CHAPITRE 1 : Qu’est-ce que la foi ?
Voyez-vous beaucoup de foi dans le monde autour de vous ? Nous vivons dans une société orientée vers le profane et pratiquement dépourvue de foi ? Comme la plupart des gens ne lisent pas la Bible, ils ne savent pas grand-chose au sujet de Dieu.
Beaucoup ne sont même pas certains qu’il y ait un Dieu. D’autres, bien que croyant en Lui, ne savent pas quelle sorte de Dieu Il est. Cette situation ne devrait pas nous étonner. Après tout, il n’est pas possible d’avoir une foi vivante en un Dieu qu’on ne connaît pas.
Qu’en est-il de vous ? Y avez-vous pensé ? Savez-vous ce que Dieu peut et veut faire pour vous ?
Le Dieu de la Bible nous dit qu’il nous est possible de le connaître et de développer une relation avec Lui. Nous pouvons savoir ce qu’Il a prévu pour nous et nos familles dans cette vie et dans l’avenir. Nous pouvons être sûrs qu’Il ne nous veut que du bien. Sa parole nous dit que « la piété est utile à tout: elle a la promesse de la vie présente et de celle qui est à venir. » (1 Timothée 4:8, c’est nous qui mettons l’accent tout au long de cette brochure.)
Non seulement nous pouvons en venir à connaître Dieu, à croire en Dieu, mais — plus encore — nous pouvons apprendre à croire Dieu.
Cela fait une grande différence. Beaucoup de gens croient en Dieu. Ils prennent pour acquis qu’Il existe, même s’ils n’ont probablement pas beaucoup réfléchi à Son existence. Mais Dieu n’est pas assez réel pour eux et cette absence de vision affecte ce qu’ils pensent et ce qu’ils font.
D’autre part, croire Dieu, c’est avoir la foi que Dieu fera pour nous tout ce qu’ll a promis. Il attend de nous que nous agissions en fonction de cette croyance. Il nous demande d’avoir une foi vivante en Son existence, Sa puissance et Ses promesses.
La foi n’est pas une sorte d’ingrédient magique. Elle mène cependant à une attitude confiante envers Dieu. La foi motive notre esprit à avoir l’assurance que Dieu a la puissance et la volonté d’agir dans notre vie. La foi devient bien plus qu’une conviction mentale, lorsqu’elle évolue à partir d’une simple croyance au fait que Dieu S’implique personnellement dans notre vie, vers un engagement profond à faire Sa volonté. Nous pouvons être sûrs que la volonté de Dieu ne laisse pas de place à un comportement frivole ou improductif — mais seulement à « la piété (qui) est utile à tout ».
La parole de Dieu développe le sujet de la foi vivante. Elle nous assure que « le juste vivra par la foi » et que « nous marchons par la foi et non par la vue » lorsque nous nous repentons de nos péchés et que nous nous mettons à vivre selon Dieu, à Lui dédier nos vies, tout en nous laissant guider par notre Sauveur (Romains 1:17 ; 2 Corinthiens 5:7). Lorsque des gens vivent par la foi, en tant que disciples de Christ et en tant que membres de l’Église de Dieu, on peut dire qu’ils « croient » en Lui (Actes 5:14 ; 1 Timothée 4:12). La parole de Dieu a une bonne raison de les appeler des croyants.
Dans le Nouveau Testament, pratiquement dans tous les cas, le mot grec pour foi est le même que pour croyance (voir l’article « La signification de la foi »). Même si les traducteurs ont à faire un choix entre « foi » ou « croyance », selon leur compréhension du contexte de chaque passage, la signification voulue dépasse habituellement le cadre d’un de ces mots pris isolément.
Définir la foi
Même en langage moderne, croire en quelqu’un, en quelque chose ou en une cause, c’est avoir foi en cette personne, en cette chose ou en ce mouvement — c’est croire que c’est vrai, que c’est juste et que cela mérite notre soutien et notre implication. De même, avoir la foi tel que c’est défini dans la Bible, c’est pleinement croire en quelqu’un (Dieu), croire en la vérité de Sa parole (la Bible) et agir selon elle, et vivre pour la plus grande des causes : le salut pour tous ceux qui croient en l’avènement du Royaume de Dieu (Marc 1:14-15).
Avoir la foi, c’est croire. Mais ne commettons pas l’erreur séculaire de penser que si nous croyons en Dieu — c’est-à-dire qu’Il existe — nous avons la foi. Beaucoup s’en tiennent à cette idée erronée. Ils disent croire en Dieu ; donc ils pensent avoir la foi.
Croire en Dieu n’est que le point de départ de la foi. On peut croire en Dieu sans pour autant faire preuve de conviction ou d’engagement envers Jésus-Christ et Dieu le Père. Croire en Dieu est bénéfique, mais insuffisant. Comme l’apôtre Jacques l’a dit : « Tu crois qu’il y a un seul Dieu, tu fais bien: les démons (les anges déchus) le croient aussi, et ils tremblent. » (Jacques 2:19) Nous devons aller au-delà du niveau de foi manifesté par les démons.
Pour rendre notre vie meilleure, notre modèle de foi vivante devrait être Jésus-Christ. Durant Ses années passées dans la chair, Jésus a fait preuve d’une foi vivante parfaite. Il a incité les autres non seulement à croire en Dieu, mais à aller au-delà : à croire ce qu’Il dit.
En apprenant que Lazare était mort, Jésus dit à Marthe, la sœur de Lazare : « Ton frère ressuscitera. » (Jean 11:23) Elle acquiesça : « Je sais […] qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. » (Jean 11:24)
La réponse de Marthe montrait qu’elle croyait non seulement en la personne de Jésus, mais aussi ce qu’Il disait. Sa foi était beaucoup plus qu’accepter de façon conventionnelle l’existence de Dieu. Elle croyait en la promesse de Dieu de ressusciter les morts.
Jésus lui dit : « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s’il meurt; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela? » (Jean 11:25-26) Après que Marthe eut à nouveau affirmé sa foi, la réaction de Jésus fut d’appeler son frère, en criant : « Lazare, sors! » — et il sortit de la tombe, ramené à la vie (Jean 11:27-44).
La vie de Marthe est un merveilleux exemple de foi vivante — le genre de croyance nécessaire au salut. Avoir une foi vivante et active, c’est être confiant que Dieu a le pouvoir d’intervenir dans nos vies et qu’Il va le faire. Nous pouvons avoir ce genre de foi. Nous pouvons croire Dieu, nous aussi ! Si nous le faisons, Il agira également pour nous.
Dans notre société cynique et irréligieuse, il est difficile d’imaginer une foi authentique, active, puissante et vivante dans le Dieu de la Bible. Mais cela est possible et se produit. Cette foi, avec les bénédictions que Dieu nous donne lorsque nous la mettons en pratique, est disponible pour ceux qui le croient réellement.
La foi est une conviction
Dans la Bible, le « chapitre de la foi » donne cette définition : « Or, la foi est une ferme assurance (une prise de conscience, une assurance confiante, un solide fondement) des choses qu’on espère, une démonstration (conviction, réalité, preuve) de celles qu’on ne voit pas. » (Hébreux 11:1) La foi est notre confiance en l’existence de choses que nous ne pouvons pas voir.
Le reste du chapitre 11 du livre aux Hébreux identifie des gens réels qui, il y a très longtemps, ont vécu des vies de foi exemplaire. Ils croyaient Dieu, même s’il leur fallait mourir pour cela, étant convaincus que Dieu les délivrerait ou qu’Il les ressusciterait pour la vie éternelle dans Son Royaume. Ils croyaient. La foi leur donnait l’assurance pour continuer.
Mais la foi, ce n’est pas prendre ses désirs pour des réalités, ce n’est pas une sensation utopique que tout ira bien. La foi est une profonde conviction que Dieu se soucie profondément de nous et qu’Il veut toujours agir en ayant à cœur nos meilleurs intérêts.
Chacun de nous peut avoir ce genre de foi. En fait, nous devons l’avoir si nous souhaitons honorer et aimer Dieu parce que « sans la foi, il est impossible de lui être agréable; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent. » (Hébreux 11:6)
Le passage précédent décrit deux aspects de la foi. Premièrement, nous devons croire que Dieu existe. Il est le seul et unique Être totalement juste et tout-puissant — ce que nous pouvons comprendre à travers la magnificence de la création physique que nous voyons autour de nous (Romains 1:20). Ensuite, nous devons croire que Dieu récompensera en fin de compte ceux qui Lui obéissent et L’abordent avec humilité.
Pourquoi beaucoup de gens manquent de foi
Beaucoup de gens n’ont pas la foi décrite dans la Bible, parce qu’ils ne croient pas ou ne pratiquent pas ces paroles de Jésus : « Si vous m’aimez, gardez mes commandements. » (Jean 14:15) La plupart des gens ne peuvent même pas nommer les dix commandements. Certains supposent que Jésus a vécu les commandements pour nous, afin que nous n’ayons plus à le faire. D’autres croient que ce que nous faisons n’est pas si important, pourvu que nous ayons des sentiments d’amour envers tout le monde.
Beaucoup de gens s’accrochent à de fausses idées au sujet du message de Jésus, l’Évangile. Notre Sauveur, qui est venu prêcher « l’Évangile de Dieu », nous donne pour instructions : « Repentez-vous, et croyez à la bonne nouvelle. » (Marc 1:14-15) Cependant, beaucoup de gens n’ont jamais compris le véritable Évangile que Jésus a enseigné. Une compréhension erronée produit une foi déficiente.
Comme la foi implique le fait de rechercher Dieu avec zèle (Hébreux 11:6), nous devons fonder notre foi sur une compréhension correcte de la Parole de Dieu. (Si vous voulez en savoir plus au sujet du message enseigné par Jésus, ne manquez pas de nous demander un exemplaire gratuit de notre brochure intitulée « L’Évangile du Royaume ».)
Changer notre vie pour nous soumettre à Dieu — ce que la Bible appelle le repentir — est basé sur la conviction que Dieu interviendra dans notre vie et nous accordera finalement la vie éternelle. La foi, qui inclut compréhension et action, est une condition requise pour le salut. Après tout, Dieu ne donnera pas la vie éternelle à quelqu’un qui ne Le croit pas ou ne Lui obéit pas. Une telle personne causerait de la souffrance à elle-même et aux autres pour toute l’éternité. Le manque de foi est synonyme de désespoir.
La foi inclut l’humilité
Avoir la foi signifie que l’on se rend compte que Dieu est grand et qu’en comparaison nous sommes petits. Ceci représente une sorte d’humilité qui est une denrée rare dans notre monde moderne rempli d’orgueil. En arriver à croire que Dieu est tout-puissant et que nous avons désespérément besoin de Son aide est, en réalité, réconfortant.
Les Grecs croyaient — avaient foi — que le monde reposait sur les épaules d’Atlas, un de leurs dieux. Si nous refusons d’avoir une foi vivante en Dieu et de nous soumettre à Sa volonté, nous tentons d’être notre propre Atlas, essayant de porter notre monde sur nos épaules, dans un effort aussi exténuant qu’infructueux. Cette voie mène en fin de compte à la frustration et à la souffrance, car, de nous-mêmes, nous ignorons comment vivre une vie heureuse et productive ou comment trouver le chemin de la vie éternelle (Jérémie 10:23 ; Proverbes 14:12).
Par ailleurs, avoir la foi, c’est avoir la conviction pleine et totale que ce même Dieu qui maintient notre planète sur son orbite désire tout autant nous guider dans notre vie personnelle. Une telle foi vivante nous procure la paix d’esprit, la confiance et l’espoir en un avenir éternel et glorieux.
La foi, les œuvres et la grâce
Dire simplement « je crois », sans apporter à notre vie des changements qui en modifient le cours, cela n’est pas suffisant. Reconnaître l’existence de Dieu n’est pas une recette magique qui établit une bonne relation avec Lui. Comme déjà mentionné, Jésus nous commande de nous repentir (Marc 1:15). (Pour mieux comprendre ce qu’est le repentir, demandez-nous un exemplaire gratuit de notre brochure intitulée « Le Chemin de la vie éternelle ».)
Le repentir n’est pas quelque chose qui se produit spontanément. Cela requiert des efforts et un engagement. Une foi vivante, cela doit être développé, édifié et nourri spirituellement. Jésus nous met en garde contre le danger de la fausse foi — une foi immature et incomplète : « Ceux qui me disent: Seigneur, Seigneur! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais seulement celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. » (Matthieu 7:21) Mais qu’en est-il de la déclaration de l’apôtre Paul : « Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. » (Éphésiens 2:8) Paul prêchait-il une foi qui n’impliquait pas l’obligation d’obéir ?
Pas du tout. Ce passage nous montre que la grâce de Dieu — Sa faveur imméritée envers nous — est un don. Il est faux de supposer que, puisque la grâce est un don, il n’est pas nécessaire d’agir, de faire de bonnes œuvres démontrant un cœur repentant et la foi en action (Jacques 2:14-26). La vérité est que notre salut vient par le don divin de la grâce et de la foi, que Dieu nous aide à développer tout au long de notre vie. Nous devons pour cela avoir une foi vivante, et non une foi dénaturée et inactive.
La Bible nous dit que le salut vient de la grâce de Dieu et qu’il n’est pas le fruit de nos bonnes œuvres « afin que personne ne se glorifie » (Éphésiens 2:9). Cependant elle dit aussi que « c’est par la grâce que nous sommes sauvés, par le moyen de la foi. » (Éphésiens 2:8)
Le danger auquel nous sommes confrontés est de faire périr notre foi, si nous négligeons notre salut en ne vivant pas une vie d’obéissance à Dieu (Hébreux 2:1-3). C’est pourquoi l’apôtre Paul a écrit : « Mais je traite durement mon corps et je le tiens assujetti, de peur d’être moi-même désapprouvé, après avoir prêché aux autres. » (1 Corinthiens 9:27)
Par elles-mêmes, nos œuvres ne nous mériteront pas le salut. Mais le livre de Jacques montre clairement que la foi, si elle n’est pas accompagnée par les œuvres, est morte — totalement inutile (Jacques 2:17 ; Jacques 2:20 ; Jacques 2:26 ; voir aussi l’article « Le livre de Jacques : une épître de paille ? »).
Jacques, un ancien dans l’Église, un fidèle, et de surcroit le demi-frère de Jésus-Christ, a écrit : « C’est pourquoi, rejetant toute souillure et tout débordement de méchanceté, recevez avec douceur la parole qui a été plantée en vous, et qui peut sauver vos âmes. Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. » (Jacques 1:21-22) Puis il ajoute : « Mais celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté, et qui aura persévéré, n’étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l’œuvre, celui-là sera heureux dans son activité. » (Jacques 1:25)
La foi, pour qu’elle soit véritable et vivante, ne doit pas se limiter qu’à des paroles. Elle exige un engagement et une preuve tangible de cet engagement. Jacques pose cette question rhétorique : « Mes frères, que sert-il à quelqu’un de dire qu’il a la foi, s’il n’a pas les œuvres? » (Jacques 2:14) Ce verset montre que de simples paroles ne servent à rien lorsque quelqu’un a besoin de nourriture et de vêtements (Jacques 2:15-17). Jacques donne l’exemple d’Abraham, le fidèle serviteur de Dieu, pour montrer que « par les œuvres, la foi fut rendue parfaite. » (Jacques 2:21-22)
Notre foi est vivante lorsque nous répondons à l’amour de Christ en Lui obéissant — en observant Ses commandements (Jean 14:12-15). La grâce ne nous sauvera pas si notre foi est inactive.
Une foi vivante parmi les incrédules
Après la résurrection de Jésus-Christ, Son disciple Thomas a dit qu’il refuserait de croire que Jésus était revenu à la vie tant qu’il n’aurait pas vu les marques des clous dans Ses mains et senti la blessure de la lance dans Son côté. Il voulait une preuve tangible, une preuve visible de la résurrection de Jésus-Christ. En lui fournissant ces preuves tangibles, Christ rassura Thomas, lui montrant que Dieu et Son plan de salut étaient réels, et l’encourageant à croire (Jean 20:24-29).
Nous connaissons cet apôtre par son surnom : Thomas, l’incrédule. Bien qu’ayant vu Christ accomplir des miracles, il entretenait toujours des doutes dans son esprit. Même si les autres apôtres lui disaient avoir rencontré Jésus ressuscité face à face, il refusa d’accepter leurs déclarations. En dépit des évidences, il ne croyait pas que son maître était sorti du tombeau comme Il l’avait annoncé. Serons-nous comme Thomas, douterons-nous du témoignage des nombreux témoins oculaires de la résurrection et des miracles de Jésus-Christ ? Allons-nous croire et avoir foi en Dieu et en Ses promesses ? Malheureusement, la foi vivante échappe souvent à notre compréhension, alors que le doute nous envahit si facilement (Jacques 1:6-8).
Le monde où nous vivons semble conçu pour ébranler la foi. Les systèmes d’éducation, les divertissements de masse et les média d’information ont un caractère éminemment séculier et sapent les principes divins et l’autorité de la Bible. Au fil des générations, nous avons gravité vers le matérialisme, tout en excluant Dieu. Tout est ramené à des phénomènes physiques — la science, la philosophie, l’histoire. Le résultat est prévisible et évident. Peu de gens savent ce que Dieu attend de nous. Encore moins nombreux sont ceux qui se confient en Lui pour qu’Il les guide ou pour qu’Il s’implique dans leurs vies. N’y a-t-il donc plus de foi vivante, plus d’espoir spirituel pour nous, pour nos enfants et nos petits-enfants ?
Bien que développer une foi vivante à une époque de doute et de matérialisme soit une chose difficile, la Bible promet que quelques-uns possèderont cette précieuse ressource au retour de Christ (Apocalypse 14:12). Parce qu’un objectif est difficile à atteindre, cela ne veut pas dire qu’il soit impossible, surtout avec Dieu. Avoir une foi vivante, c’est possible et à notre portée. Paul dit : « Lui qui n’a point épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui? » (Romains 8:32)
Dieu nous a donné la Bible pour nous fournir de l’espoir et de l’instruction par le biais de ce que d’autres ont vécu (Romains 15:4 ; 1 Corinthiens 10:6 ; 2 Timothée 3:16). En nous familiarisant avec leurs expériences, nous pouvons voir des exemples réels de foi en action.
Dans le chapitre suivant, nous considérerons les vies d’hommes et de femmes qui ont pu développer une foi vivante, avec l’aide et l’encouragement de Dieu.