Les cavaliers de l'Apocalypse :
Le cheval roux de la guerre
Au milieu des années 80, le président américain Ronald Reagan, un jour, songea tout haut à la possibilité d'une guerre mettant fin à notre civilisation. « Voyez-vous, je me reporte aux anciens prophètes, dans l'Ancien Testament, et aux signes annonçant Harmaguédon, et je me surprends à me demander si nous sommes la génération qui va connaître ces événements… Il y a eu des époques, dans le passé, où l'on a cru que c'était la fin du monde, mais jamais rien comme à notre époque ».
Ceux qui ont connu la Première Guerre mondiale le pensaient également. Cette Grande Guerre, comme ils l'appelaient, était la guerre qui allait mettre fin à toutes les guerres. Si seulement cela avait été le cas ! La guerre qui mettra fin à toutes les guerres va avoir lieu, mais elle succédera à une époque de guerre généralisée sans précédent dans toute l'histoire (Matthieu 24:21). La chevauchée du deuxième cavalier d'Apocalypse 6 libère les forces maléfiques et élimine les derniers vestiges de paix subsistant encore sur la terre. Toutefois, le Christ - par Sa venue et l'instauration de Son royaume juste -- interrompt la chevauchée de ce cavalier.
Notez ce que voit l'apôtre Jean lorsque le second sceau est rompu : « Quand il ouvrit le second sceau, j'entendis le second être vivant qui disait : Viens. Et il sortit un autre cheval, roux. Celui qui le montait reçut le pouvoir d'enlever la paix de la terre, afin que les hommes s'égorgent les uns les autres ; et une grande épée lui fut donnée » (Apocalypse 6:3-4).
Cette vision correspond à la prophétie de Christ à la montagne des Oliviers, dans Matthieu 24 : « Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres : gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. Une nation s'élèvera contre une nation, et un royaume contre un royaume » (Matthieu 24:6-7).
Le registre de l'histoire indique que le cheval roux de la guerre emboîte souvent le pas au cheval blanc symbolisant la fausse religion. Nous citerons ici l'exemple de la Guerre de Trente Ans, en Europe, au milieu du XVIIe siècle. À la suite de la Réformation protestante, les changements du pouvoir dans les États européens provoquèrent 30 ans de carnages, de 1618 à 1648. La religion, la nouvelle théologie protestante, contre la théologie catholique romaine, fut l'idéologie qui alimenta la tempête des guerres. Elle déboucha sur des alliances étranges : La France catholique s'aligna avec les Pays-Bas protestants pour contrer la puissante dynastie catholique des Habsbourgs. Ce qui eut pour effet de prolonger le conflit. Lorsque la paix (un euphémisme pour « l'équilibre du pouvoir ») fut restaurée en 1648 par le traité de Westphalie, 8 millions de personnes avaient péri.
À quoi devons-nous nous attendre lorsque ce cheval roux de la guerre entreprendra sa chevauchée dans les derniers jours, libérant la furie des nations et de l'idéologie sur le monde. Un examen de l'histoire des guerres et de leur cause nous en donne une idée. Commençons par nous reporter à la Bible afin de savoir ce qui provoque les guerres.
La cause des guerres
On a écrit une foule d'ouvrages sur les causes majeures des guerres. Ce sujet, sans doute l'étudie-t-on depuis le premier conflit entre êtres humains. Les Grecs de l'Antiquité pensaient que le comportement humain était guidé par la crainte, les intérêts personnels et l'honneur. Ces traits provoquent des conflits et l'instabilité. Lorsque la bonne vieille nature humaine provoque une crise, l'ordre se dissipe généralement, faisant place à l'anarchie, puis à la guerre.
Les relations internationales sont généralement fonction des intérêts de chacun. Lorsque les intérêts des individus sont menacés, l'instinct naturel de survie prend le dessus. La guerre, dans bon nombre de cas, en résulte.
L'apôtre Jacques s'est prononcé sur ce sujet : « D'où viennent les luttes, et d'où viennent les querelles parmi vous ? N'est-ce pas de vos passions qui combattent dans vos membres ? Vous convoitez, et vous ne possédez pas ; vous êtes meurtriers et envieux, et vous ne pouvez pas obtenir ; vous avez des querelles et des luttes, et vous ne possédez pas, parce que vous ne demandez pas » (Jacques 4:1-2).
Jacques identifie la convoitise, le désir et la cupidité en tant que causes des querelles entre individus incapables de se concentrer sur les rapports requis avec Dieu. Il poursuit : « Adultères que vous êtes ! Ne savez-vous pas que l'amour du monde est inimitié contre Dieu ? Celui donc qui veut être un ami du monde se rend ennemi de Dieu » (Jacques 4:4). On comprend donc que l'égoïsme joue un rôle dominant dans l'agression humaine.
La guerre qui mettra fin à toutes les guerres va avoir lieu, mais elle succédera à une époque de guerre généralisée sans précédent dans toute l'histoire.
Livré à lui-même, sans une relation spirituelle avec Dieu, le coeur humain est responsable du conflit. Dans le contexte des péchés de Juda, le prophète Jérémie déclara : « Le coeur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant : Qui peut le connaître ? » (Jérémie 17:9). Jésus précisa : « Car c'est du coeur que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les débauches, les vols, les faux témoignages, les calomnies » (Matthieu 15:19).
Par contre, la Bible révèle que la véritable source de cette nature hostile, c'est Satan le diable. Dans une discussion animée avec les pharisiens qui Le défiaient, Jésus cita Satan comme source de l'hostilité humaine. « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur, et le père du mensonge » (Jean 8:44).
Paul décrit Satan comme étant maître de « la puissance de l'air », poussant littéralement les gens à désobéir, sans même qu'ils en soient conscients. Tant que la nature de l'homme n'a pas subi une transformation fondamentale, celui-ci continue à agir selon les convoitises de sa chair, « accomplissant les volontés de la chair » et de ses pensées. Il est un « enfant de colère » animé, comme le restant de l'humanité, par un esprit de conflit (Éphésiens 2:2-3).
Un changement de coeur sera nécessaire, de pair avec l'apport de l'Esprit de Dieu, pour pousser les hommes à renoncer à leurs propres intérêts et se mettre à suivre Dieu. Cette solution est évoquée dans une citation de Guerre et Paix, de Tolstoï : « Drainez le sang des veines des hommes, et remplacez- le par de l'eau ; il n'y aura plus de guerres ! »
Lorsque le monde se placera sous l'alliance selon laquelle Dieu écrit Sa loi dans le coeur des hommes avec Son Esprit, nous connaîtrons la fin des guerres. Entre temps, les guerres continueront à redoubler, et redoubler leur férocité. Ceux qui comprennent la nature de l'homme savent qu'il se dirige vers la destruction totale.
La première guerre
Dans Genèse 4, il est question de la première « guerre » humaine, du conflit entre Caïn et Abel - les fils d'Adam. Lorsque Dieu refuse d'agréer l'offrande de Caïn, lisant les pensées iniques de son coeur, Caïn sent ses intérêts menacés. Il ne maîtrise pas son agressivité mais se dresse contre son frère Abel, et le tue (Genèse 4:8).
Caïn est expulsé du milieu familial et se rend dans le pays de Nod, à l'orient d'Éden (Genèse 4:16). Certains experts bibliques déclarent qu'il bâtit sur l'ancien site de Jéricho. Que ce soit le cas ou non, des fouilles sur ce site - l'une des villes les plus anciennes de la terre, révèlent une ville fortifiée avec des murailles de 4 m de haut et 2 m d'épaisseur. Les vestiges d'une vieille tour de 10 m de diamètre à la base, et de 10 m de haut, nous racontent l'histoire d'individus vivant dans une ville fortifiée, protégeant ce qu'ils avaient, sans doute de la nourriture, contre ceux qui voulaient s'en emparer de force. Il est clair que ce fut un site de conflits bien avant que Josué et les Israélites n'encerclent ses murailles.
Dans Genèse 10, Dieu parle des fils de Noé et des villes qui se développèrent de leurs dynasties. L'un de ses descendants, Nimrod, et la ville qu'il bâtit, y sont mentionnés. Nimrod fut « un vaillant chasseur devant l'Éternel ». Le texte indique une relation hostile à l'égard de Dieu et de Son Plan. C'est évident quand on lit le récit de la tour de Babel au chapitre 11. Les villes liées à Nimrod sont en guerre régulièrement pendant des siècles. Babylone devient une ville, puis un empire, et finit par devenir symbolique d'un système qui s'oppose à Dieu, à Son peuple et à Son plan à travers la Bible.
C'est cette ville, décrite dans Apocalypse 17:5 comme « …un mystère… la mère des prostituées et des abominations de la terre » qui, au temps de la fin, fournit une inspiration religieuse et culturelle à un empire politico-religieux appelé la bête. Ce système, au temps de la fin, puise ses racines dans le système mis en place par Nimrod à Babel, enjambant les siècles intermédiaires. Ce système servira de toile de fonds au conflit final de cette ère, provoqué par le cheval roux de la guerre.
Aucune guerre n'a jamais procuré la paix. Les guerres menées au nom de la religion n'ont pas procuré l'harmonie religieuse. Aucun conflit mené dans les intérêts nationaux n'a jamais procuré une sécurité durable pour une ville, un État ou un empire quelconques. La paix recherchée par l'homme est bien trop souvent une paix conforme à ses intérêts nationaux.
Le conflit en l'Iraq
Du fait de la désintégration de l'empire soviétique au début des années 90, les stocks d'ogives nucléaires de ce dernier et celles des Etats-Unis ont considérablement été réduits. Toutefois, le génie nucléaire n'est pas rentré dans sa lampe. Par des moyens divers, la technologie nucléaire s'est déplacée vers d'autres nations. À présent, l'Inde et le Pakistan possèdent des armes nucléaires et, à deux reprises ces dernières années, ces pays ont entrechoqué leurs sabres, menaçant de déclencher un holocauste sur le sous-continent asiatique.
George Bush a identifié trois pays - l'Iran, l'Iraq, et la Corée du Nord -- comme formant un « axe du mal ». La Corée du Nord, reconnaissant ouvertement sa capacité, a récemment menacé d'entreprendre la production de matériaux nucléaires. Des photos par satellites ont montré que des structures capables de produire des bombes nucléaires sont en construction en Iran. Le même genre d'édifices a été détruit en Iraq, tant par les Israéliens que par les Américains. Ce sont les soupçons relatifs à la capacité, de la part de l'Iraq, de produire de nouveau des armes de destruction massive, qui ont poussé l'administration américaine à attaquer ce pays.
Le monde est sur le pied de guerre
Ce qu'on craint le plus, c'est que des armes nucléaires, ou d'autres armes de destruction massive, ne tombent entre les mains de groupes terroristes tels qu'al Qaeda et qu'elles soient utilisées contre les pays occidentaux. Plusieurs sources de renseignements prétendent que l'Iraq a déjà soutenu al Qaeda. Avec cette réelle possibilité, l'impensable est devenu trop proche de la réalité. La fin de la guerre froide ne nous a guère rapproché de l'élimination des guerres nucléaires. Elle a simplement déplacé le pouvoir et l'a placé entre les mains de davantage de joueurs. Ceux qui étudient la guerre en comprennent le danger persistant. Examinant le sujet de près, l'auteur Gwynne Dyer a fait cette remarque sinistre, grave, et pratiquement désespérée :
« Pour commencer si près de la fin : Nous traversons sans doute l'été indien de l'histoire humaine, ne pouvant nous attendre à rien d'autre qu'à un " hiver nucléaire " achevant le récit. La guerre à laquelle se préparent chaque jour les grandes puissances peut se déclencher comme des centaines d'autres de par le passé. Les mégatonnes tomberont, la poussière s'élèvera, la clarté du soleil diminuera, et l'espèce risque de périr. Rien n'est inévitable tant que cela ne s'est pas produit, mais la dernière guerre est indéniablement une possibilité, et il y a une certitude statistique. Tout événement représentant une probabilité évidente, aussi minime soit-elle, et qui ne diminue pas avec le temps finira par se produire - l'an prochain, dans dix ans, le siècle suivant… mais il aura lieu. Y compris une guerre nucléaire » (War, 1985, p. xi).
Un gouvernement mondial
Cette possibilité inquiétante en a poussé un grand nombre à conclure qu'un gouvernement mondial supranational est le seul espoir pour la paix mondiale. L'auteur médiéval Dante, dans son oeuvre De Monarchia, évoque les disputes inévitables entre deux gouvernements, qui exigent l'arbitration d'une troisième puissance investie de l'autorité de résoudre le conflit, « Cette troisième puissance, c'est - ou non - le gouvernement mondial. Il importe donc que nous ayons, pour commencer, un juge initial suprême pour qui toutes les disputes sont jugeables… De ce fait, un gouvernement mondial est nécessaire pour le monde » (The Great Ideas : War and Peace, p. 1018).
La guerre, à la fin de cette ère, amènera tous les pays au stade où un système sera créé avec le désir de procurer la paix universelle. Apocalypse 13 décrit un système « montant de la mer », et qui est appelé la bête. Par une série de miracles, le monde en crise se laisse persuader qu'il doit adorer ce système. Les nations renoncent à leur souveraineté, et le monde adore la bête, se disant : « qui peut combattre contre elle ? » (Apocalypse 13:4). Pour forcer ce genre de « paix », elle va faire la guerre au peuple de Dieu, et a « autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation » -- une puissance mondiale (Apocalypse 13:7).
Dans Apocalypse 17, nous lisons que cette bête reçoit son autorité de dix rois. Nous répétons que cette « paix » qui est instaurée mène en fait à une guerre… contre Dieu. La bête et son système combattront l'Agneau [Jésus-Christ], mais, tout compte fait, l'Agneau les vaincra.
Au fil des siècles, l'homme a cherché à organiser un état universel. Ce qui débuta à Babylone en tant que tentative d'atteindre les cieux et de défier Dieu, se reproduira ; il y aura, au temps de la fin, une autre tentative visant à unifier les nations en un système politico-économique. L'objectif de ce système sera de faire respecter l'ordre et la paix entre les divers pays en guerre, mais, lorsque la « paix » sera instaurée, le masque plaisant sera ôté et révélera une bête hideuse - un système qui déchirera et détruira toute opposition à son règne et à son autorité. L'espérance des siècles - la paix - s'avérera, une fois de plus, inaccessible au niveau humain.
Tout sera alors en place pour que se déroule la gigantesque bataille décisive de la fin.
L'intervention du Christ
La paix, lorsque ce sont les êtres humains qui l'instaurent, ne dure jamais. Ce système babylonien qui surgira fera partie d'une époque de calamités universelles sans précédent dans l'histoire humaine. Le prophète Daniel l'apprit : « En ce temps-là… ce sera une époque de détresse, telle qu'il n'y en a point eu de semblable depuis que les nations existent » (Daniel 12:1). Christ, Lui aussi, fit allusion à cette époque : « Car alors, la détresse sera si grande qu'il n'y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu'à présent, et qu'il n'y en aura jamais. Et, si ces jours n'étaient abrégés, personne ne serait sauvé… » Il nous fit cependant entrevoir la lumière à la fin du tunnel lorsqu'Il ajouta : « mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés » (Matthieu 24:21-22).
La dernière guerre aura pour but de rendre l'humanité humble au point qu'elle sera disposée à obéir à Dieu et à vivre selon la voie qui produit la paix.
Cette dernière époque de guerre sera entre les mains de Dieu. Apocalypse 5, ne l'oublions pas, indique que c'est l'Agneau qui libère les sceaux. Christ est Maître de l'histoire, et Il mettra fin à cette dévastation en apportant la paix à tous les peuples. Toutefois, c'est à la suite de terribles souffrances humaines que la paix finira par s'installer.
La dernière guerre qui sera menée sera provoquée par Dieu. Elle aura pour but de rendre l'humanité humble au point qu'elle sera disposée à obéir à Dieu et à vivre selon la voie qui produit la paix. Veuillez noter la description de cette époque de conflit mondiale. Apocalypse 8 débute par l'ouverture du 7e sceau comprenant 7 fléaux déclenchés au son d'une trompette, et provoquant une destruction inimaginable sur la terre. Le chapitre suivant déclare ce qui se produit au son de la 6e trompette : « Le sixième ange sonna de la trompette. Et j'entendis une voix venant des quatre cornes de l'autel d'or qui est devant Dieu, et disant au sixième ange qui avait la trompette : Délie les quatre anges qui sont liés sur le grand fleuve, l'Euphrate. Et les quatre anges qui étaient prêts pour l'heure, le jour, le mois et l'année, furent déliés afin qu'ils tuent le tiers des hommes. Le nombre des cavaliers de l'armée était de deux myriades de myriades » (Apocalypse 9:13-16).
Cette armée de 200 millions de personnes est effrayante à contempler. Toutefois, ce qu'il importe de comprendre, dans ce verset, c'est que Dieu est Maître de la situation et contrôle les armées en marche sur la face de la terre. L'un des messages sans équivoque de l'Apocalypse, c'est que Dieu maîtrise des événements apparemment incontrôlables.
Apocalypse 9:18 révèle qu'un tiers de l'humanité - 2 milliards de vies - périt dans ces trois fléaux. Le seul espoir de survie pour l'humanité, c'est la réalité de l'intervention du Christ pour empêcher la destruction de la terre et de ses habitants.
À mesure que la crise de la fin atteint son paroxysme, les cieux s'ouvrent et Christ apparaît sur un cheval blanc. Ici, dans ce message divin d'espoir, apparaît un 5e cavalier, dont la chevauchée est finale et décisive. Apocalypse 19:11 déclare qu'Il « s'appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice ».
Christ livrera cette bataille avec justice car Lui seul détient les clefs de la mort et du séjour des morts (Apocalypse 1:18). Personne d'autre ayant mené bataille dans l'histoire - même si la cause semble avoir été « juste » - ne peut prétendre une telle chose.
Il y a des siècles que le jugement de Dieu sur les nations se prépare, et il sera exécuté au bon moment. Cette ultime bataille débouchera sur l'avènement du Royaume de Dieu. Le monde connaîtra enfin une paix définitive.
Mais avant que cela n'ait lieu, deux autres cavaliers chevaucheront. La prochaine fois, nous étudierons la chevauchée du 3e cavalier - la famine.