Pour l'Avenir : Préface juillet–août 2022

Pour l'Avenir

Préface juillet–août 2022

En 1890, Albert Lagrange, un prêtre dominicain français qui se faisait appeler Marie-Joseph, fonda ce qui est aujourd’hui, l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem (EBAF). Aujourd’hui, cette institution renommée ainsi que de nombreux autres sites historiques français en Terre Sainte et aux alentours, reflètent les contributions de longue date de la France à l’archéologie biblique. Pourtant, alors même que cette science ne cesse de découvrir des données probantes qui confirment le récit biblique, on constate, en France et dans toute la Francophonie, un scepticisme populaire croissant quant à la véracité historique de la Bible.

Dans ce numéro de Pour l'Avenir, nous vous proposons deux articles sur l’archéologie biblique qui, selon nous, identifient comment les techniques bien connues de l’archéologie ne cessent de confirmer le récit biblique. Même si certains aimeraient considérer la Bible comme n’étant rien de plus qu’un simple recueil de sagesse, il est grand temps de nous souvenir et d’examiner à nouveau cette longue tradition française de l’étude des données archéologiques qui donne un souffle de vie aux récits bibliques. Au lieu d’accepter tout simplement les propos des sceptiques, nous mettons nos lecteurs au défi d’étudier eux-mêmes cette question. Vous pourriez découvrir que la vérité des archives historiques confirme de façon merveilleuse ce qui est écrit dans les pages du livre le plus publié au monde.

—Tim Pebworth