Les enfants sont une bénédiction, et non un fardeau

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Les enfants sont une bénédiction, et non un fardeau

Le Créateur Dieu a prévu que le mariage soit pour la vie, qu'il soit une union stable dans laquelle les rapports sexuels peuvent être savourés avec sécurité, où les enfants peuvent grandir et se développer dans un environnement stable et devenir d'excellents citoyens dans la communauté.

L'une des conséquences tragiques de la profanation insidieuse de cette institution est l'optique courante, même chez les couples, que les enfants sont un fardeau. Ils estiment qu'ils entravent leur style de vie. Certains parents avouent même avoir hâte que leurs oiseaux s'envolent du nid et volent de leurs propres ailes. Quel dommage ! Dieu, Lui, ne voit pas les choses de cette façon. « Voici, des fils sont un héritage de l'Éternel, le fruit des entrailles est une récompense » (Psaume 127:3).

Une récompense ? Quel contraste avec l'opinion de la plupart des gens ! Pour Dieu, les enfants sont, et non pourraient être, une bénédiction à chérir. Et pour qu'ils continuent d'en être une, il faudrait qu'ils soient élevés, comme l'indique Éphésiens 6:4, « en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur ».

Vous rendez-vous compte que le faible taux de natalité dans les démocraties occidentales est dû à ce que les enfants sont considérés comme des entraves au style de vie de bien des couples souhaitant profiter de la vie ? Les effets de ce point de vue se font déjà sentir. À mesure que les naissances diminuent, les caisses de retraites, tant publiques que privées, se vident. Traiter les enfants de fardeaux menace à l'avenir de provoquer de sérieux problèmes économiques.

Bien qu'il soit prudent de ne pas avoir plus d'enfants qu'on ne peut élever, la faible natalité en Occident, qui découle surtout de l'égoïsme des gens, a de sérieuses répercussions géopolitiques.

Si nous tirons une leçon des anciens Israélites en Égypte, on retient qu'une forte natalité procure le pouvoir. Dieu illustre ce point dans le Psaume 127 : « Comme les flèches dans la main d'un guerrier, ainsi sont les fils de la jeunesse. Heureux l'homme qui en a rempli son carquois ! Il ne sera pas confus, quand ses fils parleront avec des ennemis à la porte » (Psaume 127:4-5).