A propos de Jésus-Christ :
que s'est-il réellement passé ?
Pour un chrétien, aucun dogme de foi n'est plus important que la vie, la mort et la résurrection de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. De ce dogme dépend l'espérance de la vie éternelle dans le Royaume de Dieu par la résurrection des morts.
La résurrection de Jésus d'entre les morts - preuve de son identité en tant que le Fils de Dieu - était le signe qu'Il avait donné à la génération sceptique de son temps. Les quatre Évangiles témoignent -- preuves convaincantes à l'appui - de Sa résurrection des morts et du fait qu'Il était le Fils de Dieu, le Messie annoncé par les prophètes bibliques.
Da Vinci Code propose l'idée que le Christ était marié à Marie de Magdala (ou Marie Madeleine), qui était enceinte de lui lorsqu'il mourut. L'Église, dominée par des hommes, aurait supprimé cette « connaissance » et se serait assurée que tout écrit contenant ce genre d'information n'apparaîtrait pas dans les écrits officiels.
Pratiquement dès le début, dès la fondation de l'Église, cette vérité clef fut attaquée et l'on prétendit qu'il s'agissait d'un mensonge. L'Église rassembla soigneusement les récits de témoins oculaires. Les apôtres écrivirent ce qu'ils avaient vu. Paul prit bien soin de traiter la résurrection en détail quand il en parla aux Corinthiens, soulignant son importance pour la foi chrétienne.
Les attaques redoublèrent. Pour certains, Christ était certes un bon maître moral, un rabbin qui se distinguait des autres, mais sans plus. On disait que ses disciples frustrés n'avaient rien trouvé de mieux à faire que d'inventer une histoire imaginaire d'une tombe vide et d'une foi nouvelle.
De nos jours, on continue encore, à nier la résurrection du Christ. Un livre paru en 1967 - The Passover Plot [le complot de la Pâque] offrait des explications supposément plus « rationnelles » et plus « logiques » que celles de la Bible. Le titre dudit ouvrage résume une optique toujours courante pour bien des gens et selon laquelle le récit du Nouveau Testament serait pour le moins incomplet, pour ne pas dire frauduleux.
La dernière théorie populaire est traitée dans un best-seller récent et devant faire l'objet d'un film - Da Vinci Code - par Dan Brown. C'est une oeuvre de fiction qui se sert d'événements s'étant produits, de personnages ayant vécus et d'endroits précis pour inciter les lecteurs à accepter des spéculations douteuses sur la vie et sur les enseignements du Christ.
Brown entrelace faits et fiction de manière à donner un rythme effréné à son histoire, pour lui donner du piquant, une bonne dose d'action et de suspense. Malheureusement, les faits y sont souvent inexistants.
En somme, Da Vinci Code propose l'idée que le Christ était marié à Marie de Magdala (ou Marie Madeleine), qui était enceinte de lui lorsqu'il mourut. La jeune mère et l'enfant se seraient enfuis secrètement dans le sud de la France, et les descendants de cette union existeraient encore de nos jours. L'Église, dominée par des hommes, aurait supprimé cette « connaissance » et se serait assurée que tout écrit contenant ce genre d'information n'apparaîtrait pas dans les écrits officiels.
D'après le complot de Brown, ceux qui savaient la « vérité » auraient réussi à la transmettre au fil des siècles. Léonard de Vinci aurait été l'un des gardiens dudit secret, et sa peinture représentant la Cène montrerait Marie Madeleine à la droite de Jésus. Il va sans dire que cela contredit le récit biblique, selon lequel l'apôtre Jean - et non Marie Madeleine - se trouvait à la droite de Jésus lors du dernier repas de Jésus et des Apôtres.
Le livre de Brown a fait l'objet d'une émission d'actualités de la chaîne américaine ABC, Primetime. Interrogé, Brown déclara : « Au début, j'étais sceptique. Lorsque j'ai commencé à faire des recherches sur le code de de Vinci, j'étais persuadé que j'allais démolir cette théorie au sujet de Marie Madeleine, réfuter le sang sacré et tout le reste. Or, je suis devenu adepte ».
La présentatrice de l'émission, Elizabeth Vargas, tira - pour les téléspectateurs - une conclusion portant à équivoque : « Ce que nous avons trouvé, c'est que plusieurs des déclarations faites dans ce livre ne sont tout simplement pas crédibles, et plusieurs d'entre elles ont déjà été faites. Mais certaines vérités demeurent, au sujet de Jésus, de Marie Madeleine, et de Léonard de Vinci » (Primetime, diffusé le 3 novembre 2003).
On prend de la fiction pour de l'histoire
Quelles « vérités » le livre révèle-t-il ? Quelle est, selon lui, la vraie histoire de Jésus et de l'Église ? Examinons plusieurs extraits du livre représentant, supposément, « l'histoire authentique ».
«Lors de ce rassemblement [le concile de Nicée, en 325 de notre ère], plusieurs aspects du christianisme furent débattus et firent l'objet d'un vote - la date [du dimanche] des Pâques, le rôle des évêques, l'administration des sacrements et, bien sûr, la divinité de Jésus... Jusqu'à cette époque-là dans l'histoire, Jésus passait - parmi ses disciples - pour un prophète mortel... La confirmation du fait que Jésus était le "Fils de Dieu" fut officiellement proposée et soumise à un vote lors du concile de Nicée... avec juste assez de suffrages » (p. 233).
« De cet événement découle le moment le plus profond dans l'histoire du christianisme. Constantin commanda, et finança, une nouvelle Bible qui omettait les évangiles qui décrivaient les traits humains du Christ, et embellissaient ceux qui le faisaient semblables à Dieu. Les autres évangiles furent rejetés, rassemblés, et brûlés » (p. 234).
« Il s'agit là de la pire opération de camouflage de tous les temps. Non seulement Jésus était marié, mais il était en outre père... Marie Madeleine étant le saint réceptacle. Elle était le calice portant la lignée royale de Jésus- Christ. Elle était le sein portant la lignée, et le cep duquel était issu le fruit sacré » (p. 249).
« Marie Madeleine était enceinte à la crucifixion... Avec le concours de l'oncle favori de Jésus - Joseph d'Arimathée - elle se rendit secrètement en France, connue alors sous le nom de Gaule. Elle y trouva refuge et sécurité dans la communauté juive. Et c'est en France qu'elle donna naissance à une fille... » (p. 255).
Beaucoup d'autres idées farfelues sont avancées dans cet ouvrage, mais les extraits ci-dessus fournissent une assez bonne idée de ce que l'auteur voudrait nous faire croire.
Brown suggère que des documents secrets - documents de nature à déchirer la chrétienté - furent enterrés avec les restes de Marie Madeleine. Ces documents, selon lui, contenaient le « vrai Évangile », fondé sur le culte d'une déesse. Si ces « vérités » redécouvertes étaient révélées au monde, elles ouvriraient la voie à l'humanité pour qu'elle revienne à une spiritualité plus éclairée centrée sur cette divinité féminine.
Le plus inquiétant dans ce livre - et dans le film qui va s'ensuivre - c'est le degré de fiction et de fausses informations qu'il contient. Et ces mythes, habilement mélangés à un peu de réalité, on voudrait nous les faire passer pour la vérité ! Le lecteur peu versé dans les Saintes Écritures, et peu féru d'histoire, risque d'être envahi de doutes et se poser toutes sortes de questions. On frôle le blasphème. Le Christ déclara à propos de quiconque constitue une pierre d'achoppement pour l'un de ses semblables et le pousse à fauter : « Il vaudrait mieux pour lui qu'on mette à son cou une pierre de moulin et qu'on le jette dans la mer, que s'il scandalisait un de ces petits » (Luc 17:2).
Que déclare la Bible ?
La version imaginaire et tronquée que Brown nous propose de l'histoire est en conflit avec la Bible sous bien des aspects. Premièrement, Jésus n'était pas marié. Pas le moindre passage des Saintes Écritures n'indique une telle possibilité. Pas un seul ! Certains érudits ont essayé, de par le passé, de suggérer que les noces de Cana, dans Jean 2, et lors desquelles Jésus changea de l'eau en vin, était en fait son propre mariage. Ce n'est pas ce que déclare la Bible.
Il est impossible de prouver, Bible en mains, que Jésus ait été marié à Marie Madeleine, ou à qui que ce soit. Cette idée reflète l'enseignement gnostique, prônant le caractère féminin des êtres spirituels, populaire au IIe siècle de notre ère.
Aucun passage des Écritures ne supporte l'idée désapprobatrice et farfelue selon laquelle Marie Madeleine était une prostituée qui suivait le Christ et ses disciples partout où ils allaient.
Une partie des idées erronées circulant à propos du Christ s'apparente à l'opinion qu'il existerait d'autres « évangiles » qu'on aurait ou perdus ou purgés des textes officiels, et qui auraient été classés « hérétiques ». Possède-t-on l'histoire authentique du Christ et de l'Église primitive ?
Certes, d'autres lettres et d'autres récits circulaient au Ier siècle et par la suite, prétendant représenter la vraie histoire du Christ. De fausses lettres qu'on disait avoir été rédigées par l'apôtre Paul circulaient aussi (2 Thessaloniciens 2:2).
La manière dont les livres du Nouveau Testament ont été rassemblés en un recueil pouvant être accepté comme authentique est un sujet trop long pour être traité par le présent article. Nous nous contenterons donc de dire que, d'après les Saintes Écritures, les apôtres Pierre et Paul furent personnellement impliqués dans la préservation de textes et d'épîtres choisis, dignes de confiance et portant le sceau des événements authentiques de la vie du Christ et de l'Évangile du salut dans le Royaume de Dieu.
Ces passages bibliques, indicatifs de la manière dont la Bible a été compilée, excluent la moindre possibilité que d'autres « évangiles » supposément « perdus » puissent être utilisés pour comprendre la vraie doctrine.
Marie, preuve de l'authenticité des Évangiles
Examinons un exemple prouvant la véracité des Évangiles en notre possession. La présence de Marie Madeleine parmi les disciples du Christ comme porteuse de la nouvelle de Sa résurrection sert, en fait, à authentifier les Évangiles de Matthieu, de Marc, de Luc et de Jean.
Les femmes étaient peu honorées en ce temps-là. Luc et Jean nous parlent de femmes servant et agissant de manières qui, à l'époque, auraient passé pour plutôt osées. Pour certaines cultures dans la région, le statut des femmes avoisinait celui des esclaves. Les femmes n'étaient pas autorisées à prendre un repas avec les invités de leurs époux, ni à quitter la maison sans être accompagnées, elles étaient désignées comme inférieures et impures par rapport aux hommes. À Rome, l'homme avait tous les droits sur sa femme. L'adultère pouvait être puni de mort. Se déplacer sans voile pouvait être sanctionné par un divorce. Le statut des femmes de l'époque fait penser au code de conduite exigé d'elles dans le monde islamique actuel.
Si les Évangiles avaient été inventés, leurs auteurs auraient écrit des récits reflétant les normes culturelles de l'époque. Ils nous relatent avec exactitude la venue du Messie et Sa vie.
Les Évangiles en notre possession sont exacts. Ils décrivent ce qui eut lieu. Et ils ont été rédigés sous l'inspiration du Saint-Esprit. Paul l'a affirmé : « Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice » (2 Timothée 3:16). Dieu a donné aux hommes l'assurance que tous les aspects clefs de son Évangile de salut ont été soigneusement préservés.
Puisant dans des sources erronées
En Occident, on cherche souvent, de manière quasi instinctive, à comprendre l'aspect spirituel de la vie. Il n'est pas rare de voir des articles sur la Bible, le christianisme ou une doctrine chrétienne clef comme le ciel ou l'enfer.
Les médias savent que les gens sont souvent fascinés par la Bible, même quand ils sont illettrés en ce domaine. Ce qui est publié, de nos jours, correspond souvent à des opinions se distançant des enseignements chrétiens traditionnels.
Toutes sortes d'idées circulent, certaines se voulant théologiennes, d'autres s'apparentant davantage à la culture populaire. Certaines idées s'apparenteraient plutôt du film récent de science fiction Matrix, qui s'appuie sur l'opinion que le monde tel que nous le voyons ne représente pas l'ultime réalité. L'un des héros du film, Morpheus, dit à un certain Néo que « la matrice est le monde auquel on cherche à te faire croire pour te cacher la vérité ».
Dans ce film, les « bons » sont des sages toujours en avance sur ceux de la « matrice » qui cherchent à « colmater la brèche » et à se rendre maîtres du monde. Les idées avancées dans ce film remontent à des concepts anciens prédatant le christianisme et chers à la pensée gnostique.
Depuis plusieurs décennies, des théologiens libéraux remettent en cause les idées chrétiennes, y compris traditionnelles. Et avec ce scepticisme à l'égard de quasiment toutes les institutions, les gens se tournent vers d'autres sources que la religion pour parvenir - est-ce bien le cas ? - à leur épanouissement spirituel. On est fasciné par « le Nouvel Âge » et ses rituels. Ces « évangiles » supposément « perdus » alimentent l'imagination de l'homme moderne qui s'invente des rituels s'apparentant, dans de nombreux cas, à des croyances très anciennes et non chrétiennes.
Une partie de l'intelligentsia des théologiens modernes accorde une certaine crédibilité aux « autres évangiles » décrivant l'Église primitive. La théologienne controversée de Princeton, Elaine Pagels, par exemple, a écrit qu'elle accepte l'Évangile de Thomas, l'un des nombreux textes anciens découverts à Nag Hammadi, en Égypte, en 1945.
Les recherches que le Dr Pagels a effectuées sur les textes de Nag Hammadi ont forgé son opinion que les textes bibliques « ne nous disent pas tout ». Elle refuse d'accepter « le christianisme à partir d'un seul recueil accepté de croyances... » À son avis - et de l'avis d'autres érudits - les textes de Nag Hammadi sont «comme les morceaux nouvellement découverts d'un puzzle compliqué, ressemblant de près à ce que l'on sait depuis longtemps d'après des traditions, et l'on s'aperçoit que ces textes remarquables qui commencent seulement à être connus, sont en train de modifier le christianisme que nous connaissons » (Beyond Belief : The Secret Gospel of Thomas, 2003, p. 29).
Pourquoi tant d'intérêt pour ces mythes ?
Les gens cherchent une sorte de fondement spirituel susceptible de donner un sens à leur vie de tous les jours. Ce désir humain est normal et il existe depuis des siècles.
Les occidentaux, de par leur héritage judéo-chrétien basé sur l'Ancien et le Nouveau Testament, se disent souvent « chrétiens », même s'ils ne pratiquent pas la voie suivie par l'Église de Dieu du Nouveau Testament. En fait, ils mélangent leurs croyances à toutes sortes d'idées païennes. On vous dira que c'est une autre manière d'être chrétien. Néanmoins, quand on adopte des idées profanes au lieu de se rapprocher de la vérité, on finit par s'éloigner de la vraie spiritualité.
Ces pratiques décrites dans de vieux textes non bibliques peuvent paraître élucider certaines questions fondamentales de la vie ; on s'y réfère pour expliquer le mal et pour essayer de se rapprocher de Dieu. Or, les vérités que nous recherchons sont expliquées dans la Sainte Bible.
Le fait que l'on se tourne si souvent vers toutes ces idées farfelues pour élucider les questions clefs de la vie prouve la confusion qui continue à régner dans le domaine de la religion. Ce n'est pas avec un tel chaos qu'on fournit aux gens les réponses dont ils ont désespérément besoin.
On se tourne vers des fables
Dans un commentaire sur son temps, qui est aussi une prophétie pour notre époque, l'apôtre Paul dit à son collègue ministre, Timothée : « Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine ; mais, ayant la démangeaison d'entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l'oreille de la vérité, et se tourneront vers des fables » (2 Timothée 4:3-4).
De nos jours, tout comme du temps du Christ, il importe que nous sachions ce que notre Seigneur a déclaré et que nous décidions si, oui ou non, nous allons suivre ses enseignements. Incidemment, il est bien plus facile de croire les déclarations bibliques à propos du Christ que les mythes qui sont perpétués depuis des siècles. Chaque génération a ses nombreux détracteurs de la Bible, adoptant des idées démolissant l'histoire du salut grâce à l'Agneau de Dieu.
La vraie histoire du Christ a été édulcorée et dissimulée par des fables profanes qui ont tordu la vérité enseignée par le Messie et ses Apôtres. Et cela a été le cas pour la totalité des Évangiles. Ces histoires qui nous sont proposées contiennent les mêmes distorsions, de la personne du Christ et de son message, que celles qui circulent depuis des siècles, à la différence qu'à présent, elles sont poussées à l'extrême.
L'idée que Jésus ait été marié, et ait procréé un enfant, fait de lui un autre homme. Cet enseignement dévalorise et supprime la vérité selon laquelle Dieu est en train de créer une famille spirituelle et où tous les êtres humains ayant jamais vécu auront tôt ou tard la possibilité de se joindre à cette dernière (Éphésiens 3:14-15).
Si Jésus était un homme ordinaire, Dieu ne serait pas un Père et nous ne serions pas ses enfants ; le plan divin de salut révélé dans les Écritures serait un mensonge. Paul réfuta cette idée hérétique dans sa première Épître aux Corinthiens. Certains, à Corinthe, niaient la résurrection et la divinité du Christ. Ils avaient du mal à croire que ce soit possible. Paul mit les choses au point dans l'un des chapitres les plus puissants de la Bible - 1 Corinthiens 15.
« Suis-moi »
Jésus-Christ - le Fils de Dieu - était aussi le plus grand des prophètes envoyés par Dieu à Israël (Deutéronome 18:18). Sa vie et Sa mort étaient l'accomplissement de centaines de prophéties de l'Ancien Testament. Son message était une prophétie sur l'instauration du Royaume de Dieu sur terre, un accomplissement décrit dans Daniel 2:44-45.
L'apôtre Pierre fut un témoin oculaire de la gloire et de la résurrection du Christ. Des années plus tard, il exprima son entière conviction - et celle des autres Apôtres - sur l'identité du Christ, du Fils de Dieu. Répondant à des arguments analogues de ceux que l'on nous propose aujourd'hui, Pierre écrivit : « Ce n'est pas, en effet, en suivant des fables habilement conçues, que nous vous avons fait connaître la puissance et l'avènement de notre Seigneur Jésus-Christ, mais c'est comme ayant vu sa majesté de nos propres yeux » (2 Pierre 1:16).
Après sa résurrection, le Christ glorifié dit à Pierre : « Suis-moi » (Jean 21:19). Dans l'esprit de Pierre, il n'y avait aucun doute qu'il suivait le Fils de Dieu, le Roi des rois à venir.
Dieu nous lance à présent le même appel : « Suis-moi », nous dit-Il. Pouvezvous vous débarrasser de vos doutes, fuir les distractions de ce monde et découvrir le vrai Christ des Évangiles, puis le suivre jusque dans le Royaume de Dieu ? À vous de choisir.