Les défis que de récentes découvertes lancent à la théorie fallacieuse de Darwin
Quel retournement spectaculaire de la situation ! Au moment même où l'on avait l'impression que le mouvement du Dessein Intelligent (ou de la Conception Intelligente) se mettait à battre de l'aile, voila que sort le remarquable documentaire Expelled : No Intelligence Allowed [Renvoyé : Pas question d'Intelligence !] ! Comme il est fascinant de voir l'auteur et ancien professeur de Droit réputé, Ben Stein, voyager de par le monde, interrogeant bon nombre de partisans acharnés tant du Dessein Intelligent que de l'Évolution.
Le film en question dresse un bilan équilibré sur la controverse entre le Dessein Intelligent et l'Évolution, et montre comment les savants, les professeurs et les enseignants partisans d'une conception intelligente ne cessent d'être persécutés par leurs collègues pour oser douter du prétendu bien fondé du darwinisme.
Le registre des fossiles n'a guère aidé les évolutionnistes. Les innombrables chaînons manquants liant supposément les principales espèces, brillent toujours par leur absence.
Comment est-ce possible ? Il est plus que temps de s'interroger sur ce sujet fort controversé affectant nos fondements sociaux, moraux, scientifiques et religieux. Nier la présence du débat en cours ne saurait le faire disparaître.
Une rose est une rose, ou bien…
Que faut-il entendre par Évolution ? Question simple et légitime. Qui suscite, semble-t-il, plusieurs dizaines de réponses. Le problème no 1, dans le débat opposant l'Évolution au Dessein Intelligent, se situe dans le fait qu’on est loin de s'accorder sur le sens des termes en présence.
« Évolution » peut signifier quelque chose d'aussi simple qu'un « changement se produisant sur une certaine durée », ou il peut s'agir d'une explication globale de l'univers entier, comme le postula un jour Sir Julian Huxley : « La terre n'a pas été créée, disait-il ; elle a évolué. Idem pour tous les animaux et toutes les plantes qu'elle abrite, y compris les êtres humains avec leurs pensées et leurs âmes, leurs cerveaux et leurs corps. Idem pour la religion » (The Humanist Frame, 1961, p. 18).
Comme vous pouvez le remarquer, l'impact de ce genre de déclarations sur l'optique du commun des mortels, y compris sur ses croyances, est énorme. D'où la nécessité d'établir de claires définitions à ce sujet. Dans De l'autre côté du miroir, de Lewis Carroll, séquelle d'Alice au pays des merveilles, le personnage imaginaire Humpty- Dumpty déclare : « Quand je me sers d'un mot, il a le sens que je lui choisis, ni plus ni moins ». Les définitions peuvent être très subjectives, et parfois très trompeuses. L'une des supercheries dont se servent souvent les partisans de l'Évolution est la tactique consistant à utiliser, pour commencer, une définition non controversée et aisément acceptée, puis à la réutiliser par la suite, mais dans un contexte différent, ou en en modifiant totalement le sens.
Exemple : L'humaniste Eugénie Scott, séculière athée et chevronnée, directrice du National Center for Science Education (un organisme ayant pour objectif la promotion de l'enseignement de l'évolution) semble modifier ses définitions en fonction de ses auditoires. Elle conseille aux professeurs de biologie : « Définissez l'Évolution comme étant la substance de l'histoire de notre planète ; notre quête de compréhension modifiée si besoin est, au fil du temps. Le présent diffère du passé. Il y a eu Évolution. Point de débat à ce sujet dans les sphères scientifiques ; elle a eu lieu, etc... J'ai adopté cette optique dans l'enseignement secondaire » (Dealing With Anti-Evolutionism, 2001, p. 8).
Or, dans le même article, elle précise ce qu'elle veut à tout prix que l'élève comprenne : « Qu'est-ce que nous voulons que les élèves sachent à propos de l'évolution organique ? L'idée de base, c'est que les formes de vies [les espèces] sont apparentées les unes aux autres via des ancêtres communs, à partir de formes antérieures [primitives] ne leur ressemblant pas [en somme, l'homme aurait évolué à partir de l'amibe]. Darwin qualifiait cela de “descendance accompagnée de modification” et c'est toujours la meilleure définition de l'Évolution dont on puisse se servir, surtout avec le public dans son ensemble, et les jeunes élèves en particulier » (p. 5).
On constate donc que les définitions changent en fonction de l'auditoire. Pratiquement personne ne refuse de croire « qu'un changement au fil du temps » se soit produit dans le domaine biologique. L'hérédité s'en charge bien ; nous sommes différents de nos parents et de nos grands-parents, mais ce n'est pas de cela qu'il est question avec la théorie de l'Évolution. Cela va bien plus loin. Cette théorie essaie d'expliquer comment les micro-organismes, les insectes, les poissons, les tigres, les ours, et les êtres humains, bref, toutes les formes de vies, ont acquis leur forme présente à la suite de changements reproductifs graduels, d'une forme de vie à une autre, au fil du temps.
L'Évolution darwiniste, telle qu'elle est enseignée dans les écoles, s'appuie sur trois suppositions : 1) Celle selon laquelle toutes les formes de vies descendent d'un ancêtre commun. 2) Celle selon laquelle les principaux mécanismes provoquant les changements responsables de l'apparition de nouvelles espèces sont des mutations ayant lieu dans le contexte d'une sélection naturelle (synonyme de survie du plus fort). Et 3) Celle selon laquelle ces processus sont naturels ayant lieu sans l'intervention d'une intelligence.
Dès que nous comprenons où les partisans de l'Évolution veulent en venir, il est fort utile d'examiner la théorie d'un Dessein Intelligent pour savoir de quoi il s'agit.
Conception Intelligente et Créationnisme
Ce qu'il importe de bien comprendre, pour commencer, c'est que la théorie du Dessein Intelligent n'a pas été échafaudée par des théologiens, le clergé, ou des croyants. Cette conception moderne l'a été il y a une trentaine d'années par des savants qui ne parvenaient pas à réconcilier la complexité extraordinaire de la cellule avec les explications évolutionnistes. Par la suite, et à mesure que d'autres découvertes scientifiques favorisant l'idée d'une conception intelligente ont été faites, cette théorie s'est ramifiée pour inclure non seulement les preuves la soutenant dans le domaine de la biologie, mais aussi dans ceux de la cosmologie et de la physique.
Que faut-il entendre par « Dessein Intelligent » ou « Conception Intelligente » [deux traductions valables de l'anglais « Intelligent Design »] ? Voici la définition que l'on trouve sur Internet, www.intelligentdesign. org : « La théorie du dessein intelligent stipule que certains aspects de l'univers et des [diverses] formes de vie sont plus facilement explicables par une cause intelligente, et non un processus incontrôlé comme la sélection naturelle ».
Il va sans dire que cette théorie d'une conception intelligente représente une grave menace pour l'Évolution darwiniste, puisqu'elle part du principe que l'univers et toutes les formes de vies ont été conçues par une intelligence suprême au lieu d'être le résultat de forces anarchiques « naturelles ». La théorie moderne de l'Évolution refuse d'inclure quoi que ce soit qui ne fasse pas partie d'un règne naturel mesurable, en tant que cause première. Elle limite les possibilités à des forces naturelles et au hasard, concept appelé « naturalisme » ou « matérialisme » (ou même « matérialisme naturaliste »).
Le biologiste Richard Lewontin a reconnu, avec une certaine candeur, « Nous prenons le parti de la science, en dépit de l'absurdité manifeste de certains de ses concepts ; en dépit de la tolérance, de la part de la communauté scientifique, pour des histoires non prouvées ou des « allant de soi » illogiques ; parce que nous nous sommes engagés au départ dans le… matérialisme… Nous ne pouvons pas nous permettre de laisser la porte entrouverte, de risquer qu'un pied divin ne puisse se frayer un passage » (« Billions and Billions of Demons », New York Review of Books, 9 janvier 1997, p. 31).
Le Dr Scott Todd, un immunologue connu, fit un jour la remarque suivante : « Même si toutes les données pointent vers un concepteur intelligent, c'est là une hypothèse exclue de la science, car elle n'est pas naturelle » (Nature, 30 septembre 1999, p. 423).
Il existe un autre terme pour lequel on se fait souvent une idée préconçue : « créationnisme ». Ce terme décrit la croyance en la création de l'univers par un Créateur. Il s'applique à des millions de croyants. Néanmoins, pour beaucoup d'entre eux, il est synonyme d'une création récente de la terre et de l'univers, basé sur leur compréhension du récit biblique de la Genèse. Or, ce qu'il faut bien comprendre, c'est que la Bible ne s'oppose pas à l'idée d'une terre beaucoup plus ancienne que ne le supposent les « créationnistes » (Ne manquez pas de lire, à cet effet, notre article intitulé « Quand vécurent les dinosaures ? », à la p 14 de la présente édition). En fait, selon certains dictionnaires, la définition du mot « créationnisme » est plus générale. On peut lire, en effet, dans le Petit Larousse illustré de 1989 : « Théorie selon laquelle les animaux et les plantes ont été créés subitement et isolément par espèces fixes et immuables ». Si l'on se fie sur cette définition, des millions de croyants de par le monde sont « créationnistes ».
Des chaînons manquants toujours manquants
Les définitions mieux cernées, passons à une autre supercherie de l'Évolution, son registre des fossiles criblé d'énormes lacunes. Les évolutionnistes prétendent généralement que le registre des fossiles constitue une preuve primordiale de la validité de l'Évolution darwinienne. C'est ainsi que l'on a pu lire, dans un article rédigé par le National Center for Science and Education (institution partisane de l'Évolution) : « Le fait que l'évolution ait eu lieu est évident quand on étudie le registre des fossiles, lequel est un long registre de modifications dans les caractéristiques d'animaux et de plantes, des plus simples aux plus complexes, sur des centaines de millions d'années » (Gary Bennett, A Review of Pandas and People, un supplément à un manuel de classe, novembre 2000, édition électronique).
De quelle crédibilité bénéficie leur fameux « registre des fossiles » parmi les gens intelligents, et qui osent poser des questions pertinentes ? Si toutes les formes de vies proviennent – comme les évolutionnistes le prétendent – d'un ancêtre commun, ne devrionsnous pas trouver dans ledit registre, un peu partout, des millions d'espèces intermédiaires ? Charles Darwin lui-même n'avait-il pas reconnu : « Le nombre de chaînons [d'espèces] intermédiaires ou en transition, entre toutes les espèces vivantes et toutes les espèces disparues, a dû être incroyablement abondant. Assurément, si c'est le cas, ces espèces [ou chaînons intermédiaires] ont dû vivre sur la terre » L'Origine des Espèces, 1958, p. 289 version originale).
Darwin lui-même admit : « Il existe une énorme lacune au niveau de [ces espèces intermédiaires] ». Et il s'interrogea d'ailleurs en ces termes : « Comment se fait-il que l'on ne trouve pas une énorme quantité de ces chaînons manquants dans chaque formation géologique et dans chaque strate ? »
Il est un fait que la géologie n'offre aucune chaîne organique aussi minutieusement graduée ; et cette lacune, sans doute, représente l'objection la plus flagrante et la plus sérieuse à ma théorie » (p. 287).
Darwin pensait qu'éventuellement, ces « innombrables chaînons intermédiaires » étayant sa théorie seraient découverts. Or, l'ont-ils été ?
Le paléontologue David Raup a offert le bilan suivant à propos de ce qui avait été découvert [ou plutôt des découvertes brillant par leur absence], en 1979 : « Nous voilà quelque 120 ans après Darwin, et la connaissance du registre des fossiles a considérablement augmenté. On compte aujourd'hui 250 000 fossiles d'espèces diverses, et pourtant, la situation n'a guère changé. Le registre de l'Évolution est toujours aussi étonnamment incomplet, et, comble d'ironie on dispose même de moins d'exemples de transitions évolutives qu'à l'époque de Darwin…
« Par conséquent, le problème de Darwin ne s'est guère estompé ces 120 dernières années ; nous affichons toujours un registre indiquant quelque changement, mais décidément pas le genre de changement qui puisse être cité comme la conséquence la plus raisonnable d'une sélection naturelle » (Field Museum of Natural History Bulletin, 1979, p. 25).
Aprésent, 30 ans après ce constat, et quelque 150 ans après Darwin, le registre des fossiles n'indique toujours pas la moindre preuve d'une transition évolutive par changement graduel.
Bref, le registre des fossiles n'a guère aidé les évolutionnistes. Les innombrables chaînons manquants, les espèces intermédiaires liant les principales espèces, sont toujours manquants. Ils n'existent pas. Ils brillent par leur absence !
Un constat intelligent
Que dire à présent du Dessein Intelligent ? S'accorde-t-il avec le registre des fossiles ? Est-il plus logique ?
Jugez-en vous-mêmes ! Comme l'explique le géophysicien Stephen Meyer, au début du registre des fossiles, il existe ce qui est appelé « l'explosion cambrienne », une variété époustouflante de formes de vies complexes qui ne s'accorde pas avec le modèle évolutionniste darwinien d'une transition entre des formes de vie simples et des formes de vies complexes.
Comme le précise le Dr Meyer, « les fossiles de l'explosion cambrienne ne peuvent pas être expliqués par la théorie darwinienne, ni même par l'idée d'un « équilibre ponctué » formulé tout spécialement pour tenter d'expliquer le registre plutôt embarrassant des fossiles. Quand on étudie la question du point de vue de l'explication biologique, l'explication la plus logique est qu'une intelligence est responsable de ce phénomène autrement inexplicable.
« Par conséquent, quand on et en présence de l'explosion cambrienne, l'apparition soudaine et énorme de structures corporelles radicalement nouvelles, on se rend compte qu'on a besoin de beaucoup de nouvelles informations biologiques. Certaines d'entre elles doivent être encodées dans l'ADN – bien que la manière dont cela se produit représente toujours un problème insurmontable pour le darwinisme. Mais en plus de cela, d'où proviennent les nouvelles informations qu'on ne peut attribuer à l'ADN ? Comment l'arrangement hiérarchique des cellules, des tissus, des organes et des structures corporelles se développe-t-il ? Les darwinistes n'en ont aucune idée. Cela n'apparaît même pas sur leur radar » (cité par Lee Strobel, The Case for a Creator, 2004, p. 238-239).
Un athée renonce à son athéisme
Récemment, Sir Antony Flew, le philosophe bien connu et pendant longtemps l'un des partisans mondiaux les plus acharnés de l'athéisme, a renoncé à ses anciennes idées et a accepté le créationnisme. Et qu'est-ce qui a provoqué cette volte-face ? Selon lui, ce revirement d'opinion est dû, en grande partie, aux implications des informations de l'ADN. Sa conversion n'est-elle pas un soufflet à l'athéisme ?
Qu'est-ce qui a bien pu le faire changer d'avis, après toute une vie d'opposition au créationnisme ?
Flew a expliqué que ce qui a provoqué en lui ce revirement radical a été la prise de conscience de l'énorme complexité et de la quantité d'informations de la molécule d'ADN. Voilà bien autre chose auquel les évolutionnistes refusent de s'attaquer intelligemment. Ils continuent à tromper les masses en disant que les informations compliquées de l'ADN peuvent être expliquées par les forces évolutives agissant sur la cellule.
Quand on a demandé au Dr Flew si, à son avis, les récentes découvertes liées à l'origine de la vie pointent dans la direction de l'activité d'une Intelligence créative, il a répondu : « Oui, je crois à présent que c'est le cas… presque entièrement à cause des recherches sur l'ADN. Ce que les données de l'ADN ont fait, c'est de montrer – par la quasi incroyable complexité des arrangements requis pour produire [la vie] – qu'une intelligence a dû être impliquée pour faire en sorte que ces éléments extraordinairement divers n'agissent de concert.
« C'est la complexité énorme du nombre des éléments, et l'énorme subtilité avec laquelle ils agissent harmonieusement. La possibilité qu'il y ait eu réunion de ces deux aspects au bon moment, par hasard, est tout simplement minime. Il est ici question de l'énorme complexité avec laquelle les résultats ont été atteints, qui m'ont tout l'air de l'oeuvre d'une intelligence » (There Is a God, 2007, p. 75).
Il est intéressant d'apprendre que d'autres facteurs l'ont aussi persuadé d'accepter la présence d'un Créateur, d'un Architecte suprême pour l'univers et pour la vie.
« Je suis à présent convaincu que l'univers a été produit par une Intelligence infinie. À mon avis, les lois complexes de cet univers révèlent ce que les savants ont appelé la pensée de Dieu. Je crois que la vie et la reproduction puisent leur origine dans une Source divine.
« Pourquoi en suis-je convaincu, moi qui ai élaboré et défendu l'athéisme pendant plus de 50 ans ? Pour simplifier, il s'agit là du tableau du monde tel que je le vois, et qui a été brossé par la science moderne. La science dirige les projecteurs sur trois dimensions de la nature qui pointent vers Dieu. La première est le fait que la nature obéit à des lois. La deuxième concerne la dimension de la vie, d'êtres intelligemment organisés et motivés, issus de la matière. La troisième, c'est l'existence même de la nature » (p. 88-89).
Bon nombre de ces points sont couverts dans le film Expelled : No Intelligence Allowed. Espérons que sa version française sortira bientôt !
Les tendances modernes ont été prophétisées
Bien que la controverse opposant l'Évolution au Dessein Intelligent semble moderne, un débat similaire eut lieu du temps de l'apôtre Paul, au Ier siècle de notre ère. Paul savait très bien ce que pensaient les Grecs, et ce qu'enseignaient leurs philosophes qui niaient l'existence d'un Créateur, partant du principe que la nature suffisait à expliquer la présence et le développement des diverses formes de vies, tout comme le Pr Flew l'avait d'abord cru.
L'explication de Paul paraît étonnamment moderne. Flew a évoqué plusieurs des mêmes arguments utilisés par Paul il y a près de 2000 ans, et qui ont fini par le persuader d'accepter la croyance en un Créateur intelligent. Les arguments de Paul révèlent aussi quelles sont les implications morales et spirituelles, pour bon nombre de ceux acceptant la théorie de l'Évolution, et leurs ultimes et désastreuses conséquences.
Les avertissements de Paul aux sceptiques de son temps sont toujours d'actualité : « La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu'on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître.
Et Paul de poursuivre : « En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, puisque ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous; et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l'homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles. C'est pourquoi Dieu les a livrés à l'impureté, selon les convoitises de leurs coeurs; en sorte qu'ils déshonorent euxmêmes leurs propres corps ; eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen ! » (Romains 1:18 à Romains 1:25).
Comme le dit aussi l'Écriture : « Il n'y a rien de nouveau sous le soleil » (Ecclésiaste 1:9). Ne vous laissez pas séduire par les faux arguments de l'Évolution. Demeurez fermes, restant partisans de l'existence d'un Architecte suprême omniscient, et du vrai créationnisme biblique.