Sondage : la majorité des médecins rejettent le darwinisme pur

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Sondage : la majorité des médecins rejettent le darwinisme pur

Mille quatre cent vingt deux médecins, soit la majorité des médecins interrogés par HCD Research et par le Louis Finkelstein Institute for Religious Studies, ont déclaré ne pas croire au darwinisme pur.

Dans cette enquête, on donnait au « darwinisme pur » la définition suivante : « Les humains ont évolué naturellement sans aucune intervention surnaturelle, aucune divinité n'a joué un rôle quelconque ». Seulement 38% des médecins interrogés acceptent cette définition. D'autres types d'explications évolutionnistes acceptant la présence d'un Créateur ont reçu plus de suffrages (42%).

Ce sondage a aussi révélé que 65% des médecins interrogés, soit près des 2/3, ont déclaré qu'il serait souhaitable d'enseigner la croyance en une conception intelligente dans les écoles, au même titre que la théorie de l'Évolution. En fait, bien que l'idée de conception intelligente soit récente, un tiers des médecins la préfèrent à l'Évolution.

« Il est bien évident que la plupart des médecins doutent de la théorie de l'Évolution ! », a déclaré le Dr Robert Cihak, ancien président de l'Association of American Physicians and Surgeons et journaliste médical pour JewishWorldReview.com. « Un chirurgien qui opère les yeux sait à quel point l'oeil humain est étonnamment complexe ; par conséquent, il ne se laisse pas leurrer par des explications vagues et passables sur l'évolution de l'oeil. Et l'oeil n'est qu'un organe, un système interdépendant parmi tant d'autres dans le corps humain, défiant l'explication darwinienne » (Discovery Institute, « Nearly Two-Thirds of Doctors Skeptical of Darwin's Theory of Evolution », 31 mai 2005).

Un autre sondage de 1100 médecins, effectué par la même agence et le même institut, en décembre 2004, a révélé que 74% des médecins croient que des miracles ont eu lieu dans l'histoire, et 73% d'entre eux croient qu'il s'en produit encore aujourd'hui. Incidemment, près de la moitié d'entre eux (46%) ont déclaré attacher beaucoup d'importance à la prière, et les 2/3 d'entre eux encouragent leurs malades à prier.