variées des becs de certains serins. Ce qu’il ne faut cependant pas perdre de vue, c’est que ces microbes sont toujours des microbes; ces mouches à fruit toujours des mouches; et ces serins toujours des serins !
L’évolution darwinienne qu’on enseigne dans les écoles concerne la macro-évolution, des changements dépassant les limites dans les variétés des espèces, ayant pour résultats (supposés) la création de nouvelles espèces. Elle s’appuie sur trois suppositions (ou hypothèses) : 1 – Que toutes les créatures vivantes ont un ancêtre commun ; 2 – Que les principaux mécanismes pour les changements sont la sélection naturelle et des mutations ; 3 – Qu’il existe des processus naturels aveugles n’impliquant aucune forme d’intelligence.
A-t-on jamais constaté, dans les formes de vies présentes comme dans le registre des fossiles, la lente modification et la mutation de formes de vies d’une espèce à une autre ? Jamais !
Comme l’a déclaré le biochimiste athée Michael Denton, « Il est un fait que les preuves, il y a cent ans, étaient si fragiles que Darwin lui-même nourrissait des doutes sur la validité de ses idées, et le seul aspect de sa théorie ayant été approuvé au cours des cent dernières années relève des phénomènes micro-évolutionnistes.
« Sa théorie générale postule que toute vie ici-bas provient d’une accumulation progressive de mutations fortuites et a évolué à partir de ces dernières. Comme du temps de Darwin, il s’agit toujours d’une hypothèse hautement spéculative dénuée de soutien factuel direct et est loin d’être l’axiome auquel quelques-uns de ses partisans les plus acharnés voudraient nous faire croire » (Evolution: A Theory in Crisis, 1985, p. 77).
Le zoologue Pierre Grasse, défunt président de l’Académie Française des Sciences, insistait sur le fait que ces adaptations « au sein des espèces, n’ont absolument rien à voir avec l’évolution ; qu’il s’agit simplement de fluctuations entourant un génotype stable – un cas d’ajustement écologique mineur. Il comparait ces changements à un papillon volant dans une serre, capable de le faire jusqu’à ce qu’il lui faille virer à droite ou à gauche ou revenir en arrière.
Darwin espérait que des recherches et des découvertes ultérieures indiqueraient que le bon million d’espèces vivant à présent icibas, ou les millions de fossiles d’animaux disparus ayant, selon lui, vécu jadis, révéleraient une certaine transition graduelle entre eux. Son manque de connaissances des lois de l’hérédité, ainsi que les obstacles génétiques insurmontables ayant été découverts entre les espèces, ont certes démantelé sa théorie.
6. Son rejet de l’explosion cambrienne
Darwin était conscient de ce qu’on a appelé l’explosion cambrienne, des fossiles d’une variété déroutante de formes de vie complexes étant soudain apparues, sans prédécesseurs, dans les mêmes strates inférieures du registre des fossiles. Il va sans dire que cela ne correspondait aucunement à son modèle d’une évolution où les formes de vie les plus simples devancent les plus complexes.
Au lieu de quelques organismes germains apparaissant tôt dans le registre des fossiles comme il l’avait espéré, on constatait une véritable explosion de formes de vie dans laquelle les divers types d’organismes principaux (appelés phyla) de créatures vivantes (32 des 33 phyla qu’on peut observer à présent) semblaient tous avoir surgi à la même époque. Si l’on comparait ce développement aux progrès des inventions humaines, ce serait comme si un grille-pain, une machine à laver, un réfrigérateur, un climatiseur et une automobile apparaissaient soudain sans la présence antérieure de pièces mécaniques.
À propos de l’explosion cambrienne, la revue Time faisait remarquer, il y a quelques années : « Des créatures munies de dents, de tentacules, de griffes ou de mâchoires surgirent subitement avec la soudaineté des apparitions. Dans un éclat de créativité sans précédent, la nature semble avoir tracé les plans de pratiquement toutes les créatures du règne animal. Cette explosion de diversité biologique est décrite par les savants par l’expression « Big Bang de la biologie » (Madeline Nash, When Life Exploded, 4 décembre 1995, p. 68).
Cette « énorme explosion » ou cette apparition soudaine de créatures totalement différentes, dans les strates inférieures du registre des fossiles posait un problème énorme à Darwin – problème qui, il fallait bien l’admettre, sapait sa théorie à la base.
Il écrivit : « À la question de savoir pourquoi on ne trouve pas de riches gisements fossilifères appartenant à ces périodes supposées antérieures au système cambrien, je ne puis fournir aucune réponse satisfaisante… La difficulté à fournir une bonne raison à l’absence d’énormes strates riches en fossiles sous le cambrien est grande… C’est un sujet qui, à présent, doit demeurer inexplicable; et peut être réellement fourni comme argument valable à l’encontre des points de vues ici exposés » (L’origine des espèces, p. 309- 310, version anglaise).
Ce dilemme confrontant les évolutionnistes, comme l’explique le biologiste Stephen Meyer, subsiste: « Les fossiles de l’explosion cambrienne ne peuvent pas être expliqués par la théorie darwinienne, ni même par l’idée d’un « équilibre ponctué » formule créée tout spécialement pour tenter d’expliquer le registre plutôt embarrassant des fossiles. Quand on étudie la question du point de vue de l’explication biologique, l’explication la plus logique est qu’une intelligence est responsable de ce phénomène autrement inexplicable.
« Par conséquent, quand on est en présence de l’explosion cambrienne, l’apparition soudaine et énorme de structures corporelles radicalement nouvelles, on se rend compte que l’on a besoin de beaucoup de nouvelles informations biologiques. Certaines d’entre elles doivent être encodées dans l’ADN, bien que la manière dont cela se produit représente toujours un problème insurmontable pour le darwinisme.
« Mais en plus de cela, d’où proviennent les informations que l’on ne peut attribuer à l’ADN ? Comment l’arrangement hiérarchique des cellules, des tissus, des organes et des structures corporelles se développe-t-il ? Les darwinistes n’en ont aucune idée. Cela n’apparaît même pas sur leur radar » (cité par Lee Strobel, The Case for a Creator, 2004, p. 238-239).
Après plus de 150 ans de recherches visant à éclaircir le registre des fossiles du Cambrien, il n’existe toujours aucun mécanisme évolutionniste capable d’expliquer de manière satisfaisante l’apparition soudaine de tant de formes de vie totalement différentes.
Ce que l’on a observé, c’est non pas le simple organisme de quelques formes de vie évoluant graduellement pour en former de nombreuses, mais l’apparition soudaine d’un véritable zoo de la vie, une variété déconcertante de formes de vie complexes surgissant toutes entièrement formées et occupant les strates inférieures fossilifères.
7. Sa théorie de l’homologie
Dans ses recherches, Darwin s’aperçut que diverses créatures ont des caractéristiques communes, comme les cinq doigts de la main humaine et les cinq renforts des ailes de la chauve-souris ou de l’aileron du dauphin. Il postula que ces similitudes entre diverses espèces, et qu’il appela homologie, prouvaient qu’elles descendaient d’un ancêtre commun.
Cet argument s’appuie sur une analogie bien faiblarde, compte tenu du fait que le registre des fossiles n’indique pas la moindre évolution graduelle de ces membres, d’une espèce à une autre. Il existe, par contre, une autre explication, bien plus simple, de ce phénomène: au lieu d’un ancêtre commun, se pourrait-il qu’il y ait similitude dans le design ?
Ce genre de similitudes se retrouve dans ce que l’homme construit. Nous équipons nos automobiles, nos chariots et certains de nos aspirateurs de quatre roues, et cela ne signifie pas pour autant qu’ils aient tous un ancêtre commun, le même inventeur. La présence de quatre roues fournit plus de stabilité que trois et répartit mieux le poids à déplacer. On peut conclure de cette analogie qu’un sage inventeur se servirait de ce type de modèle à quatre pattes, au lieu de trois, pour fournir plus de stabilité et de force à de nombreux animaux.
Parallèlement, l’utilisation de cinq doigts dans la main, dans des ailes ou des ailerons indique la présence de caractéristiques utiles reproduites dans plusieurs espèces pour obtenir de meilleurs résultats. La même remarque s’applique au nombre d’yeux qu’ont de nombreuses créatures, de la grenouille à l’homme; à leur nombre d’oreilles et de membres. Tout cela prouve un design et des fonctions utiles et positives.
Est-il plus logique de dire qu’un Architecte s’est servi de similitudes dans ses modèles, vu leur bon fonctionnement, ou de dire que certaines similitudes sont le produit du hasard, d’une sélection naturelle et de mutations aveugles s’étant produites après d’innombrables essais non concluants se retrouvant tous sur une pile de rejets dans le registre des fossiles, comme Darwin l’avait prédit ? Aucune preuve n’a jamais été découverte de la véracité de ce second scénario.
Quand des créatures, qui sont supposées être très différentes les unes des autres sur le diagramme de l’Évolution, affichent les mêmes caractéristiques sophistiquées, les évolutionnistes prétendent que ces dernières ont évolué séparément. Or, quelles chances y a-t-il pour que des caractéristiques complexes identiques aient évolué par hasard de nombreuses fois ? Là encore, un design commun représente une explication nettement plus logique.
8. Sa théorie que les humains descendent du singe
Dans son deuxième livre La filiation de l’homme et la sélection liée au sexe, Darwin propose l’idée que l’homme a évolué à partir d’un type de singe apparenté au chimpanzé.
Or, quand on examine de près les deux, on découvre des différences énormes entre le chimpanzé et l’homme. L’opinion, fort répandue, selon laquelle 99% de notre ADN serait analogue à celui du singe a été réfutée par le déchiffrage du génome du chimpanzé.
La ressemblance, dit-on, serait dorénavant de l’ordre de 97%, d’après des études plus récentes, et qui – fait surprenant – n’ont guère fait la une de beaucoup de journaux. Stephan Anitei, chroniqueur scientifique pour Softpedia, a écrit : « Eh bien, la nouvelle étude conclut que les différences entre l’ADN de l’homme et celui du chimpanzé sont plutôt de 6 à 7%. Il existe des similitudes entre l’un et l’autre, mais aussi des différences notoires entre eux au niveau de leur morphologie, du cerveau, de l’intellect et du comportement, etc. » (How Much DNA Do We Share With Chimps ?, Softpedia, 20 novembre 2006, p. 1).
Une fois de plus, il importe de se demander si les similitudes existant entre le chimpanzé et l’homme sont dues à un ancêtre commun ou à un Architecte commun. En cas d’ancêtre commun, pourquoi les êtres humains lui diffèrent-ils autant, à présent, alors que les chimpanzés, eux, lui ressemblent toujours autant ? En fait, on ne constate aucune évolution à présent, tant chez le chimpanzé que chez l’homme.
Les lois de la génétique sont aussi inviolables que jamais – le chimpanzé restant un chimpanzé, et l’homme restant un homme. Au bout de 150 ans de recherches sur les formes de vie actuelles et le registre des fossiles, aucune preuve n’a été découverte d’un changement graduel entre espèces – entre le singe et l’homme.
9. Sa théorie sur l’arbre de la vie
Le seul dessin que Darwin ait dans son livre sur l’origine des espèces est celui du prétendu « arbre de la vie ». Il représente la transformation imaginaire d’un ancêtre commun (à la base) donnant naissance aux diverses espèces que nous connaissons aujourd’hui (les petites branches). Ledit diagramme, en fait, s’appuie sur de légères variations au sein des espèces, après de nombreuses générations, puis il ajoute quelques suppositions.
Une fois de plus, Darwin outrepasse considérablement les faits. Il se sert de preuves partielles relatives à certaines adaptations, puis il extrapole en adoptant l’idée qu’une espèce ou un genre (un groupe d’espèces se reproduisant entre elles) peut donner naissance à une espèce totalement nouvelle, raisonnement en tout point spéculatif. Il déclare, malicieux, « je ne vois aucune raison à limiter le processus de modification, comme cela est expliqué, à la formulation de genres en soi » (p. 121). Il fallait bien qu’il fasse une telle déclaration, puisqu’aucune preuve tangible n’allait suivre !
Comme l’a écrit Jonathan Wells, « le problème le plus fondamental de l’évolution – l’origine des espèces – n’est toujours pas résolu. En dépit de plusieurs siècles de reproductions artificielles et de plusieurs décennies d’expériences en laboratoire, personne n’a jamais assisté à une spéciation (l’évolution d’une espèce en une autre espèce) par variation et sélection. Ce que Darwin prétendait à propos de toutes les espèces n’a même pas été démontré sur une seule espèce » (The Politically Incorrect Guide to Darwinism and Intelligent Design, 2006, p. 64).
Par conséquent, à la place d’un « arbre de la vie » qui débute avec un ou quelques ancêtres communs, puis s’étend, croît un « arbre de la vie » inversé et plutôt fragmenté dans lequel les branches de la vie étaient, au départ, très diversifiées et nombreuses. Or, par des disparitions et par des apparitions soudaines, nous avons moins de formes de vies à présent que jadis.
« De tous les icônes de l’évolution, ajoute le Dr Wells, « l’arbre de la vie est le plus pénétrant, car la descendance à partir d’un ancêtre commun représente le fondement de la théorie de Darwin… Pourtant, Darwin savait, et les savants l’ont récemment confirmé, que le registre primitif des fossiles met l’arbre de la vie évolutionniste sens dessus dessous. Il y a dix ans, on espérait que l’évidence offerte par l’étude de la molécule sauverait l’arbre en question, mais des découvertes récentes ont démoli cet espoir. Bien que vous ne puissiez l’apprendre à la lecture de manuels de biologie, l’arbre darwinien de la vie a été déraciné » (ibid., p. 51).
10. Son rejet de Dieu dans la création, décrite dans la Bible
Charles Darwin était de son époque. Le XIXe siècle a été témoin de nombreux bouleversements sociaux – politiques, philosophiques, économiques et religieux – qui ont considérablement influencé le naturaliste. Son grand-père, Érasme Darwin, un noncroyant qui avait rédigé des écrits sur l’Évolution, et son père Robert, non-croyant lui aussi, exercèrent sur lui une forte influence. Le décès de sa fille tant aimée Annie, à l’âge de 12 ans, sapa considérablement la foi qu’il avait eu en Dieu.
Onze ans, environ, après avoir écrit son Origine des espèces, il reconnut franchement les deux raisons principales pour lesquelles il l’avait écrit: « Qu’il me soit permis de dire, comme pour m’excuser, que j’avais deux objectifs distincts en tête; premièrement, de montrer que les espèces n’avaient pas été créées séparément, et deuxièmement, que la sélection naturelle avait été l’agent principal de changement…
« Plusieurs parmi ceux qui admettent le principe de l’évolution mais rejettent la sélection naturelle semblent oublier, quand ils critiquent mon livre, que j’avais en tête les deux objectifs cités ci-dessus ; par conséquent, si je me suis trompé en rendant la sélection naturelle très populaire, ce que je suis fort loin de reconnaître, ou en ayant exagéré son importance, ce qui est probable, j’ai du moins, comme je l’espère, rendu un grand service [au public] en favorisant le renversement du dogme des créations distinctes » (La filiation de l’ homme, 1871, p. 92).
Notez bien que la première raison pour laquelle il rédigea son livre était religieuse ; en effet, il cherchait à « renverser le dogme des créations distinctes ». En d’autres termes, il ne voulait pas entendre parler de la version biblique des origines, avec Dieu pour Créateur. Il répandit l’idée que le monde, fait de matière et d’énergie, peut s’expliquer par toutes les formes de vie qui nous entourent, par sélection naturelle et variation, philosophie scientifique connue sous les termes de matérialisme scientifique.
« La publication intégrale des premiers carnets de notes de Darwin, déclare le philosophe scientifique Stanley Jaki, oblige quiconque à conclure qu’en écrivant son autobiographie, Darwin mentit en pleine connaissance de cause en prétendant avoir ‘lentement, et inconsciemment’ sombré dans l’agnosticisme.
« Il essaya de protéger sa propre famille ainsi que le public victorien, contre le choc causé par la découverte que ses carnets de notes étaient saturés de matérialisme militant. La cible principale de ses carnets de notes et le raisonnement de l’homme (la citadelle, pour le citer) qu’il fallait conquérir par sa théorie évolutioniste pour que le matérialisme soit victorieux » (The Savior of Science, 1988, p. 126).
De plus, il semble que Darwin n’ait jamais tenu compte des créationnistes de son temps qui croyaient que la terre avait bien plus de 6 000 ou 10 000 ans et que Dieu a créé chaque espèce amplement capable de s’adapter, comme on le constate aujourd’hui à l’examen du registre des fossiles.
Au lieu de cela, il plaça pour ainsi dire les créationnistes dans un coffret, les obligeant à croire en une création récente et en des espèces fixes confinées à des régions précises. C’était bien là un « homme de paille » qu’il s’était confectionné et sur qui il allait pouvoir taper continuellement dans ses écrits. À ses yeux, l’évolution était scientifique et devait être étudiée avec un esprit ouvert, mais au sein d’un système matérialiste fermé, minimisant ou éliminant tout rôle pour un dessein intelligent ou pour Dieu.
Or, au lieu de voir les connaissances accumulées au cours des 150 dernières années indiquant des causes aveugles et fortuites pour une nature effectuant la création, on constate à présent, à partir de preuves moléculaires, chimiques, biologiques et astronomiques que tout indique la présence d’un Architecte suprême intelligent.
Comme l’a si élégamment déclaré Phillip Johnson, professeur de Droit à l’Université de Californie, « l’évolution darwinienne… me fait penser à un grand cuirassé sur l’océan de la réalité. Ses flancs sont blindés de barrières philosophiques contre la critique, et ses pontons sont couverts de gros canons rhétoriques destinés à intimider tout adversaire éventuel…
« Mais une brèche métaphysique s’est déclarée à bord [due à un dossier de plus en plus volumineux en faveur d’un dessein intelligent], et les officiers les plus perspicaces à son bord ont commencé à s’apercevoir que sa puissance de feu ne peut pas le sauver si la fuite n’est pas colmatée. Certes, des efforts héroïques seront fournis pour tenter de sauver le vaisseau… le spectacle sera fascinant et la bataille de longue haleine. Mais en fin de compte, la réalité l’emportera » (Darwin on Trial, 1993, p. 169-170).
Le bicentenaire de Darwin est passé, mais, comme l’a prédit Phillip Johnson, les idées de celui-ci finiront sur la pile de détritus de l’histoire. Et Johnson de conclure : « Toutes les histoires du XXe siècle ont été teintées de l’influence de trois penseurs prééminents : Darwin, Marx et Freud. Marx et Freud sont déjà tombés… Je suis convaincu que Darwin est déjà sur l’échafaud. Sa chute sera la plus spectaculaire des trois » (Defeating Darwinism by Opening Minds, 1997, p. 113).
Nous attendons impatiemment le jour où le monde se débarrassera de ce mensonge pernicieux consistant, comme l’indique le premier chapitre de l’épître de Paul aux Romains, à adorer la création, et qu’il en viendra enfin à plutôt reconnaître et adorer son Créateur !