La création telle que prévue

La création telle que prévue

Beaucoup d’entre nous doivent faire face à de graves difficultés. Nous cherchons des solutions, la guérison ou de l’aide.

Nous essayons de donner un sens à notre monde et voulons croire qu’il existe un Créateur à l’origine de l’Univers : un grand Dieu qui Se soucie de nous. Mais dans notre monde troublé, il est si facile de perdre de vue l’essentiel, surtout lorsque de nombreux universitaires respectés nous exhortent à rejeter cette vision qu’ils considèrent comme une superstition primitive et un faux espoir.

Ceux qui croient en Dieu doivent parfois examiner les choses de plus près pour réaffirmer leur foi. Et ceux qui ont été convaincus d’abandonner leur foi ont besoin de constater qu’il existe des raisons valables de croire en Dieu, non pas aveuglément, mais en s’appuyant sur des données probantes et une saine logique.

De fait, les données probantes abondent un peu partout. Comme nous le dit la Bible, « En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, […] » (Romains 1:20).

Dans quelle mesure cela est-il d’autant plus vrai aujourd’hui ? Tous les jours, nous disposons de plus en plus de données probantes démontrant que notre Univers n’est pas le fruit du hasard, mais bien celui d’une conception intentionnelle, soit le produit d’un Créateur qui a élaboré un plan et qui l’a mis en œuvre. Et Son plan vous concerne.

Les failles du darwinisme

La plupart de nos jeunes ont acceptée la théorie darwinienne de l’évolution parce qu’ils ont subi un lavage de cerveau depuis l’école élémentaire jusqu’aux universités les plus prestigieuses. Toutefois, cette théorie est devenue une malédiction pour nos systèmes d’éducation et notre société, et constitue sans doute le mensonge le plus destructeur des temps modernes. Il est important de noter que l’évolution darwinienne fut utilisée pour soutenir les thèses du racisme, de la misogynie et de l’eugénisme, et en fin de compte, pour alimenter les notions de « la race supérieure » des nazis. (The Role of Darwinism in Nazi Racial Throught, [Le rôle du Darwinisme dans la pensée raciale nazi], German Studies Review, Richard Weikart, 2013). Pourtant, il a fallu près d’un demi-siècle pour que la société prenne conscience du mal que cette théorie avait causé.

Du point de vue scientifique, nous avons également découvert que la conception génétique plutôt simpliste de Darwin ne s’aligne pas avec ce que nous observons sur le plan biologique.

Les avancées modernes en matière de génétique ont montré que la plupart des différences génétiques entre les espèces ne se produisent pas par de petites mutations aléatoires, mais plutôt en gros morceaux de matériel génétique. Des domaines génétiques entiers sont copiés puis modifiés comme s’il s’agissait de blocs de lego que l’on repositionne. (Retrotransposons as Drivers of Mammalian Brian Evolution, Life, 2021). Comme les scientifiques filtrent toutes les preuves à travers le prisme de l’évolution, ils cherchent des mécanismes évolutionnistes pour expliquer comment des changements génétiques rapides et à grande échelle peuvent se produire dans le génome. Si nous observons ces phénomènes sans la présomption de l’evolution, les données peuvent tout à fait être interprêtées comme si un créateur divin avait construit ces organismes.

Dans ce contexte, le titre d’un nouveau livre important annonce : L’hypothèse de Dieu est de retour : Trois découvertes scientifiques qui révèlent l’Intelligence à l’origine de l’Univers (Return of the God Hypothesis: Three Scientific Discoveries That Reveal the Mind Behind the Universe). Dans cet ouvrage, l’auteur à succès Stephen C. Meyer, titulaire d’un doctorat en histoire et en philosophie des sciences de l’Université de Cambridge, expose des données scientifiques probantes en faveur du Créateur de l’Univers et de la vie. Aucune autre théorie ou hypothèse, ni même la croyance en d’autres dieux ou en une religion autre que celle qui est présentée dans les Saintes Écritures, n’offre une meilleure explication quant à notre raison d’être. (Ne manquez pas d’en apprendre davantage sur cet ouvrage important dans l'article « L’hypothèse de Dieu est de retour ».)

Darwin estimait que la sélection naturelle justi- fiait son point de vue selon lequel la race blanche était supérieure aux autres, et que la sélection sexuelle rendait les femmes manifestement infé- rieures aux hommes.

Le Dieu personnel des Saintes Écritures déclare qu’Il a créé l’Univers que nous habitons (Genèse 1:1). Le cosmos révèle Sa gloire et Son Œuvre (Psaumes 19:1). Et lorsque nous en contemplons la profondeur, et que nous réalisons à quel point toutes choses sont interconnectées, nous constatons qu’il a nettement fallu qu’un Dieu tout-puissant et infiniment sage intervienne pour concevoir, mettre au point et soutenir l’Univers. Celui-ci ne pourrait pas exister par le biais de processus aléatoires aveugles. Et la vie n’aurait pas pu se développer selon la théorie de l’évolution de Darwin – pas même les plus petits microbes, qui sont immensément complexes.

Au contraire, il a fallu une planification incroyable pour y parvenir.

L’Univers et la vie exigeaient de la prévoyance

Une si grande partie du monde qui nous entoure témoigne non seulement d’une ingéniosité extraordinaire, mais aussi d’une prévoyance détaillée de relations réciproques entre divers systèmes et de la nécessité de résoudre les problèmes éventuels. Dans ce contexte, la prévoyance est la capacité de prévoir l’avenir ou de planifier en fonction de celui-ci.

On peut constater une telle prévoyance à l’œuvre dans la vie quotidienne moderne des êtres humains ; par exemple, demander à des entrepreneurs en construction d’installer une cuisinière à gaz dans un nouveau domicile, mettre de l’argent de côté dans un fonds d’urgence au cas où l’on perdrait son emploi, rester à la maison ou disposer d’un manteau d’hiver chaud par temps froid. Dans les interactions humaines, la planification et la prévoyance peuvent éliminer une crise de dernière minute en raison d’un projet inachevé ou d’un client mécontent.

Dieu a manifestement fait preuve d’une grande prévoyance lors de Sa création. Lorsqu’un entrepreneur construit une maison, il prévoit tout ce dont il aura besoin pour que la maison fonctionne et continue de fonctionner.

Marcos Eberlin, membre de l’Académie des sciences du Brésil, est un chimiste et un ancien professeur de l’Institut de chimie de l’Université de Campinas. L’un de ses plus récents ouvrages s’intitule Foresight: How the Chemistry of Life Reveals Planning and Purpose [La prévoyance : comment la chimie de la vie dévoile une planification et un objectif] (2019). Nous avons déjà cité certains exemples exposés dans cet ouvrage (voir l’article intitulé « Un Dessein intelligent ou une évolution aveugle ? » dans notre numéro de mai-juin 2020).

Dans le cadre d’une entrevue vidéo sur son livre accordée au Discovery Institute et diffusée sur YouTube sous le titre « How the Chemistry of Life Reveals Planning and Purpose », Eberlin explique pourquoi l’idée de la prévoyance est si importante dans la recherche sur les origines de la vie. Voici quelques extraits de cette vidéo :

« Lorsque nous étudions la vie dans le contexte de l’Univers, nous découvrons des solutions qui résolvent de très grands problèmes. Devant ces solutions, nous nous demandons si l’évolution aurait pu apporter de telles solutions. »

« Lorsque nous examinons ces solutions et recherchons les mécanismes qui les ont rendues possibles, nous constatons que la prévoyance y a joué un rôle très important. Lorsque nous étudions ces solutions au niveau moléculaire, nous nous apercevons qu’elles ont dû être mises en place dès le début. » (21 octobre 2019 ; c’est nous qui mettons l’accent sur certains passages.)

En effet, il est impossible que notre Univers ait pu attendre l’apparition de ces solutions pendant des millions, voire des milliards d’années. Les problèmes exigent que ces solutions soient présentes immédiatement. La survie ne peut attendre que ces solutions évoluent progressivement pour résoudre les problèmes petit à petit.

Par exemple, chaque cellule animale peut être considérée comme une grande usine comptant de nombreux services responsables notamment de la fabrication, de l’emballage, de l’expédition et de la comptabilité, chacun d’eux devant être présent depuis le début pour appuyer les autres services et assurer ainsi la survie de la cellule.

Avant l’existence de la toute première cellule, quelqu’un a dû songer aux conditions futures de cette cellule et prévoir qu’elle aurait à surmonter des difficultés considérables exigeant une solution immédiate. La prévoyance est essentielle en matière de dessein. Seul un esprit doté d’une intelligence rationnelle est capable de prévoir les divers problèmes et de fournir les moyens de les résoudre dès le tout premier instant de la vie !

Les défis posés par la membrane cellulaire avaient été prévus et réglés d’avance

Songez à ce que les concepteurs et les ingénieurs font de nos jours. Ils conçoivent des freins pour nos voitures, car ils prévoient que nous devrons arrêter à un moment donné. C’est là un exemple de prévoyance. Ils conçoivent également des ceintures de sécurité, au cas où nous aurions un accident, pour nous empêcher de passer au travers du pare-brise. C’est là un autre exemple de prévoyance. Nous nous préparons pour l’hiver, en sachant que nous devrons chauffer notre maison et en prenant les mesures nécessaires à cet égard. Le hasard, ou l’évolution, n’aurait pas pu prévoir le froid du premier hiver, de sorte que les premiers êtres vivants seraient morts de froid dès le premier gel sans fourrure ou sans couche de graisse.

Une fois les problèmes apparus, il est impossible que leurs solutions aient évolué progressivement – et il est impossible de faire recommencer le processus de l’évolution. Au contraire, il a fallu un esprit créatif pour que la vie et l’Univers fonctionnent harmonieusement. Toujours dans le cadre de l’entrevue vidéo mentionnée ci-dessus, Eberlin ajoute ceci :

« Par exemple, au niveau le plus élémentaire de la biologie, nous avons la membrane qui enveloppe la cellule. Évidemment, les cellules ne peuvent exister sans membrane. Lorsque nous examinons les membranes et que nous commençons à étudier leur fonctionnement, nous constatons que ces simples membranes sont loin d’être simples […] Les molécules qui les forment constituent une barrière contre le monde extérieur. Cette barrière doit empêcher certains types de molécules de pénétrer dans la cellule, mais elle […] laisse aussi d’autres molécules s’en échapper […]

« Ainsi, pour que certaines molécules puissent entrer et sortir, il a fallu prévoir des barrières dès le début de la formation de la membrane cellulaire. La cellule a besoin de barrières, soit des portes qui s’ouvrent et se ferment. C’est là le principal problème des membranes cellulaires, connu sous le nom de problème de perméation, qui a nécessité de la prévoyance pour pouvoir être résolu avant même la formation de la toute première cellule !

« Les membranes que les évolutionnistes ont proposées ne peuvent fournir ces barrières instantanément […] Non, tout d’abord, un être intelligent a dû examiner ces membranes et constater qu’elles avaient explicitement besoin de perméation, ou de barrières, et constater également que ces barrières nécessitaient une résistance mécanique pour pouvoir s’ouvrir et se fermer. Et tout devait être en place au moment même où la membrane cellulaire allait commencer à remplir son rôle pour la toute première fois. »

Eberlin explique ensuite pourquoi il a fallu une intelligence pour concevoir la cellule et sa membrane isolante. Il a fallu faire preuve de prévoyance dès le début. L’élaboration de ces membranes est une tâche extraordinaire requérant beaucoup de connaissances en génie mécanique et en chimie complexe. Les bonnes molécules ont dû être sélectionnées intentionnellement plutôt que de façon aléatoire.

Mise en place d’un système de réparation dès le départ

On observe un autre élément de prévoyance dans la conception des membranes cellulaires. Celles-ci se déchirent facilement et des mécanismes de réparation devaient y être intégrés d’avance !

On peut lire ceci dans un article publié sur le site Web EvolutionNews.org du Discovery Institute : « La réparation de la membrane a dû s’avérer nécessaire dans la toute première cellule. Si, dans le cadre d’un scénario miraculeux des plus fantastiques – contre toute probabilité – une protocellule avait émergé de la soupe primordiale [dans laquelle la vie est censée avoir trouvé son origine], elle n’aurait pas fait long feu si une fissure était apparue dans la membrane […].

« Pour pouvoir contrôler ce qui entre dans la cellule et en sort, les membranes nécessitent des canaux pour le transport actif. Elles ont aussi besoin de mécanismes de réparation en cas de rupture […] Outre un code, des machines doivent être présentes pour traduire le code et créer d’autres machines qui savent comment réparer une rupture membranaire. Les membranes sans supervision sont vulnérables aux fuites, et cela leur importe peu.

« Sans prévoyance ni supervision, les protocellules seraient comme des bulles qui éclatent avec le temps. Il serait dommage de perdre les ingrédients vivants durement acquis qui se trouvent à l’intérieur […] » (Zip It: How Cells Repair Leaking Membranes, 27 mai 2021) Encore une fois, sans prévoyance dans la création, aucune forme de vie n’aurait pu perdurer !

Nous constatons maintenant la nécessité de la prévoyance dans la conception et la préservation de la membrane d’une seule cellule. Or, notre organisme peut compter jusqu’à 30 milliards de cellules ! Imaginez comment toutes ces cellules doivent travailler en harmonie et quelle incroyable planification il a fallu pour qu’elles remplissent leurs différentes fonctions !

Encore une fois, seule une intelligence suprême serait en mesure de tout planifier, de faire preuve de la prévoyance requise pour tenir compte des besoins futurs afin de favoriser les interactions cellulaires et de résoudre les problèmes.

Le psalmiste écrivit avec sagesse à propos de notre formidable corps humain : « C’est toi qui as formé mes reins, Qui m’as tissé dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien. » (Psaumes 139:13-14). Espérons que nous aussi, nous le reconnaissons très bien !

Eberlin conclut ainsi son entrevue : « Lorsque nous prenons la prévoyance en considération, nous constatons qu’elle constitue de loin la meilleure explication pour de nombreuses solutions concernant la vie dans l’Univers. Les scientifiques doivent suivre les données probantes là où elles les mènent ; lorsqu’ils le font, la prévoyance apparaît claire et manifeste. Nous sommes obligés de l’accepter comme étant la meilleure preuve d’un dessein dans l’Univers. »

Des preuves de l’intentionnalité dans le design démolissent la théorie du matérialisme

En nous basant sur la prévoyance et les opérations complexes liées aux systèmes vivants, nous pouvons conclure que le dessein comporte un autre aspect manifeste de l’intelligence, soit l’intentionnalité.

L’intentionnalité est un terme de philosophie désignant le caractère intentionnel de la pensée à l’égard d’une cible, que ce soit une autre personne, une chose, un lieu ou une circonstance. Elle est enracinée dans notre esprit et dans notre conscience, plutôt que dans la matière physique. L’intentionnalité ne peut exister dans les objets matériels.

Michael Egnor, neurochirurgien pédiatrique et professeur au Département de neurochirurgie de l’Université de Stony Brook, est un partisan du dessein intelligent et un blogueur du Discovery Institute. Dans une autre vidéo du Discovery Institute diffusée sur YouTube et intitulée « The Evidence Against Materialism » (Les données probantes contre le matérialisme), Egnor explique de plusieurs façons que le matérialisme, soit la négation de toute existence au-delà de la réalité matérielle, n’est pas une théorie viable de l’origine de la vie. Son dernier argument porte sur l’intentionnalité.

Rappelez-vous que, pour les matérialistes, il n’existe qu’un royaume physique et que même nos pensées constituent une simple agglomération d’atomes. Voici quelques extraits de la vidéo d’Egnor :

« L’intentionnalité […] est la capacité d’une chose d’être à propos de quelque chose d’autre. Par exemple, si je songe à Washington, D.C., ma pensée est intentionnelle du fait que je songe à autre chose qu’à moi. Je pense à une ville ou à une embrasure de porte ou à ma femme. La capacité de la pensée d’être à propos de quelque chose est propre à l’esprit, car aucun objet physique ne peut être à propos de quoi que ce soit, en l’absence d’un esprit. Un caillou sur la plage ne peut être à propos de rien. Un arbre ne peut être à propos de rien. Seule une pensée peut être à propos de quelque chose. » (10 juin 2019)

Egnor ajoute ceci : « On ne peut expliquer l’intentionnalité à l’aide de concepts matérialistes […] Il est impossible d’expliquer une forme de vie sans expliquer la raison d’être de ses parties. Il est impossible d’expliquer le cœur sans expliquer qu’il sert à pomper le sang. Il est impossible d’expliquer l’œil si l’on ne comprend pas qu’il sert à voir. D’où viennent ces raisons d’être ? Ce sont des types d’intentionnalité, des types d’intelligence. Cela implique qu’à l’origine de l’Univers se trouve une intelligence, une intelligence suprême, une intelligence qui se reflète dans le fonctionnement de l’Univers. »

C’est comme votre tasse à café ou à thé. Sa forme en démontre l’intentionnalité, sa raison d’être étant de contenir une boisson chaude. De même, nous constatons que la création tout entière révèle un dessein, un objectif ou une intentionnalité. Ce que nous voyons tout autour de nous, c’est le reflet d’une intelligence de beaucoup supérieure à la nôtre. C’est un reflet de Dieu.

Egnor poursuit ainsi : « Selon moi, le matérialisme n’est même pas une perspective philosophique ; c’est une erreur pure et simple […] C’est comme prétendre que 2 + 2 égale 5 est une notion mathématique alors que ce n’est pas vraiment le cas ; c’est une simple erreur. Et, à mon avis, le matérialisme n’est pas suffisamment cohérent pour être considéré comme une perspective philosophique […].

« En biologie, nous devons nous concentrer sur les raisons d’être des structures biologiques, et non simplement sur les détails des structures proprement dites. Nous devons savoir pourquoi elles font ce qu’elles font. Et une fois que l’on commence à rechercher les raisons d’être, on se met à examiner les aspects immatériels de la nature, la forme. Et cela nous mène au-delà du matérialisme. »

Les plans de Dieu pour vous

Ne croyez plus les mensonges de la pseudoscience matérialiste. Considérez et acceptez les preuves de l’existence d’un Créateur divin et Son témoignage dans les Saintes Écritures. Laissez de côté vos anciennes façons de faire et la confusion grâce à la miséricorde et à l’aide de Dieu le Père et de Son Fils Jésus-Christ.

En effet, il existe une Intelligence infinie à l’origine de la création de l’Univers – un Maître Concepteur qui affiche intentionnalité, dessein et planification dans Son œuvre fantastique. Et vous, vous faites partie du dessein incroyable de Dieu. Il a un plan pour votre vie – et Il continue de planifier votre destin ultime auprès de Lui, si vous l’acceptez.

Comme Dieu dit à Son peuple il y a très longtemps, Il vous le déclare aujourd’hui : « Car je connais les projets que j’ai formés sur vous, dit l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance. » (Jérémie 29:11)

Cet espoir réside dans un avenir qui défie l’imagination. Le dessein ultime de Dieu, comme il est expliqué dans notre brochure gratuite intitulée « Quelle est votre destinée ? », c’est de nous extraire de notre existence terrestre pour accueillir chacun d’entre nous parmi Ses fils et Ses filles au sein de Sa famille divine, dans Sa gloire éternelle, afin de partager avec nous Sa souveraineté sur la création tout entière !

Encadré : Le salut est dans le Christ et non dans la science

Le long d’une autoroute située près des bureaux de notre revue Pour l’Avenir, un tableau d’affichage indique en lettres rouge vif « In Science Lives Hope » (L’espoir réside dans la science). Ce tableau appartient au Département de la santé du centre médical de l’Université de Cincinnati (UC).

Sur le site Web de cette université, on lit également ceci : « Vu que le Département de la santé de l’UC forme un médecin sur trois de la région, nous sommes les professeurs vers lesquels les autres se tournent. Nous sommes les auteurs des plus grandes percées dans le domaine de la santé. Et nous montrons constamment au monde entier comment la science peut triompher. Le Département de la santé de l’UC, L’espoir réside dans la science. »

La science : bonne et mauvaise

Comme nous sommes encore plus ou moins encore dans la pandémie et que certains facteurs semblent indiquer qu’elle aurait pu provenir des suites d’un accident de laboratoire scientifique, un tel appel à la science ne renforce pas nécessairement la confiance du public. Certes, la science a donné lieu à de merveilleuses réalisations, telles que le transport aérien, les automobiles, la réfrigération et l’assainissement de l’eau potable, mais elle est également devenue un dieu pour beaucoup de gens.

Songez à certaines des réalisations de la « science » : la bombe nucléaire qui a le potentiel d’exterminer toute vie humaine, les expériences macabres que les scientifiques de la Deuxième Guerre mondiale ont réalisées auprès d’enfants pour faire « progresser la science ».

Il y a également des scientifiques qui travaillent contre le réchauffement de la planète, et certains hommes de gouvernement ont demandé à ces experts s’il serait possible de modifier l’orbite de la Terre pour nous éloigner du Soleil. Plus facile à dire qu’à faire, n’est-ce pas !

Des paroles dépourvues de sagesse

Lorsque Job mit en doute la sagesse de Dieu, il a été appelé à répondre de son arrogance. La même réponse que Dieu lui donna pourrait être adressée à de nombreux évolutionnistes et scientifiques modernes.

« L’Éternel répondit à Job du milieu de la tempête et dit : Qui est celui qui obscurcit mes desseins Par des discours sans intelligence ? Ceins tes reins comme un vaillant homme ; Je t’interrogerai, et tu m’instruiras. Où étais-tu quand je fondais la terre ? Dis-le, si tu as de l’intelligence. Qui en a fixé les dimensions, le sais-tu ? Ou qui a étendu sur elle le cordeau ? Sur quoi ses bases sont-elles appuyées ? Ou qui en a posé la pierre angulaire, Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse, Et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? Qui a fermé la mer avec des portes, Quand elle s’élança du sein maternel ; Quand je fis de la nuée son vêtement, Et de l’obscurité ses langes ; Quand je lui imposai ma loi, Et que je lui mis des barrières et des portes ; Quand je dis : Tu viendras jusqu’ici, tu n’iras pas au-delà ; Ici s’arrêtera l’orgueil de tes flots ? » (Job 38:1-11)

Je suppose que l’on pourrait y ajouter de nouvelles pensées de nos jours : « Où étiez-vous lorsque J’ai conçu la membrane de la cellule qui est capable de laisser entrer les éléments nutritifs et d’en laisser s’échapper les déchets, et de s’autoréparer lorsqu’elle est déchirée ? » Dieu fit part à Job de desseins très intentionnels !

Notre avenir est-il prometteur ? Oui, mais notre espoir ne réside pas dans la science. Il réside en Dieu par l’entremise de Jésus-Christ.

Un tableau d’affichage plus éclairant

La science ne peut changer le cœur d’une personne. Elle n’a jamais sauvé une relation matrimoniale. Elle n’a jamais amené un criminel à se repentir. Mais Dieu a fait tout cela de nombreuses fois.

Et, ce qui est encore plus important, la science n’a jamais pardonné les péchés d’un homme. Le tableau d’affichage de l’autoroute devrait plutôt dire « Notre espoir est en Jésus-Christ », et il devrait en être de même pour notre slogan personnel.

Notre avenir est-il prometteur ? Oui, mais notre espoir ne réside pas dans la science. Il réside en Dieu par l’entremise de Jésus-Christ.

Nous ne devons jamais oublier que Dieu le Père « a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3:16), et que Jésus « qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois [par la crucifixion], afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice […] » (1 Pierre 2:24).

Notre salut est dans le Christ

Ésaïe 40 déclare ceci : « Ne le sais-tu pas ? ne l’as-tu pas appris ? C’est le Dieu d’éternité, l’Éternel, Qui a créé les extrémités de la terre ; Il ne se fatigue point, il ne se lasse point […] Mais ceux qui se confient en l’Éternel renouvellent leur force. Ils prennent leur vol comme les aigles ; Ils courent, et ne se lassent point, Ils marchent, et ne se fatiguent point. » (Ésaïe 40:28 ; Ésaïe 40:31)

Vous vous sentez peut-être fatigué et las. Il nous arrive tous parfois d’avoir besoin d’aide pour prendre notre envol comme un aigle. Et nous avons ultimement besoin d’une foi profonde et durable dans notre Créateur pour nous aider à nous relever et à aller de l’avant.

Nous ne devons jamais perdre de vue notre destin en tant qu’enfants de la famille divine. Nous devons comprendre à quel point notre Dieu est merveilleux et croire à ce qu’Il nous a promis avec prévoyance et intentionnalité, pour toujours garder en perspective l’objectif ultime de notre vie éternelle. 

Toute chose provient véritablement de notre Père céleste et de Jésus-Christ, y compris notre vie et notre salut !