Qu'est-ce que le salut ?

Introduction

Qu'est-ce que le salut ? Pourquoi en avons-nous besoin ? Comment le recevons-nous, et quand ? Si le salut mène à la vie éternelle — comme l'enseigne le christianisme — que feront ceux qui sont sauvés pendant toute l'éternité ? Quelle est la sanction pour ceux qui ne parviennent pas au salut ?

Si les chrétiens s'appuient sur la Bible pour connaître ces questions, pourquoi trouvons-nous tant de croyances différentes ?

Nous ne pouvons pas continuer à vivre comme nous vivions avant. Nous devons subir une transformation profonde du cœur et de notre direction, un processus que la Bible appelle la repentance.

Les éditeurs de *The Good News* croient que la Bible est la Parole révélée de Dieu. Dans cet article, nous voyons ce que la Bible enseigne sur le salut. Ce faisant, nous découvrons que certaines opinions populaires ne sont pas soutenues par les Écritures. Vous devriez lire par vous-même ce que la Parole de Dieu enseigne sur ce sujet. C'est bien trop important pour simplement accepter ce qu'on vous a dit. Vous devez le prouver par la Bible — parce que votre bonheur et votre vie éternelle sont en jeu.

Le salut signifie simplement l'acte de sauver. Dans un sens religieux, sauver signifie délivrer quelqu'un des conséquences éternelles du péché. Tout le monde a besoin du salut parce que, comme nous le dit la Bible, « tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu », et le salaire du péché, c'est la mort (Romains 3:23 ; Romains 6:23).

## Comment le péché a commencé

Le péché est entré dans le monde avec le premier homme. Quand Dieu créa Adam, Il le plaça dans le jardin d'Éden. Le jardin comprenait aussi deux arbres spéciaux. Le récit biblique appelle l'un d'eux l'arbre de vie et l'autre l'arbre de la connaissance du bien et du mal (Genèse 2:8-9).

L'arbre de vie représentait la vie. Si Adam faisait le bon choix, s'il choisissait de manger du fruit de cet arbre, il hériterait finalement de la vie éternelle. Mais s'il choisissait l'arbre de la connaissance du bien et du mal, il tomberait sous une sentence de mort (Genèse 2:17).

Pourquoi ? Quelque chose appelé « l'arbre de vie » devait évidemment être bon. Mais qu'y avait-il de si mauvais avec l'arbre de la connaissance du bien et du mal ?

Dieu expliqua à Adam que Lui seul savait ce qui était le mieux pour l'homme. Prendre de l'arbre de vie représentait l'obéissance à Dieu, faire ce qu'Il dit être bon. L'obéissance divine permettrait finalement à Adam d'obtenir le fruit de la vie éternelle (voir aussi Proverbes 11:30).

D'un autre côté, si Adam désobéissait, comme représenté par le fait de manger de l'autre arbre, sa désobéissance reviendrait à décider par lui-même du bien et du mal. Cela aboutirait finalement au désastre parce que les êtres humains, à commencer par Adam, n'ont pas eu la capacité innée de savoir ce qui est bien et ce qui est mal.

Comme nous le dit Proverbes 14:12 : « Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c'est la voie de la mort. » Les êtres humains ne sont pas toujours capables, sans l'instruction de Dieu, de discerner ce qui est la volonté de Dieu et ce qui est péché (le contraire de la volonté de Dieu).

L'histoire de la race humaine illustre que les gens ont lamentablement échoué à discerner correctement entre le bien et le mal. Nous avons une certaine capacité de distinguer et de choisir ce qui nous sera bénéfique, mais nous démontrons de sérieuses déficiences pour connaître le bien du mal dans de nombreux domaines cruciaux. C'est pourquoi l'histoire de l'humanité est marquée par tant de souffrance. Le péché est la cause de la souffrance. Quand les gens raisonnent par eux-mêmes sur ce qui est juste, sans la révélation de Dieu, le résultat est une vie tourmentée par les misères qui résultent du péché.

Adam, répondant à la persuasion d'Ève, choisit de manger de l'arbre qui mène à la mort (Genèse 3:6). Sa rébellion contre Dieu était un péché — et toute l'humanité depuis ce temps a répété l'erreur d'Adam et Ève.

« ... par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu'ainsi la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché... » (Romains 5:12).

Les êtres humains ne meurent généralement pas immédiatement après avoir péché, mais ils tombent sous une sentence de mort à ce moment-là. La Bible parle de deux sortes de mort — la mort naturelle que tout le monde expérimente (Hébreux 9:27) et « la seconde mort » (Apocalypse 21:8). La seconde mort, qui est l'arrêt permanent de la vie sans possibilité de résurrection, est la sanction ultime pour le péché (voir « La sanction pour les pécheurs non repentants »). C'est de cette sentence de mort que nous avons besoin que Dieu nous sauve.

Dieu veut sauver toute l'humanité. Il veut que chaque personne soit sauvée (1 Timothée 2:4). Dieu « ne veut pas qu'aucun périsse, mais que tous arrivent à la repentance » (2 Pierre 3:9).

La Bible explique le plan de Dieu pour sauver l'humanité. Comme l'apôtre Paul écrivit à Timothée : « ... dès ton enfance, tu connais les saintes lettres, qui peuvent te rendre sage à salut par la foi en Jésus-Christ » (2 Timothée 3:15, Nouvelle Version Standard Révisée). (Si vous n'avez pas prouvé par vous-même que la Bible est la Parole de Dieu, veuillez lire notre brochure gratuite *La Bible est-elle vraie ?*)

Comment pouvons-nous recevoir la vie éternelle ?

La vie éternelle est le don de Dieu pour nous. Il nous dit spécifiquement comment nous pouvons la recevoir.

« ... le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur » (Romains 6:23). « Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie » (1 Jean 5:12). Jésus Lui-même a dit : « Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé » (Jean 10:9).

Une fois que nous péchons et nous plaçons sous la peine de mort, nous ne pouvons rien faire qui nous libérera jamais de la sentence de mort. Au contraire, nous devons recevoir le pardon et la rédemption par Jésus-Christ (Romains 3:24).

La rédemption signifie libérer ou racheter quelqu'un ou quelque chose en payant un prix. C'est semblable à payer une rançon pour quelqu'un qui a été kidnappé. Pour racheter l'humanité, le prix qui a été payé pour les péchés de l'humanité devait être supérieur à la valeur totale de toute vie humaine.

Parce qu'Il était le Fils de Dieu qui n'a jamais péché ainsi que le Créateur même de l'humanité (Hébreux 4:15 ; Éphésiens 3:9), la vie du Christ avait une valeur suffisante pour racheter tout le monde et payer le prix de tous les péchés (comparez Hébreux 2:9-10).

Le péché maintient une emprise sur nous jusqu'à ce que Dieu nous rachète par le sacrifice de Jésus. « Nous avons la rédemption par son sang, le pardon des péchés » (Colossiens 1:14).

Jésus est mort d'une mort atrocement douloureuse par crucifixion, versant Son sang pour nous. C'est pourquoi le Père L'a envoyé dans le monde : « Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous » (Romains 5:8).

Que devons-nous faire ?

Pour avoir Jésus-Christ comme votre Sauveur, vous devez reconnaître que vous avez péché, que vos péchés vous ont placé sous une sentence de mort et que vous avez besoin du pardon par le sacrifice du Christ. Vous devez ensuite accepter Jésus comme votre Sauveur personnel, reconnaissant qu'Il est mort pour vous.

Malheureusement, beaucoup de gens s'arrêtent là et pensent que c'est tout. Ils ne reconnaissent pas la nécessité cruciale de la repentance personnelle.

En reconnaissance du sacrifice du Christ et par désir de changer nos vies pour plaire à Dieu, chacun de nous doit abandonner les voies pécheresses qui nous ont valu la peine de mort et qui ont rendu nécessaire le sacrifice de Jésus. Nous ne pouvons pas continuer à vivre comme nous vivions avant. Nous devons subir une transformation profonde du cœur et de notre direction, un processus que la Bible appelle la repentance.

Pierre a dit : « Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit » (Actes 2:38). La rémission signifie libération — c'est-à-dire, libération de la culpabilité pour vos péchés. Quand vous êtes baptisé, Dieu pardonne vos péchés passés et efface votre ardoise.

Le baptême symbolise le lavage des péchés et signifie notre foi dans le sacrifice du Christ comme paiement pour eux. Après notre baptême, les ministres du Christ doivent poser leurs mains sur nous et prier pour le don de l'Esprit de Dieu pour nous. C'est à ce moment que Dieu donne Son Esprit à une personne repentante et baptisée (voir Actes 8:18).

La Bible dit que, par le Saint-Esprit, Dieu nous scelle, Son Esprit servant de garantie ou d'acompte sur notre salut (2 Corinthiens 1:22). La raison de cette garantie est de nous assurer que nous recevrons la vie éternelle. En d'autres termes, notre scellement avec le Saint-Esprit est la preuve que nous appartenons à Dieu et au Christ. « Or, si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas » (Romains 8:9), et « tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu » (Romains 8:14).

Une vie d'obéissance

Après le baptême et notre réception de l'Esprit de Dieu, nous sommes justifiés — c'est-à-dire que nous devenons justes aux yeux de Dieu. Dieu ne compte aucun de nos péchés passés contre nous (Romains 3:25).

Si nous trébuchons et péchons après le baptême, nous devons demander le pardon de Dieu afin que notre état de pardon ne soit pas perdu par notre retour à notre ancienne vie pécheresse (1 Jean 2:1-6).

Quand nous sommes justifiés, Dieu nous traite comme si nous n'avions jamais péché ; la peine de mort n'a plus d'emprise sur nous.

Jean a clairement indiqué qu'après le baptême, les chrétiens trébucheront parfois et pécheront encore. « Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous. Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1:8-9).

Jean a écrit ces mots après plusieurs décennies en tant que chrétien et apôtre du Christ, et il s'incluait parmi ceux qui étaient encore la proie du péché.

La différence dans la vie d'un chrétien après la repentance et le baptême est qu'il ne pratique plus l'injustice comme mode de vie. « C'est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, ni celui qui n'aime pas son frère » (1 Jean 3:10).

Un chrétien pratique la justice en obéissant aux commandements de Dieu (comparez Psaume 119:172). Ce comportement est cohérent avec les paroles de Jésus à un jeune homme qui L'approcha avec une question : « Bon maître, que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle ? » Jésus répondit : « ... Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements » (Matthieu 19:16-17).

Quand l'homme persista à questionner Christ sur quels commandements il devait garder, Jésus répondit en citant plusieurs des Dix Commandements, qui résument la loi spirituelle de Dieu. La repentance implique un engagement à vivre votre vie dans l'obéissance à cette loi.

Peu avant Sa mort, Jésus a de nouveau affirmé que les chrétiens doivent obéir aux Commandements : « Celui qui a mes commandements et qui les garde, c'est celui qui m'aime ; et celui qui m'aime sera aimé de mon Père, je l'aimerai, et je me ferai connaître à lui » (Jean 14:21).

Il est important de se rappeler que notre obéissance à la loi de Dieu ne nous sauve pas. C'est Dieu qui nous sauve par le Christ. La loi ne peut pas nous sauver, mais nos efforts pour lui obéir sont une condition de notre salut. Si nous refusons finalement d'obéir à Dieu, Il ne nous sauvera pas finalement, comme nous le verrons bientôt.

La loi de Dieu est notre guide sur la façon dont nous devrions vivre si nous voulons Lui plaire. C'est la loi de l'amour (Romains 13:10), reflétant la nature de Dieu, qui est amour (1 Jean 4:8 ; 1 Jean 4:16).

« Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ », écrivit Paul (Philippiens 2:5). Celui qui vit comme Christ a vécu et dont l'esprit est transformé pour être plus comme le Sien est celui qui vraiment « a le Fils » (1 Jean 5:12). Ce sont de telles personnes qui sont en train d'être sauvées.

Quand un chrétien est-il sauvé ?

Un chrétien est-il sauvé immédiatement après le baptême ? Une fois que vous êtes baptisé, que vous avez accepté Christ comme votre Sauveur et que vous avez engagé votre vie à obéir à Dieu, êtes-vous sauvé ? Votre salut est-il complet ?

Selon la Bible, la repentance et le baptême marquent le début du processus de salut, le moment de l'engagement d'un chrétien à continuer à servir Dieu. L'achèvement de notre salut, tant que nous restons dans cette vie physique, est encore dans le futur. Comme Jésus l'a dit : « Celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé » (Matthieu 24:13).

Paul écrivit : « ... étant maintenant justifiés par son sang, nous serons sauvés par lui de la colère. Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie » (Romains 5:9-10). Remarquez que Paul écrivait au futur : Nous serons sauvés. Notre salut n'est pas complet.

Nous devons persévérer fidèlement jusqu'à la fin de nos vies. Ou, si nous restons vivants jusqu'au retour du Christ sur terre, nous devons persévérer jusqu'au moment de Sa venue. Si un chrétien, à un moment donné de sa vie, après s'être engagé à servir Dieu, se détourne et renonce à Jésus et à la voie de Dieu en parole ou en action, il perdra son salut — à moins qu'il ne se repente de son erreur.

Jésus a décrit une telle situation : « ... Si ce méchant serviteur dit en lui-même : Mon maître tarde à venir, s'il se met à battre ses compagnons, s'il mange et boit avec les ivrognes, le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s'y attend pas et à l'heure qu'il ne connaît pas, il le mettra en pièces, et lui donnera sa part avec les hypocrites » (Matthieu 24:48-51).

« Faire la fête avec les ivrognes » peut décrire le comportement littéral d'un chrétien égaré, ou cela peut être une métaphore pour les mauvaises habitudes en général. L'ivresse est parfois utilisée dans la Bible pour symboliser ceux qui sont immergés dans les attitudes et pratiques pécheresses du monde.

Paul a clairement indiqué qu'un chrétien peut s'éloigner et même perdre le salut. Il écrivit que dans sa propre vie, il trouvait nécessaire de pratiquer une ferme autodiscipline, se gardant contre l'empiétement du péché, « de peur qu'après avoir prêché aux autres, je ne sois moi-même réprouvé » (1 Corinthiens 9:27).

Une fois que nous engageons nos vies à obéir à Dieu, le processus d'être sauvé a commencé en nous — bien qu'il soit encore possible pour nous de tomber (Luc 8:13). Paul a dit que nous serons sauvés si nous continuons jusqu'à la fin en tenant fermement la vérité qui nous a été prêchée (1 Corinthiens 15:2). Notre salut est assuré si nous le faisons. Mais notre salut ne sera complet qu'à la seconde venue du Christ — quand « Il paraîtra sans péché une seconde fois à ceux qui l'attendent pour leur salut » (Hébreux 9:28).

Le salut — l'assurance de la vie éternelle — ira alors à ceux dans la foi qui ont persévéré et vaincu. Ceux qui sont engagés dans cette bataille spirituelle n'ont pas besoin d'avoir peur qu'ils échoueront à recevoir la vie éternelle. Comme nous demandons l'aide de Dieu, Il nous gardera de trébucher (Jude 24). « Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? » (Romains 8:31). En effet, nous pouvons être « persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne œuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus-Christ » (Philippiens 1:6).

À quoi ressemblera le salut ?

Quand Christ reviendra du ciel et que notre salut deviendra une réalité éternelle, à quoi ressemblerons-nous ? Quelles seront la forme et l'apparence de ceux qui reçoivent la vie éternelle ? La Bible nous le dit-elle ?

En effet, elle le fait ! « Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! ...

Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est » (1 Jean 3:1-2).

Cela peut paraître incroyable, mais quand notre salut sera complet, nous aurons la même apparence glorieuse que Jésus-Christ (voir Apocalypse 1:13-16). Comme Lui, nous serons des enfants glorifiés de Dieu — bien qu'évidemment Il sera toujours plus grand.

Ces dernières années — avec le développement de la thérapie génique, des transplantations d'organes et de l'intelligence artificielle — certains scientifiques en sont venus à croire que la science fournira un jour à l'homme une forme d'immortalité. Mais c'est au mieux un espoir farfelu. Même si cela pouvait être accompli, ce genre d'existence serait inférieur au don de la vie éternelle de Dieu.

Le salut de Dieu nous procurera une existence qui surpasse de loin tout ce que cette vie présente offre ou que les scientifiques peuvent imaginer dans leurs espoirs les plus fous. Après que Jésus soit mort et ressuscité, Il est revenu dans un nouveau corps spirituel et est apparu à Ses disciples. Nous aurons un corps comme celui du Christ. Dieu « transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire... » (Philippiens 3:21).

Nos nouveaux corps ne se fatigueront jamais ni ne tomberont malades. De plus, nous aurons des esprits qui possèdent le genre de capacités surnaturelles que Dieu a. Nous posséderons un pouvoir plus grand que même les anges ont. Nous régnerons avec Christ (Apocalypse 2:26 ; Apocalypse 3:21 ; Apocalypse 5:10) et aiderons à apporter la paix au monde.

Nous pouvons vivre éternellement dans le Royaume éternel de Dieu. C'est cela le salut. C'est ce que Dieu vous offre. Le don du salut de Dieu est vraiment une bonne nouvelle pour tous.