La Bible :
mythe ou Histoire ?
La Bible n'est guère digne de confiance ! » prétendent ou suggèrent un grand nombre d'articles, de reportages ou de récits d'« experts ».
« Ce n'est plus un secret pour personne ; les récits bibliques n'auraient jamais pu se produire tels qu'ils sont relatés. Nombre de reporters, de professeurs et de savants vous le diront : La Bible n'est qu'un recueil de mythes ! »
Est-ce bien le cas ? Si nous comparons cette dernière à un recueil de « mythes », ne serait-ce pas plutôt ces déclarations injustifiées - et que l'on cherche à nous imposer -- qui sont des mythes ?
Plusieurs sondages indiquent que la croyance en la Bible diminue à un rythme effarant. En 1991, un sondage a révélé que 25% seulement des Irlandais, 20% des Italiens, 13% des Anglais, des Norvégiens et des Hollandais, et 10% des anciens Allemands de l'Ouest croyaient que la Bible est véridique et doit être prise à la lettre. En 1999, en Angleterre, un sondage a révélé que moins de la moitié des personnes interrogées croyaient que Jésus est le Fils de Dieu. Plus sidérant encore : 14% d'entre elles déclarèrent ne rien savoir à Son sujet. Plus d'une personne sur cinq croyaient que le Christ n'était qu'un personnage imaginaire. Plus de la moitié des personnes interrogées n'avaient jamais été « à l'église » !
Certains vous direz que la Bible n’est qu’un recuiel de mythes, mais ils ne vous disent pas toute l’histoire. Pouvez-vous croire à la Bible? Il importe de savoir.
D'après l'enquêteur George Gallup « En 1962, deux Américains sur trois estimaient que la Bible était la Parole même de Dieu, qu'il incombait de s'y conformer à la lettre, mot pour mot…[en 1999], seulement une personne sur trois croyait encore que ce soit le cas » (George Gallup Jr. Et Michael Lindsay, Surveying the Religious Landscape : Trends in U.S. Beliefs, 1999, p 36).
Deux ans plus tard, en 2001, le sondage de Gallup indiquait que seulement 27% d'Américains - à peine 1 sur 4 - croyaient encore en l'inspiration divine de la Bible et en sa véracité.
Que démontre cette tendance ? Pour l'ancienne génération dans la plupart des pays occidentaux, aux yeux de biens des gens, la Bible disait vrai et représentait la révélation directe de l'Éternel et de Sa volonté. Comment se fait-il qu'à présent tant de gens - y compris une foule de prétendus chrétiens - n'aient plus confiance en cet ouvrage ou ne croient plus ce qu'il déclare ?
De la foi à l'incroyance
La Bible disait vrai. Tous ses écrits étaient dignes de confiance. C'est du moins ce que nous avons supposé pendant des siècles. Puis, à partir de la fin du XVIIe siècle, et pendant quelque 200 ans, une série de découvertes scientifiques furent faites, et bon nombre d'individus se mirent à adopter l'opinion que ces découvertes contredisaient les Écritures. Ce n'était nullement le cas ; ce qui contredisait la Bible, c'était seulement plusieurs hypothèses adoptées par certains dirigeants religieux et un certain nombre d'individus.
Les ravages provoqués par ces fausses hypothèses ne purent être neutralisés ; aux yeux d'un grand nombre, la Bible avait été discréditée. Au milieu du XIXe siècle, Charles Darwin proposa sa théorie de l'Évolution. Dans les milieux intellectuels, on s'empressa de l'approuver. C'était un moyen bien pratique d'expliquer notre univers sans avoir à lui attribuer un Créateur. La théorie de Darwin devint vite populaire et favorisa la dissémination de l'idée d'une création sans créateur.
Un grand nombre d'intellectuels, notamment ceux enseignant dans les universités européennes, ne tardèrent pas à discréditer la Bible. Ces derniers s'empressèrent d'adopter l'opinion que les divers livres de la Bible n'auraient pas pu être rédigés par ses auteurs présumés et, en fait, que celle-ci n'aurait été écrite que bien des siècles après qu'ils aient vécu. Ils raisonnèrent que les récits et les personnages bibliques n'étaient qu'un recueil de mythes et de légendes rassemblés par certains auteurs, bien longtemps après qu'ils aient eu lieu ou vécu.
La Bible, à leurs yeux, n'était qu'un recueil de fables anciennes semblables aux mythes ancestraux de n'importe quelle autre histoire tribale de l'Antiquité. Hélas, leur optique non seulement persiste encore, mais elle sature littéralement le curriculum de beaucoup d'universités. Ces opinions, les étudiants en sont pratiquement saturés - leurs professeurs étant généralement contre la Bible. Leurs préjugés sont monnaie courante parmi les médias et dans la majorité des cercles scientifiques.
Richard Dawkins, professeur de zoologie à l'université d'Oxford, est un partisan acharné de l'Évolution, et son mépris pour le récit biblique est typique des détracteurs du Livre des livres. En ce qui le concerne, il est hors de question que les Écritures soient inspirées par Dieu.
« Pratiquement, tous les êtres humains se façonnent leur propre mythe d'une création », écrit-il, « et le récit de la Genèse est celui adopté par une tribu particulière de bergers, au Moyen-Orient. Ce récit n'a guère plus de mérite que la croyance adoptée par une tribu dans l'ouest de l'Afrique et selon laquelle le monde aurait été créé à partir d'excréments de fourmis » (The Blind Watchmaker : Why the Evidence of Evolution Reveals a Universe Without Design, 1986, p 316).
Les détracteurs se façonnent leurs propres mythes
La Bible est-elle - comme elle le prétend -- la révélation du Créateur de l'humanité ? Offre-t-elle un récit historique exact de peuples anciens - d'individus ayant vécu il y a longtemps et dont les récits ont été préservés pour nous ? Ou bien n'est-elle qu'un recueil de fables ?
Il y a longtemps que ses détracteurs nient son exactitude historique. Pendant des décennies, nombreux sont ceux qui ont prétendu avec force que les Écritures hébraïques ne peuvent être ce qu'elles prétendent être car, selon eux, l'art d'écrire date seulement de 1000 ans avant notre ère - du temps du roi David d'Israël.
Selon eux, tout ce qui date d'un peu plus de quelques siècles avant notre ère s'apparente à des traditions orales peu fiables ou à des mythes fortement exagérés. Forts de cette optique, ils ont rejeté tout l'Ancien Testament, niant qu'il puisse représenter un document historique fiable. Les événements décrits dans la Genèse, l'Exode hors d'Égypte, le roi David et ses exploits, les récits décrivant des armées et des empires, les rois d'Israël et de Juda, etc., tout cela, selon eux, ce n'étaient que des fables.
La Bible a toujours de nombreux détracteurs, mais leurs sarcasmes se font de moins en moins nombreux. Les arguments ci-dessus ont perdu de leur force. Pourquoi donc ? Parce que les faits les contredisant se font chaque jour de plus en plus nombreux.
Des empires surgissent des sables du temps
Plutôt que d'accepter le témoignage de la Bible tant que son inexactitude n'a pas été prouvée, les critiques partent du principe que celle-ci a tort, faute de preuves contraires. Cette optique, hélas, est courante parmi les intellectuels et les penseurs de notre temps. Or, leurs préjugés sont-ils justifiés ?
Les preuves de l'authenticité et de l'exactitude de la Bible se sont mises à pleuvoir dès que les archéologues ont commencé à fouiller les sols du Moyen-Orient dans lesannées 1850.
L'un des premiers explorateurs scientifiques fut l'Américain Edward Robinson. Il identifia l'emplacement des ruines de centaines de villes et de villages bibliques, se servant d'une méthode simple mais très efficace : Il se contenta de s'entretenir avec les Arabes de ces régions, qui avaient préservé les noms traditionnels de ces emplacements, dans leurs propres langues, pendant des siècles. Des fouilles à plusieurs de ces sites ont prouvé par la suite l'authenticité de ces noms - fidèlement préservés au fil des siècles.
Peu après les incursions de Robinson en Terre Sainte, des archéologues anglais, allemands et français entreprirent l'exploration de ruines situées dans l'Iraq actuel. Leurs découvertes furent stupéfiantes. Ils découvrirent non seulement les grandes villes des empires assyrien et babylonien mentionnés dans la Bible, mais aussi des palais et des monuments érigés par les rois mentionnés dans les Écritures. Plusieurs de ces monuments contiennent même des récits de campagnes militaires mentionnées dans la Bible, ainsi que des gravures représentant celles-ci (lire Le puissant Empire assyrien surgit des sables ci-dessous.
Un peuple disparu réapparaît
Ceux qui prétendaient que la Bible ne contient que des mythes furent stupéfaits d'apprendre la découverte, en 1876, de vestiges prouvant l'existence d'un empire qui, jusqu'alors, n'avait laissé aucune trace dans l'histoire. Bien que mentionnés 47 fois dans la Bible, aux yeux de beaucoup d'érudits, les Hittites passaient pour « une autre de ces fables ».
Néanmoins, la découverte de tablettes d'argile, couvertes d'inscriptions, dans un site, en Turquie, déclencha d'autres fouilles qui révélèrent une citadelle, cinq temples, d'énormes sculptures de pierre, et une pièce contenant plus de 10 000 tablettes.
L'archéologue et auteur Randall Price écrivit : « Lorsqu'elles furent déchiffrées, on annonça au monde que les Hittites avaient été découverts. En fait, le site en question fut jadis la capitale de l'Empire hittite… La redécouverte de ce peuple perdu - l'une des réalisations les plus remarquables dans l'archéologie du Proche- Orient, sert à présent d'avertissement pour ceux qui doutent de la véracité historique de certains récits bibliques » (The Stones Cry Out, 1997, p 83).
Ce peuple et ces empires de la Bible sont loin d'être les seuls à être authentifiés par les truelles des archéologues. À mesure que d'autres sites ont été explorés, beaucoup d'autres peuples et même des individus précis mentionnés dans les Écritures ont été eux aussi authentifiés.
Des preuves de l'existence de certains personnages bibliques
Il y a à peine 10 ans, on prétendait que le roi d'Israël le plus connu de la Bible - David - n'était qu'un mythe. On prétendait que sa mention, dans la Bible, ne suffisait pas pour prouver son existence. Il fallait, disait-on, d'autres preuves, venues d'ailleurs.
”The remarkable find proved that one of the oldest portions of the Bible was obviously in use at a time well before the critics maintained it had been written!”
En 1993, ce fut chose faite lorsque des archéologues israéliens découvrirent une inscription mentionnant la dynastie royale fondée par David. Gravée sur un monument, quelque 150 ans après la mort de David, l'inscription en question commémore la victoire du roi de Damas sur les forces d'Israël et de son roi, qui était « de la maison [dynastie] de David » (lire une vieille inscription prouve l'existence du roi David à la p 4).
Au fil des ans, plusieurs dizaines d'artefacts et d'inscriptions contenant le nom d'individus mentionnés dans la Bible ont été déterrées. En 1982, une cache de 51 sceaux d'argile cuite anciens, dont on s'était servi pour sceller des rouleaux de papyrus ou de parchemin, fut découverte lors de fouilles à Jérusalem. L'un d'eux portait l'empreinte du sceau de « Guemaria, fils de Schaphan ». Ce « Gemaria, fils de Schaphan », était scribe à la cour de Jojakim, roi de Juda, comme cela est écrit dans Jérémie 36:10-12 ; Jérémie 36:25-26.
En 1975, plusieurs autres sceaux furent découverts, lors d'excavations apparemment illégales, à Jérusalem. L'un de ces sceaux portait le nom d'« Ismaël », l'assassin de Guedalia - gouverneur désigné par les Babyloniens après qu'ils eurent détruit Jérusalem. (2 Rois 25:25).
Plus étonnant encore fut cet autre sceau, portant le nom de « Berekhyahu [Baruc], fils de Neriyahu [Nérija], le scribe ». Cet homme n'était autre que « le secrétaire, Baruc », ami intime et confident du prophète Jérémie (Jérémie 36:4-32 ; Jérémie 43:1-6 ; Jérémie 45:1-2).
Et comme si cela n'était pas suffisamment étonnant, on a découvert un autre sceau, dans une collection privée, en Angleterre, portant non seulement le nom de Baruch mais aussi une empreinte digitale lui appartenant, apparemment, laissée sur l'un des bords lorsqu'il apposa son sceau sur l'argile fraîche, il y a quelque 2600 ans !
Il s'agit seulement de quelques-unes des découvertes prouvant - souvent indirectement -- que des individus précis mentionnés dans la Bible ont bel et bien existé, à l'époque et à l'endroit précis cités dans les Écritures. Une liste complète de ce genre de découvertes remplirait la plupart des pages de cette revue.
D'autres découvertes contrecarrent les prétentions des critiques
Que dire de la prétention des détracteurs selon laquelle la Bible n'aurait pas pu être rédigée quand elle le déclare, (les anciens hébreux ne sachant pas écrire, à l'époque ?) Cette hypothèse fut démolie en 1979, à Jérusalem quand, en creusant une tombe du VIIe avant notre ère, les archéologues découvrirent deux petits cylindres gris.
On découvrit que ces objets étaient des amulettes recouvertes d'une feuille d'argent et couvertes de lettres hébraïques délicatement tracées. Quand on les déchiffra, on s'aperçut qu'elles contenaient l'essentiel du texte des bénédictions mentionnées dans Nombres 6:24-26.
Cette découverte remarquable prouve non seulement que les Hébreux savaient écrire à une époque bien antérieure à celle avancée par les critiques, mais aussi que l'un des passages les plus anciens de la Bible avait effectivement été écrit à une époque bien plus reculée que celle avancée par ces derniers.
En quoi cela vous affecte-t-il ?
L'une après l'autre, à mesure que de nouvelles découvertes archéologiques ont eu lieu, toutes les prétentions des critiques se sont avérées vaines. Ces découvertes n'ont cessé de prouver la véracité de la Bible. Le présent article ne mentionne que quelques-unes de celles-ci. Maints ouvrages ont été rédigés qui en dressent un catalogue bien plus complet. (Lire aussi notre article intitulé Cet Exode tant débattu, notre entrevue avec l'archéologue Bryant Wood, et nos articles parus dans des éditions précédentes de Bonnes Nouvelles sous la rubrique La Bible et l'Archéologie).
Il ne fait aucun doute que d'autres preuves surgiront, à mesure que seront tamisés les sables de l'Antiquité. Comme l'a conclu l'éminent archéologue juif Nelson Glueck, « aucune découverte archéologique n'a jamais contredit ou réfuté les déclarations historiques faites dans l'Écriture » (The Expositor's Bible Commentary, 1979, Vol. 1, p 31).
En quoi cela vous concerne-t-il ?
Comme nous l'avons mentionné au début de cet article, il est bien triste que tant de gens cessent de croire à la véracité des Écritures. Mais ce qui est tout aussi contrariant, c'est de constater le nombre de personnes prétendant croire à la Bible bien que sachant peu ou rien de ce qu'elle déclare, et rejetant l'autorité qu'elle a sur leur vie.
Se pourrait-il que vous soyez de leur nombre ?
Notre époque prédite
Ce qui est ironique, c'est qu'à une époque où la Bible est plus répandue que jamais auparavant, de moins en moins de gens soient disposés à la mettre à l'épreuve pour savoir si elle dit vrai - à accepter et à pratiquer ses enseignements.
En matière d'objectivité, le livre des Actes félicite les Béréens qui « reçurent la parole avec beaucoup d'empressement, et [qui] examinaient chaque jour les Écritures, pour voir si ce qu'on leur disait était exact » (Actes 17:10-11, c'est nous qui soulignons). L'apôtre Paul exhorta les Thessaloniciens en ces termes : « Examinez toutes choses ; retenez ce qui est bon » (1 Thessaloniciens 5:21). Dieu veut que nos convictions soient solides, fermement ancrées sur Sa parole.
Le fait qu'une aussi infime minorité soit disposée à mettre la Bible à l'épreuve en la pratiquant ne devrait pas nous surprendre. En effet, Jésus Lui-même n'a-t-Il pas prophétisé que peu avant Son retour, on aurait la même mentalité que celle des gens vivant du temps de Noé ? « Les hommes mangeaient et buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants » -- menant leur petit traintrain quotidien sans se soucier le moindre du monde du danger croissant - « jusqu'au jour où Noé entra dans l'arche… jusqu'à ce que le déluge vienne et les emporte tous… » (Matthieu 24:37-39).
En d'autres termes, notre Seigneur nous avertit que les gens de notre époque moderne vivraient, eux aussi, confortablement et normalement, sans se soucier de quoi que ce soit, sans s'alarmer, jusqu'à ce que le cataclysme les emporte tous.
L'apôtre Paul prophétisa, lui aussi, qu'au temps de la fin, on se soucierait de soi plutôt que de Dieu et de Sa Parole. « Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. Car les hommes seront égoïstes, amis de l'argent, fanfarons, hautains… ennemis des gens de bien, emportés, enflés d'orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l'apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force » (2 Timothée 3 :1-5).
Selon Paul, dans ces derniers jours, en ces temps difficiles, les gens allaient non pas s'intéresser à Dieu mais se soucier presque entièrement d'eux-mêmes. Et, comme Paul l'a dit, ce qui est ironique, c'est qu'ils auraient l'apparence de la piété, bien que reniant ce qui en fait la force. On cherche à se faire passer pour bon, mais, sans être disposé à consulter la Parole divine pour y découvrir ce qu'il faut changer en soi pour vraiment devenir bon.
Cette optique, comme l'a dit Paul, finira par conduire l'humanité au désastre. Il nous parle de l'apparition, au temps de la fin, d'un puissant système religieux et d'un dirigeant qui captiveront pratiquement tous les hommes (2 Thessaloniciens 2:1-9). L'immense majorité des êtres humains - y compris, éventuellement, vous, si vous ne veillez pas - se laissera fourvoyer par eux. Pourquoi ? « Parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés » (2 Thessaloniciens 2:10).
Cela importe-t-il ?
La Bible dit vrai. Cela importe-t-il ? Assurément ! Sans elle, nous n'aurions aucune idée de notre origine, de la raison pour laquelle nous sommes nés, et de notre avenir. Sans elle, nous tâtonnons dans les ténèbres, en ignorant les réponses à ces questions.
Christ a promis de revenir pour enseigner à l'humanité la voie divine. En ce temps-là, comme l'a annoncé le prophète Ésaïe, « la terre sera remplie de la connaissance de l'Éternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent » (Ésaïe 11:9). On ne doutera plus - et l'on ne se moquera plus - de la Parole divine. Quant à ceux qui, de plein gré, cherchent à présent l'Éternel et se soumettent à Lui, ils régneront à jamais avec Christ dans Son Royaume universel (Apocalypse 5:9-10 ; Apocalypse 20:6 ; Apocalypse 22:5).
Entre temps, la majorité des hommes va s'engager dans une voie menant au désastre, ne croyant pas en la Bible ou ignorant ce qu'elle déclare.
Serez-vous une exception ?