Les crimes disparaîtront
Voici comment
Il y a quelques mois, dans une petite ville de l'ouest des États-Unis, un homme de plus de 70 ans qui habitait dans le même quartier que mon fils fut accosté par trois jeunes gens qui lui demandèrent son argent. L'homme hésita, ils s'énervèrent et se mirent à le bousculer. Soudain, l'un d'eux sortit un pistolet, et tira. Ils l'abandonnèrent, là, mourant gisant dans son sang. Il allait succomber peu après de ses blessures.
Si un tel crime peut être perpétré dans une petite ville relativement paisible, à quoi s'attendre dans les plus grandes villes, où des cambriolages, des vols ou des meurtres ont lieu régulièrement ?
Un monde plein de dangers
Avez-vous été vous-mêmes ou quelqu'un que vous connaissez, victime d'un ou de plusieurs crimes ? Quasiment tous les jours, nous entendons parler de crimes horribles perpétrés contre des innocents. Dans certains quartiers, il peut être aussi dangereux de s'aventurer en plein jour que dans certaines allées sombres après minuit.
Quand des actes terroristes sont commis, on évoque souvent telle ou telle raison politique. Aucun pays, quel qu'il soit, n'est à l'abri d'actes de violence comme ceux perpétrés ces derniers mois en Russie, en Israël, en Espagne, en Arabie Saoudite, en Irak et en Indonésie.
Les actes horribles dont il est question dans nos quotidiens ne sont qu'une partie infime du carnage qui a lieu chaque jour entre êtres humains.
Bien des gens ignorent ce qu'il faut entendre par paix et sécurité. Nous craignons pour nos vies, pour celle des membres de notre famille, et pour les êtres qui nous sont chers. Les parents s'inquiètent pour leurs enfants, ne risquent-ils pas, dans certaines parties du monde, d'être abattus froidement par un tireur embusqué dans une voiture ? Ils craignent qu'ils soient agressés ou kidnappés à l'école.
La facture élevée du crime
En 2005, en France, le nombre de crimes était en baisse pour la troisième année consecutive. C'est encourageant, certes, et pourtant il semblerait que tout le monde connaisse quelqu'un ayant été victime d'un crime hideux, quand il n'en a pas été victime lui-même. Même avec des taux de criminalité « à la baisse », l'an dernier, un Français sur dix-huit a été victime d'un meurtre, d'une agression, d'un viol ou d'un vol, et un Américain sur six a été victime d'un crime comme un cambriolage ou un vol de voiture.
D'où proviennent tous ces crimes, toute cette violence ? Pourquoi se perpétuent-ils de génération en génération ? Pourquoi, après tant de siècles écoulés, ne parvient-on toujours pas à éliminer ces fléaux ?
Le FBI a compté qu'en 2003, 16 503 meurtres ont été commis en Amérique. En 2004, en moyenne, trois Français sont morts chaque jour, victimes d’un homicide. Ces résultats ne sont que partiels.
Ces statistiques sont répugnantes pour tout citoyen bien pensant, notamment pour quiconque chérit ses libertés. Que dire de la liberté de rester en vie, de vivre une vie normale? Qui n'a pas envie de profiter de ses petits-enfants et arrièrespetits- enfants ? Et que dire de la facture exorbitante que doit payer la société ?
Un déclin dans le nombre des crimes ?
Si diminution des crimes il y a, c'est certes encourageant, mais un examen approfondi des statistiques tempère notre optimisme.
Car cela est dû, essentiellement, à la démographie : la population vieillit. La génération de l'après-guerre a atteint la cinquantaine, et est bien moins disposée à se livrer au crime que de par le passé. Il en va de même pour ses enfants, qui ont plutôt tendance à se « ranger » et qui ont maintenant leurs propres enfants.
Parallèlement, les sociologues prédisent une augmentation des crimes à mesure que ces petits-enfants de l'après-guerre deviennent adolescents et créent une nouvelle vague de criminels.
Les criminels étant emprisonnés, de plus en plus longtemps, ils ne sont pas dans les rues pour y commettre des crimes. La facture, en revanche, est élevée : environ 22 000 euros par prisonnier par an aux frais des contribuables français. Évidemment, la facture est élevée, mais elle le serait encore plus, pour ne pas dire beaucoup plus, s'ils étaient libres. Pour imaginer ce qui se passerait, il suffit de regarder certains pays où l'ordre et la loi ne sont plus maintenus.
Les causes primordiales du crime
Pourquoi tous ces crimes ? Pourquoi toute cette violence ? Comment ces maux ont-ils fait leur apparition et pourquoi se sont-ils perpétués de génération en génération ? Pourquoi, après tant de siècles, l'humanité a-t-elle été incapable d'enrayer un tel fléau ?
Ce mystère, les experts modernes ne l'ont toujours pas élucidé. Pour ce faire, il importe que nous nous tournions vers Dieu et sa Parole - la Sainte Bible.
Les psychologues et les sociologues ont leurs petites idées. Nombreux sont ceux qui blâment, entre autres, la pauvreté, l'éclatement des familles ou la mauvaise éducation des enfants. Certes, ces facteurs contribuent à la criminalité, mais ils n'en constituent pas la raison principale.
Il arrive que certains commettent un crime quand ils sont poussés à bout, terriblement frustrés; c'est toujours un choix individuel. Aucun des facteurs mentionnés ci-dessus n'a jamais forcé qui que ce soit à se livrer à des activités criminelles. Nous sommes tous libres de mesurer les conséquences de nos actes, de prendre des décisions et de les faire se matérialiser. Nous ne sommes pas obligés de prendre des décisions sous prétexte que notre milieu social ou familial nous y pousse.
Notre Créateur, dans Sa Parole, précise l'origine du crime. Bien trop souvent, il s'agit du fruit amer de notre propre convoitise et de notre égoïsme.
« D'où viennent les luttes, et d'où viennent les querelles parmi vous ? N'est-ce pas de vos passions qui combattent dans vos membres ? Vous convoitez, et vous ne possédez pas ; vous êtes meurtriers et envieux, et vous ne pouvez pas obtenir ; vous avez des querelles et des luttes, et vous ne possédez pas, parce que vous ne demandez pas » (Jacques 4:1-2).
Quelle est la vraie nature de l'homme ?
On croit généralement que les êtres humains sont essentiellement bons et qu'ils finiront par résoudre leurs problèmes par leurs efforts et leur ingéniosité. Or, plusieurs millénaires d'histoire ont prouvé qu'ils sont totalement incapables de vivre paisiblement les uns avec les autres pendant longtemps.
Il n'y a guère plus de soixante ans, lors de la Deuxième Guerre mondiale, des citoyens de sociétés les plus avancées de notre civilisation s'exterminaient à une échelle sans précédent. Depuis, le monde a connu des dizaines et des dizaines d'autres guerres, en plus des millions de crimes individuels commis entre individus isolés.
La Bible brosse un tableau bien peu reluisant de la nature de l'homme : « Le coeur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant : Qui peut le connaître ? » (Jérémie 17:9).
Le prophète Jérémie ajoute que nous sommes, de par nature, incapables de prendre des décisions nous permettant de vivre ensemble en paix. « Je le sais, ô Éternel ! La voie de l'homme n'est pas en son pouvoir ; Ce n'est pas à l'homme, quand il marche, à diriger ses pas » (Jérémie 10:23). L'homme a besoin d'aide.
Salomon nous dit que, souvent, les voies qui nous paraissent justes finissent par conduire à des drames : « Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c'est la voie de la mort » (Proverbes 14:12 ; Proverbes 16:25).
Comme l'a expliqué le prophète Jérémie, qui peut comprendre son propre coeur, ses pensées et ses motivations secrètes ? Nous autres humains, nous sommes si doués lorsqu'il s'agit de nous faire des illusions, de rationaliser, de justifier notre comportement égoïste. Pourquoi nous étonner si le monde où nous vivons est affligé par le crime ?
L'apôtre Paul a parlé des résultats de ce que Jérémie a qualifié de coeur tortueux par-dessus tout : « Il n'y a point de juste, pas même un seul ; nul n'est intelligent, nul ne cherche Dieu ; tous sont égarés, tous sont pervertis ; il n'en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul, ils ont les pieds légers pour répandre le sang ; La destruction et le malheur sont sur leur route ; Ils ne connaissent pas le chemin de la paix ; La crainte de Dieu n'est pas devant leurs yeux » (Romains 3:10-12, Romains 3:15-18). Il n'y va pas par quatre chemins ! Sans direction spirituelle, les êtres humains sont incapables de vivre en paix.
Une séduction spirituelle
Paul nous rappelle que « tous ont péché » (Romains 3:23), que nul parmi nous n'est innocent, peu importe l'opinion que nous avons de nous-mêmes. Jacques a décrit pour nous le processus qui mène à la transgression de la loi divine : « Chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. Puis la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort » (Jacques 1:14-15).
Avant de refuser d'admettre ce que la Bible déclare à propos de nos motivations et de nos pensées, posez-vous quelques questions: Combien de fois avez-vous eu envie de prendre quelque chose qui ne vous appartenait pas ?
Combien de fois avez-vous teinté la vérité à votre avantage ?
Combien de fois avez-vous été tellement frustré, dégoûté ou irrité par une autre personne que vous auriez préféré qu'elle n'existe pas ?
Combien de fois avez-vous eu envie d'avoir une relation sexuelle avec quelqu'un d'autre que votre mari ou votre femme, ou avez-vous imaginé ce genre de relation en regardant de la pornographie ou en ayant des fantasmes ?
La Bible parle d'un être invisible et très puissant agissant sur les êtres humains et les poussant à emprunter la voie de l'égoïsme et de l'autodestruction. Elle appelle cet être Satan, le diable.
Ces mauvais désirs, nous dit Jacques, sont en nous et cherchent à être assouvis. Et souvent, dans bien trop de cas, nous n'avons pas assez de volonté, nous ne fournissons pas les efforts nécessaires, nous manquons de caractère, nous ne mettons pas de frein à notre convoitise et à notre égoïsme. Nous succombons. Il nous arrive d'être découverts et d'en souffrir les conséquences. Parfois, nous nous imaginons que rien ne nous arrivera.
Un esprit criminel supérieur invisible
La Bible parle d'un autre facteur clef agissant dans toutes les sociétés humaines, d'un être terriblement puissant qui ne cesse de pousser l'homme dans une voie égoïste et d'autodestruction. La Bible l'appelle Satan, le diable, et le décrit comme l'ennemi de l'humanité.
Le Christ a décrit cet être comme étant le réel pouvoir agissant en coulisses lorsque celui-ci cherchait à le détruire, ainsi que son message. Confrontant un groupe d'individus cherchant à le tuer, il déclara : « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge » (Jean 8:44).
Jésus savait que les mensonges de Satan ont fourvoyé nos premiers parents Adam et Ève (Genèse 3). Depuis lors, il a continué ses manipulations et son influence corruptrice. Cet être angélique « pèche dès le commencement » (1 Jean 3:8) et il ne cesse, depuis des millénaires entraînant les êtres humains, les tentant et les incitant à pécher.
Les conséquences du péché peuvent être trompeuses, en ce sens qu'elles ne sont pas toujours immédiates. Adam vécut 930 ans, puis il mourut. Souvent, l'amende du péché tarde à s'abattre, et le pécheur a l'impression d'y avoir échappé (Ecclésiaste 8:11). Or, la grande loi spirituelle de l'Éternel finit toujours par exercer sa force.
L'énorme influence de Satan sur l'humanité
Dans quelle mesure le diable nous influence-t-il ? Énormément. La Bible nous dit qu'il « séduit toute la terre » (Apocalypse 12:9). Lui et les anges déchus, les démons, sèment partout l'égoïsme, la convoitise, l'envie, la jalousie et la haine.
L'apôtre Paul décrit l'état de la plupart des êtres humains comme morts par leurs offenses et leurs péchés. S'adressant aux chrétiens, il évoque leurs offenses et leurs péchés, « dans lesquels, dit-il, vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air, de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion » (Éphésiens 2:1-2).
Satan exerce toujours son influence invisible, bien que l'on ne s'en rende pas compte. Par son influence, nous cherchons essentiellement à vivre « selon les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées » (Éphésiens 2:3).
Le diable nous séduit en nous faisant croire que le chemin du bonheur se trouve dans la recherche continuelle de notre propre satisfaction et de notre propre gratification. Ce que nous avons du mal à comprendre, c'est que c'est précisément cette façon de voir les choses qui conduit tout compte fait au crime et à des souffrances humaines inimaginables.
L'apôtre Jean nous a averti que « le monde entier est sous la puissance du malin » (1 Jean 5:19). Que nous en soyons conscients ou non, nous avons tous été victimes de son influence maléfique et de ses subterfuges. Paul l'appelle même « le dieu de ce siècle » (2 Corinthiens 4:4) , en ce sens que Satan est celui que la plupart des gens séduits et spirituellement endurcis suivent et adorent sans même le savoir.
Jésus-Christ confia à Paul la mission d'ouvrir les yeux des gens à la vérité « pour qu'ils passent des ténèbres à la lumière, et de la puissance de Satan à Dieu » (Actes 26:18).
Qui est réellement prisonnier ?
La plupart des sociétés enferment les criminels dans des prisons lorsqu'ils volent ou tuent leurs semblables. Cela ne s'arrête pas là. Ceux qui sont accusés de crimes contre l'humanité sont-ils les seuls à être prisonniers ? Aucunement !
Le soir, rentrés chez nous, nous devons tous nous enfermer. Ne nous arrive-t-il pas souvent de regarder derrière nous ou pardessus notre épaule, pour nous assurer que nous ne sommes pas suivis ? Combien de parents ne surveillent-ils pas de près leurs enfants de crainte qu'ils ne se fassent kidnapper, agresser sexuellement ou tuer ? Il n'est pas rare que nous craignions pour nos vies.
Tout cet argent qu'il faut pour maintenir les forces de police, le système judiciaire, pour bâtir et faire fonctionner les prisons, pour défrayer le coût de tous ces actes de vandalisme, ces cambriolages, ces incendies criminels, ces voitures volées, etc. C'est nous qui, en impôts, payons cette facture exorbitante. Lorsque les prix augmentent, tout le monde paie pour les vols à l'étalage, les détournements de fonds ou les larcins des employés.
Nous sommes tous des prisonniers, du moins dans notre esprit. Quand le trafic de drogue augmente, que les fusils se multiplient, que les vols sont nombreux, nous craignons pour nos vies. Dans certaines métropoles, des gangs contrôlent certains quartiers, qui deviennent dangereux même en plein jour.
Nous payons tous un prix exorbitant pour l'aveuglement spirituel de l'humanité. Quelle tragédie ! Heureusement, un jour, les choses changeront. La paix est pour bientôt. Cette paix, ce n'est pas nous qui l'instaurerons ; en fait, elle nous sera imposée !
Les crimes cesseront
Le Premier Avènement de Jésus-Christ était porteur, entre autres, de la promesse de la paix universelle pour tous ceux qui plaisent à Dieu (Luc 2:14).
Cette paix et cette bonne volonté promises, l'humanité ne les a pas encore connues ; quelques individus seulement en font l'expérience, ceux qui, de leur plein gré, renoncent à leurs motivations égoïstes et se soumettent au Père des lumières, ils mettent en pratique la voie enseignée et pratiquée par le Christ.
Pour le moment, le reste de l'humanité n'est pas disposé à se soumettre à la voie de la paix enseignée par le Christ. De ce fait, l'immense majorité des êtres humains ne connaîtra vraiment cette paix que lorsque le Christ reviendra sur terre une seconde fois, pour y instaurer le Royaume de Dieu (Apocalypse 11:15). L'Évangile ou Bonne Nouvelle, qu'Il proclama (Marc 1:14) deviendra enfin réalité.
Par contre, la transition ne sera pas facile. Le Christ, à son retour, devra commencer par forcer la paix. La plupart des êtres humains seront irrités (Apocalypse 11:18). Les nations ne se soumettront pas facilement à Dieu. Il devra lutter contre elles. Il devra les paître avec une verge de fer. Il « foulera la cuve du vin de l'ardente colère du Dieu tout-puissant » (Apocalypse 19:15).
Satan ne lâchera pas prise facilement. Avant le retour de notre Seigneur, le diable sera « animé d'une grande colère, sachant qu'il a peu de temps » (Apocalypse 12:12). Dans sa fureur, il persécutera ceux qui sont fidèles à Dieu (Apocalypse 12:17) et il incitera les grandes puissances géopolitiques mondiales à se livrer à un véritable carnage auquel le Christ mettra fin.
L'intervention divine mettra fin au règne de Satan sur terre. Le diable sera alors mis hors d'état de nuire ; il ne pourra plus séduire et fourvoyer les peuples de la terre pendant le règne de 1000 ans de Christ icibas. (Apocalypse 20:1-3)
Enfin une paix durable
Quand le Prince de la paix reviendra, Il mettra fin -au crime et à la violence. « Il ne se fera ni tort ni dommage sur toute ma montagne sainte [le Royaume de Christ sur terre]; car la terre sera remplie de la connaissance de l'Éternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent » (Ésaïe 11:9).
Le monde connaîtra enfin une paix sans précédent. Ce monde nouveau, transformé par le règne de notre Seigneur, le prophète Michée l'a décrit : « Il arrivera, dans la suite des temps, que la montagne de la maison de l'Éternel sera fondée sur le sommet des montagnes, qu'elle s'élèvera pardessus les collines, et que les peuples y afflueront.
Des nations s'y rendront en foule, et diront : Venez, et montons à la montagne de l'Éternel, à la maison du Dieu de Jacob, afin qu'il nous enseigne ses voies, et que nous marchions dans ses sentiers. Car de Sion sortira la loi, et de Jérusalem la parole de l'Éternel.
Il sera le juge d'un grand nombre de peuples, l'arbitre de nations puissantes, lointaines. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, et de leurs lances des serpes ; Une nation ne tirera plus l'épée contre une autre, et l'on n'apprendra plus la guerre. Ils habiteront chacun sous sa vigne et sous son figuier, et il n'y aura personne pour les troubler ; car la bouche de l'Éternel des armées a parlé » (Michée 4:1-4).
À cette époque-là, maintenant proche, l'humanité connaîtra enfin la paix. Il n'y aura plus de crime, plus d'endurcissement spirituel, et la captivité tyrannique de l'homme sur l'homme aura pris fin. Satan lui-même aura été emprisonné.
La paix de Dieu remplira la terre, l'humanité sera enfin libre. Cette promesse divine deviendra bientôt réalité.