Le ministère de la réconciliation - Partie 1

Dans cette série de messages, Gary Petty nous montre comment nous réconcilier avec Dieu et comment nous réconcilier les uns avec les autres.

Transcription

Vous et moi vivons dans un monde en conflit permanent. Il y en a tout le temps. Pouvez-vous imaginer qu'en allumant le journal télévisé, les journalistes disent « Tous les politiciens sont d'accord aujourd'hui ». Non. Tout le monde est en conflit permanent. Et bien sûr, vous allez au travail tous les jours et les gens sont en conflit.

Rentrons à la maison, les mariés et les femmes, les parents et les enfants sont en conflit. Où allons-nous pour échapper à ces conflits ? Des luttes constantes entre les êtres humains. En tant que chrétien, nous suivons le prince de la paix, n'est-ce pas ? C'est ce que nous disons. Mais vous savez, bien souvent dans nos vies qu'il s'agisse de mari et de femme ou d'amis de longue date au sein de l'Église elle-même, nous avons des conflits.

Et c'est souvent difficile parce que lorsque nous regardons l'Église, nous voyons des divorces, nous voyons des gens qui ne s'entendent pas, nous voyons des gens en colère et à mer. Nous voyons tous les résultats des conflits et parfois, à l'intérieur de l'Église, ce n'est pas différent de ce qui se passe dans le monde.

Cela signifie qu'il y a quelque chose qui ne va pas chez nous, parce que vous et moi avons été appelés à suivre le prince de la paix. Et la paix est plus que l'absence de conflits armés. La rupture de la paix est évidente lorsque vous allumez la télévision et que vous voyez partout dans le monde des gens se soulever et des guerres se dérouler, des gens s'entretuer, des dictateurs écraser les droits de leur peuple avec des chars d'assaut.

Nous voyons ces conflits armés et violents. Mais vous savez, la violence n'est que l'extrémité du conflit. Vous pourriez mettre fin à toute la violence aujourd'hui et nous serions toujours un peuple en conflit sur cette terre. Nous vivrions toujours dans un monde en conflit. Nous aurions encore des conflits entre nous et nos familles et entre nous en tant que chrétiens.

Pourquoi les chrétiens sont-ils si souvent impliqués dans les mêmes conflits que le monde ? Pourquoi ne sommes-nous pas différents ? Parce que nous sommes sensé-l'être. Les solutions pour résoudre les conflits qui surviennent entre les chrétiens, que ce soit entre marier et femme, au sein de la famille, au sein de la congregation, les uns avec les autres, que ce soit la façon dont nous gerons nos relations avec le monde, ou nous relations avec nos collègues de travail, la façon dont nous traitons nos voisins.

C'est très important parce qu'avant de comprendre comment nous devons gérer les conflits, nous devons nous pencher sur le fondement même du christianisme. Le fondement même de ce qu'est le christianisme. Vous vous dites, ah, c'est bien, ça va être un serment sur la résolution des conflits. Je ne vais pas vous donner dix étapes sur la résolution des conflits. Avant d'en arriver à ce genre de discussion, nous devons aborder d'autres questions.

Vous savez, il est naturel pour les êtres humains d'avoir des divergences d'opinion, n'est-ce pas ? Nous avons tous des divergences d'opinion sur toutes sortes de sujets. Cela ne signifie pas nécessairement qu'il y ait des conflits dysfonctionnels. Dans toute relation saine, cela ne signifie pas qu'il y a des accords. Même le relation les plus saines, à l'exception du seul dont nous pouvons parler, celle entre le Père et Jésus Christ, toutes les relations humaines, nous parlons ici des relations humaines, comportent des points de désaccord. Je me souviens qu'au début de notre mariage, ma femme et moi avions eu une terrible dispute. Nous ne nous disputons plus à ce sujet et nous avons trouvé un moyen d'y rémédier.

C'était à propos de l'endroit où nous irions en vacances. Mais c'est parce que nous avions de la famille dispersée dans tout le pays et que toutes nos vacances, pendant 25 ans, toutes les vacances que nous avons prises, sauf une, étaient pour rendre visite à la famille. Et quelle famille allons-nous visiter ? Et quelle famille va-t-être contrarier ?

Parce que nous n'avons pas pu la voir pendant ces vacances. Nous essayons donc de prendre de longues vacances, des vacances de deux semaines, pendant lesquelles nous parcourions 6000 km pour rendre visite à notre famille. Ainsi, tout le monde était heureux. Bien sûr, nous étions épuisés et avions besoin de vacances en notre retour. Mais nous avions des difficultés à déterminer quelle famille nous allions voir. C'est normal. Avec le temps, nous avons trouvé un moyen de résoudre ces problèmes.

Mais résoudre les problèmes n'est pas la raison. Les problèmes ne sont pas la raison du conflit. Alors vous dites, non, ce que nous avons, c'est une divergence d'opinion. Une divergence d'opinion peut-être résolu. Nous devons donc nous pencher sur les raisons pour lesquelles il y a vraiment conflit. Quel est le noyau de base du conflit ?

Il y a certaines choses que je veux que vous notiez aujourd'hui parce que dans cette série de sermons, nous allons revenir à certaines idées fondamentales. L'une d'entre elles est la suivante. C'est un extrait du sermons sur la montagne, c'est l'une des bées attitude mentionnée par Jésus Christ. Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu. On va donc parler de procurer la paix et d'être des enfants de Dieu. Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu. Ainsi, lorsque les désaccords dans nos mariages et nos amitiés, et les désaccords entre les membres de la congregation parmi les chrétiens, conduisent à la même amertume, au même manque de pardon, au même résultat destructeur que le monde, alors nous n'agissons pas comme des enfants de Dieu.

Lorsque nous conflits, aboutissent au même résultat destructeur que le monde, nous n'agissons pas comme des enfants de Dieu. Vous vous dites, mais comment pouvez-vous dire cela ? Parce que ceux qui procurent la paix sont appelés fils de Dieu. Notez-le bien, c'est l'une des prémices sur lesquels nous travaillons ici. Comment pouvons-nous être des exemples dans le monde, en tant qu'enfant de Dieu, en tant que ceux qui procurent la paix, si nous ne pouvons pas le vivre nous-mêmes ? La paix n'est pas seulement une question d'action entre les gens.

Au fur et à mesure que nous avançons, vous allez vous rendre compte que la paix est quelque chose qui se passe à l'intérieur de nous. La paix est d'abord une question intérieure, avant de devenir une question extérieure. La dispute sur la couleur du tissu du canapé du salon n'est pas le vrai problème. Le désaccord sur la couleur n'est qu'une opinion. La colère, la bagarre et l'amertune sont le résultat de quelque chose d'autre.

Je veux passer en revue quelques-unes des principales raisons pour lesquelles nous avons des conflits internes. Je voudrais commencer par ceci. Il y a cinq raisons majeures pour lesquelles nous avons des problèmes internes qui nous amènent à entrer en conflit avec les autres. Les quatre premières seront abordées très brièvement, mais je veux que vous les notiez parce que nous y reviendrons la semaine prochaine.

C'est sur la cinquième raison que je veux vraiment mettre l'accent, car elle est la plus importante. La première raison pour laquelle il y a des conflits entre les êtres humains, c'est l'orgueil. Nous pouvons parler beaucoup de l'orgueil, mais je ne vais pas en parler beaucoup, je vous donne juste un exemple.

Vous pouvez l'écrire et vous dire, voilà, les raisons pour lesquelles les gens ont des conflits avec moi et moi avec les autres. L'orgueil est un point de vue exagéré de soi-même. C'est ainsi que nous nous trompons nous-mêmes. Le problème avec l'orgueil, c'est qu'il est trompeur et que nous nous trompons nous-mêmes. Nous avons une vision exagérée de qui nous sommes. Et à cause de cela, l'orgueil nous fait oublier que le but du christianisme est la question de savoir comment nous traitons les autres.

Au lieu de cela, notre point de vue est centré sur la façon dont les autres nous traitent. Le christianisme, c'est la façon dont nous traitons les autres. Mais lorsque nous nous laissons guider par l'orgueil, nous nous laissons guider par la façon dont les autres nous traitent. C'est pourquoi nous nous laissons envahir par des pensées et des sentiments négatifs. Et nous voulons être justifiés, quelqu'un soit le prix. Lorsque nous sommes animés par l'orgueil, voici ce qui arrive au conflit. Il n'y a qu'une seule façon de résoudre un conflit, et c'est de gagner.

La seule façon de résoudre un conflit est de gagner d'où l'orgueil. C'est un sujet apparentien, mais je veux me concentrer sur le numéro 5. Nous avons donc un problème d'orgueil. Nous avons tous de tels conflits dysfonctionnels les uns avec les autres. Et je suis expert en la matière parce que j'ai vécu toute une vie de conflit dysfonctionnel d'une manière ou d'une autre.

C'est le cas de tout le monde. Nous devenons tous des experts en mauvais conflit. La deuxième raison pour laquelle nous entretenons de tels conflits dysfonctionnels est que nous avons besoin que l'autre personne nous guérisse émotionnellement dans ce que nous avons été blessés. J'ai connu un homme qui avait été blessé par une autre personne, et cette dernière est morte. Il vivait dans un tel désarroi qu'il ne voulait, qu'il voulait deux choses, ou la justice ou la guérison, n'est-ce pas ? Soit la personne doit payer, soit elle doit dire qu'elle est désolée.

Mais la personne est morte. Il n'a pas pu obtenir justice, et elle ne pouvait pas être punie pour ce qu'elle avait fait. Elle n'a pas pu dire qu'elle était désolée. Cet homme souffrait tout le temps. Il ne pouvait presque pas avoir de relations avec d'autres personnes. Je n'oublierai jamais ce qu'il m'a dit. C'était il y a de nombreuses années. Il m'a dit, c'est comme si cette personne sortait de l'attomb et contrôlait ma vie. J'ai besoin d'être guérée et elle ne peut pas me guérir.

J'ai besoin qu'ils disent qu'il est désolé pour que je puisse être guérée. Bien souvent, les conflits émotionnels nous poussent à agir en raison d'un désir et d'un besoin. J'ai besoin de cela, nous avons tous besoin de cela. Que quelqu'un dise qu'il est désolé ?

Comme je l'ai déjà dit, je suis désolée et peut-être l'un des trois mots les plus importants dans une relation. Peut-être même plus que je t'aime. Je suis désolée lorsque la personne le pense vraiment, lorsque la personne le définit. Voici ce pourquoi je suis désolé, voici ce que j'ai fait de mal au lieu de… je suis désolé.

Pourquoi ? Parce que je t'ai blessé. Non, ça n'a pas de sens. Mais pouvoir dire je suis désolé, voici ce que j'ai fait de mal peut être les trois mots les plus importants dans une relation. Nous avons ce besoin émotionnel d'être guérée. Que se passe-t-il lorsque deux personnes se blasent mutuellement ? L'orgueil étant conflit. Vous avez deux personnes remplies d'orgueil et de venir ce qui se passe ?

Le conflit se poursuit encore et encore parce qu'elles doivent gagner. L'orgueil vous pousse à vouloir gagner. Que se passe-t-il lorsque des personnes sont poussées par l'orgueil et ont besoin d'être guérées émotionnellement et qu'elles se blessent l'une l'autre ? Quelles sont toutes deux poussées à être guérées par l'autre personne ? Une troisième raison pour laquelle nous nous retrouvons piégés d'un conflit que nous ne pouvons jamais résoudre et que nous attendons des autres qu'elles satisfacent nos besoins et nos désirs. Il faut bien comprendre que ce n'est pas tout à fait faux.

Nous n'aurions jamais de relations si nous n'en retirerions rien. Les gens ne se marieraient jamais s'ils ne s'attendaient pas à se sentir aimés par l'autre, à travailler ensemble, à satisfaire leurs besoins émotionnels respectifs. Nous sommes tous animés par le désir d'être heureux, d'éprouver du plaisir et d'éviter la douleur physique et émotionnelle.

Le problème, c'est que nous attendons des tous des autres qui le fassent à notre place. Nous avons des attentes très élevées, les uns vers les autres. Lorsque les autres ne répondent pas à ces attentes, nous entrons en conflit avec eux. Le mariage est un exemple tellement facile à utiliser. Si vous êtes une personne qui a besoin d'affirmations verbales et que votre mari ne vous dit jamais « je t'aime », ne dis jamais rien de gentil à votre sujet, ne vous fouillez, félicite pas et ne vous remercie pas pour quoi que ce soit, vous êtes malheureuse. Vous êtes malheureuse, n'est-ce pas ? Vous attendez de lui qu'il le fasse et lorsqu'il ne répond pas à ces attentes, il y a un conflit. L'orgueil est l'une des choses qui nuisent le plus aux relations. Le besoin de guérir émotionnellement fait partie de notre identité, mais si nous ne le comprenons pas et si nous n'y faisons pas face, nous ne pourrons jamais guérir une relation. Et cette troisième raison satisfaire nos besoins. Ces besoins ne sont pas mauvais en soi, mais ils deviennent conflictuels. Vous allez répondre à mes attentes ou vous allez payer. Une fois que nous nous engageons sur cette voie émotionnelle, nous commençons à détruire la relation. Nous commençons à percevoir les autres comme bloquant nos attentes de bonheur. Nous les considérons comme la source de la douleur, la source qui m'empêche d'obtenir ce que je veux dans la vie. Alors nous revêtons notre armure de combat et nous entrons en conflit corps à corps. Parce que tu m'empêches d'être ce que je veux être, ou tu m'empêches d'être heureux. Tu ne réponds pas à mes attentes.

La quatrième raison est le besoin de contrôle. Nous sommes tous conçus pour avoir en nous, lorsque nous sommes confrontés à un conflit, une réaction de lutte ou de fuite, n'est-ce pas ? Soit nous fuyons le conflit, soit nous nous y précipitons en dégainant notre épée pour nous battre. C'est la réaction normale de l'homme face à un conflit. Soit nous fuyons, soit nous nous battons. Il y a des moments où il faut fuir et d'autres où il faut se battre. Mais si vous voulez vraiment résoudre un conflit, aucune de ces deux solutions ne fonctionnera. Voici une partie de la raison pour laquelle nous nous enfuyons, où nous nous battons. Nous voulons protéger nos droits, notre image de soi et notre sécurité émotionnelle. La vérité, c'est que dans la plupart des cas, nous n'avons pas beaucoup de contrôle. Nous n'avons pas le contrôle. Nous avons le contrôle sur certaines choses. En fait, l'un des grands principes de la sagesse consiste à déterminer ce que l'on contrôle et ce que l'on ne contrôle pas. Lorsque vous et moi, nous nous battons pour protéger notre image de nous-mêmes et que nous considérons ces quatre éléments et que nous les mélangeons, voici ce que nous faisons. Nous faisons littéralement, de nous-mêmes, une idole. Nous devenons notre propre Dieu ou des S. Nous déterminerons comment les autres doivent nous vénérer. Nous déterminerons comment les autres doivent nous traiter. Nous déterminerons et seront toujours l'arbitre final de nos relations. Vous direz peut-être que c'est une affirmation assez forte que de dire que nous devenons nos propres Dieu. Et bien, nous j'assichons comme nos Dieu, comme nos propres des S. Nous allons maintenant aborder les véritables raisons des conflits. Il s'agit des raisons humaines, émotionnelles et mentales des conflits. Mais elles sont le résultat de quelque chose. Tous les conflits humains se résument à un seul conflit. Et la façon dont nous résolvons ce conflit déterminera la façon dont nous résolvons les conflits les uns avec les autres.

Un conflit au cœur de tout cela. De quoi s'agit-il ? Allons dans Romain 8.

Nous avons tous construit dans notre esprit une image de nous-mêmes, comme étant le centre de l'univers. Chacun être humain se voit lui-même dans son propre esprit, dans sa façon d'agir, dans sa façon de penser. Nous ne le dirions pas, mais c'est ce que nous faisons. Dans les mages que nous avons de nous-mêmes, nous sommes un Dieu ou une déesse. Tout le monde est censé agir d'une certaine manière en notre présence. Tout le monde est censé être d'une certaine manière lorsqu'il est en notre présence. Tout le monde est censé nous traiter d'une certaine manière. Nous nous y attendons. Et lorsque ce n'est pas le cas, nous sommes en conflit avec eux, n'est-ce pas ? Romain, chapitre 8 et verset 7.

Romain 8 verset 7. Car l'affection de la chair, c'est-à-dire notre esprit charnel, c'est l'état naturel de l'être humain. C'est votre état naturel et mon état naturel, et mes frères et sœurs, nous sommes encore en partie comme ça. C'est pourquoi nous avons tant de conflits, parce que nous n'avons pas réglé ce conflit, l'esprit charnel.

Continuons verset 7.

Et voilà, c'est l'une des prémisses sur laquelle nous allons travailler. Vous et moi sommes naturellement l'ennemi de Dieu. Vous saviez au cours de cette pas que nous sommes ramenés à cela, et je crains que nous n'ayons pas vraiment saisis ce que cela signifie. Dans notre état naturel, nous sommes l'ennemi de Dieu. Voilà ce que cela signifie. Et nous ne pouvons pas suivre ces voies. Vous ne pouvez pas. Vous pouvez le vouloir, mais vous ne le pouvez pas, parce que vous avez une hostilité innée à l'égard de ces solutions. Je sais que je suis encore comme cela. Il y a certaines solutions, selon Dieu, et ma première réaction est toujours hostilité. Non, je ne veux pas faire comme cela. Je n'aime pas cette façon de faire. Ce n'est pas ainsi que je veux que cela fonctionne. Pourquoi ? Parce que je veux que cela fonctionne à ma façon. Je veux que cela correspond à l'image gravée que j'ai de moi-même dans mon esprit. C'est ce que je veux. Je ne parle que par expérience. C'est notre état naturel. Nous sommes des ennemis de Dieu. Nous savons comment on en est arrivé là, mais reprenons les prémices de base. Jeunesse 3.

Nous sommes en conflit avec Dieu. Nous sommes en conflit avec Dieu. Il fut un temps où vous ne saviez pas que vous étiez en conflit avec Dieu. Vous pensiez simplement que Dieu Mème j'aime Dieu, mais vous viviez votre vie comme une idole. Vous vous adoriez vous-même et vous étiez en conflit avec Dieu. J'étais quelqu'un de bien et bien… Voyons, dans jeunesse 3.

Le serpent était le purusé de tous les animaux déchants, en parlant de Satan, bien sûr. Que l'Eternel Dieu avait fait, et il dit à la femme, Dieu est-il réellement dit que vous ne mangerais pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent, « Nous mangeons du fruit des arbres du jardin, mais quand au fruit de l'arbre, qui est au milieu du jardin, Dieu a dit, « Vous n'en mangerais point, et vous n'y toucherez point, de part que vous ne mouriez.

» Alors le serpent dit à la femme, « Vous ne mourrez point, mais Dieu sait que le jour où vous en mangerais, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme Dieu, connaissant le bien et le mal. » La femme vit que l'arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence. Elle prit de son fruit et en mangea, elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea. Il a ici trois motivations intéressantes. Au verset 6, l'arbre était bon pour la nourriture.

Il n'était pas toxique et il avait bon goût. Il était désirable et agréable à regarder. C'était quelque chose de beau qui la rendrait sage. En d'autres termes, connaître la différence entre le bien et le mal était une bonne chose. Et elle l'a prit. Si l'on considère ces trois motivations en elle-même, elles ne sont pas mauvaises.

En elle-même, vouloir apprendre la sagesse n'est pas mauvais. Vouloir manger de la bonne nourriture n'est pas mauvais. Mais ses désirs incontrôlés deviennent tordus. Et ce moment-là, elle est devenue, et tout a commencé dans son esprit, le PC a commencé dans son esprit. Le péché a conduit à une action, et elle est devenue un mélange de bien et de mal. Et à ce moment-là, elle était hostile à Dieu.

Si elle avait dit « non, j'aime Dieu, je vais faire ce qui est bien », elle aurait aimé Dieu, mais elle est devenue hostile à Dieu. Sa nature a changé. Quand Adam a suivi, sa nature a changé. Ce n'était pas seulement une question de « oh oh, j'ai commis un péché ». Mais l'essence même de ce qu'il était et de ce qu'elle était en tant que personne a changé. Il n'était plus dans une relation d'amour et de paix avec Dieu.

Ils étaient devenus, à ce stade, des Dieu à leurs propres yeux. Ils déterminaient le bien du mal. Ils étaient devenus leurs propres Dieu. Et comme il n'y a qu'un seul Dieu, qui sont maintenant en hostilité et en conflit avec le Dieu unique. Et le Dieu unique a dit « d'accord, vous ne vivrez plus dans ma maison. Rappelez-vous, Edan et Eve ne sont pas sortis de les derniers, ils en ont été chassés. Dieu, le Dieu unique a dit « vous êtes en conflit avec moi, je suis Dieu, vous ne l'êtes pas.

Vous devez quitter ma maison, vous n'êtes plus mes enfants et l'humanité n'est plus enfant de Dieu ». Quelque chose a changé en eux et ils sont devenus autre chose. Et c'est ce que vous et moi avons été. Nous avons été appelés à être quelque chose de différent. Et quand nous agissons comme nos propres dieux, lorsque nous nous adorons nous-mêmes, lorsque nous faisons des idoles de nous-mêmes, nous nous retrouvons à nouveau en conflit avec Dieu.

Car souvenez-vous, vous et moi avons encore des éléments de cette nature hostile en nous. Elle est toujours là. Pas de la même manière qu'avant, espérons-le, mais elle est toujours là. Nous devons nous rappeler qu'il n'y a qu'un seul Dieu, qu'il n'y a pas de place dans la maison de Dieu pour des millions de Dieu qui s'autodéterminent. Cela n'existe pas. Voyons un genre de verset 16.

J'ai écrit tellement d'informations qu'il est impossible de les aborder tout aujourd'hui, mais nous devons au moins poser les prémices. Nous devons comprendre que le conflit que nous avons, c'est parce que nous sommes nos propres dieux. Nous adorons des idoles. Nous nous adorons nous-mêmes. Ce conflit de base entre nous et le vrai Dieu est la raison pour laquelle tous les autres conflits existent. Il n'y a pas qu'il est censé nous le rappeler. Dans un genre de 16, car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux et l'orgueil de la vie ne vient point du père, mais vient du monde.

La convoitise de la chair, la convoitise des yeux, l'orgueil de la vie, ce sont les trois mêmes motivations que celle d'Eve. A l'origine, ces désirs n'étaient pas mauvais, mais ils sont devenus tordus. Examinons la nature humaine dont nous avons parlé jusqu'à présent. Cette nature humaine, hostile, exagéré, ce qu'elle signifie est la raison pour laquelle nous avons des conflits.

Regardons ce que nous avons couvert. Nous avons parlé de l'orgueil, d'une vision exagérée de soi qui nous pousse à nous imposer aux autres. Nous avons un besoin émotionnel d'être guéris par ceux qui nous ont blessés. Il n'y a rien de mal à cela, mais c'est une force motrice puissante. Nous voulons être heureux, éprouver du plaisir, éviter la douleur physique et émotionnelle. Et nous attendons des autres qu'ils le fassent. La réaction humaine naturelle aux conflits est la lutte ou la fuite.

Nous voulons protéger nos droits, notre image de soi et notre sécurité émotionnelle. Et c'est ce que nous voulons faire. Et alors, quelque chose nous arrive. Nous avons parlé de ce changement de nature. Dans Ephésiens 2, nous lisons ce passage tout le temps. Revenons à Ephésiens 2.

À cause de cela, voici ce qui se passe. Nous avons ce conflit avec Dieu. Nous avons tous ces besoins fondamentaux qui ne sont pas satisfaits tout le temps. Et donc, nous revenons à ceci. Il parle ici de chrétiens qui ont changé. Nous sommes en train de changer. Tout comme ces gens sont en train de changer. Mais nous devons nous souvenir de ce que nous étions. Parce que nous emportons encore une partie en nous. Lorsque nous aborderons les jours des pinceurs le 20 le prochain, nous parlerons de la sortie d'Egypte. Nous parlerons de la sortie d'Egypte et du fait que nous ne pouvons pas porter l'Egypte avec nous. Nous parlerons de l'élimination du levin. Nous ne pouvons pas emporter le levin avec nous. Nous avons tous ces symboles. Dans Ephésiens 2 et au Verséen, on lit «Vous étiez mort par vos offenses et par vos péchés. » Il a dit que «Vous étiez mort. » Vous étiez les ennemis de Dieu. Dieu a prononcé la peine de mort contre vous et vous étiez mort. Mais il vous a rendu vivant vers ces deux, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince, de la puissance, de l'air, de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la Rebellion. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre. Et nous vivions autrefois, selon les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées. Ce n'est pas juste que nous faisons mais aussi ce que nous pensons. Et nous étions, par nature, des enfants de colère, comme les autres.

Par nature, nous sommes devenus des enfants du conflit. Par nature, nous devenons, en tant que Dieu, imposés notre volonté. Aux autres, nous devons imposer notre volonté aux autres, parce que j'ai des attentes envers les autres. Et ce qu'ils doivent faire pour me satisfaire, pour me rendre heureux, pour faire ce que je veux. C'est ainsi que nous devenons littéralement nos propres Dieu. Et se faisant, nous devenons les enfants de la colère.

Dan et Ève étaient les enfants de Dieu, lorsqu'ils ont manché de ce fruit, et qu'ils ont décidé d'être leurs propres Dieu, de distinguer le bien du mal. Ils sont devenus des enfants de la colère, des enfants du conflit, des enfants de l'amertume, des enfants de la colère. Ils n'étaient plus les enfants de Dieu. Or, c'est ce que chacun d'entre nous étions, des enfants du conflit, au lieu des enfants de Dieu. Nous apportons tous ce désordre intérieur dans nos relations avec les autres. Heureusement, les gens sont à mélange de bien et de mal. Car, avec ce désordre interne, si nous étions complètement mauvais, la race humaine se serait éteinte il y a des milliers d'années.

Il y a encore suffisamment de biens pour empêcher l'humanité de se détruire elle-même. Nous savons qu'avant le retour de Jésus-Christ, l'humanité sera au bord de l'auto-destruction. Au milieu de tout cela, il y a quelque chose en vous que vous devez affronter. Chacun d'entre nous a un besoin spirituel profond. Nous avons envie d'être restaurés auprès de Dieu.

Vous et moi avons été conçus pour avoir une relation avec Dieu. Nous avons été conçus pour avoir une relation avec Dieu parce que nous avons été conçus pour être les enfants de Dieu. Il y a donc un conflit à l'intérieur de vous, un conflit entre l'auto-détermination que nous protégerons à tout prix, parce que nous avons fait de nous-mêmes une idole, et une relation avec notre Dieu dont nous avons besoin et que nous désirons. Pensez maintenant au conflit que vous avez si nous pouvions nous asseoir et l'analyser à l'intérieur de nous-mêmes, ce qui n'est pas notre fort.

Nous avons un désir profond, un besoin, une douleur d'être en relation avec Dieu, mais nous sommes en même temps hostiles à lui. Nous sommes hostiles aux seuls êtres qui puissent nous donner ce dont nous avons besoin. Nous sommes un tel gâchis. La nature humaine est un véritable gâchis. J'ai besoin de Dieu, je veux qu'il m'aide, qu'il m'aime, qu'il prenne soin de moi, tant que je n'ai pas à faire ce qu'il dit.

Tant que je peux être mon propre Dieu, vous savez, comme un Dieu inférieur. Alors je t'adore, mais laisse-moi tranquille. Nous avons donc ce conflit interne à l'intérieur de nous-mêmes, et ce conflit déborde sur n'importe quoi. C'est pourquoi vous ne pouvez pas résoudre les autres conflits tant que vous n'avez pas résolu celui-ci. Le problème, c'est que nous sommes incapables de le résoudre. Dieu doit faire quelque chose. Cela nous amène à un concept dont Paul parle dans 2 Corinthians 5. Allons donc dans 2 Corinthians 5. Nous avons donc posé comme principe que vous et moi sommes au fond de nous-mêmes des personnes plutôt malades et en désordre intérieur.

Avant notre appel, nous étions hostiles à Dieu. L'esprit naturel et l'ennemi de Dieu est ne peut-être soumis à ses voix. Alors, comment pouvons-nous arriver là où nous devons aller ? Dans 2 Corinthians 5, versez 18. Paul dit ici, « Et tout cela vient de Dieu qui nous a réconcilié. » Je voudrais vraiment insister sur cette idée de réconciliation. Vous verrez que Dieu ne veut pas résoudre les problèmes que vous avez avec lui. Il ne s'agit pas d'une négociation où Dieu dit « résolvons les problèmes que nous avons entre nous et apprenons à nous entendre ».

Non, lorsque Dieu parle de réconciliation, il ne s'agit pas de résoudre nos problèmes. Il parle de restaurer une relation. Il parle de nous faire passer du statut d'enfant de la colère à celui d'enfant de Dieu. L'idée de réconciliation ne consiste donc pas simplement à négocier une paix et à s'en aller chacun de son côté, tout en restant hostile l'un vers l'autre.

Dieu veut changer l'hostilité que vous et moi avons envers lui. Il veut changer le fait que nous sommes ses ennemis et la façon dont nous nous sentons envers lui en tant qu'ennemi. C'est pourquoi il dit, verset 18, « Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ réconciliant le monde avec lui-même et n'imputant point aux hommes leurs offenses. Et il a mis en nous la parole de la réconciliation.

Verset 20, nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ comme si Dieu exortait par nous. Nous vous en suppliant au nom de Christ, par la Léglise ici, soyez réconciliés avec Dieu. Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. Jésus Christ est venu sur cette terre pour accomplir l'œuvre de réconciliation, pour nous ramener dans une relation avec Dieu, pour s'attaquer à la raison première de tous les conflits.

Car tous conflits commencent par le fait que l'être humain est l'ennemi de Dieu. Si tous les êtres humains étaient réconciliés avec Dieu et il n'y aurait ni guerre ni crime, il y aurait toujours des différences entre les individus, mais ces problèmes seraient résolus. Ils seraient résolus parce que toutes les personnes concernées seraient totalement réconciliées avec Dieu. Or, aucun être humain sur la terre, même le plus converti d'entre nous, n'est totalement réconcilié avec Dieu. Pas encore.

Nous conservons tous des parcelles de notre nature humaine hostile. À cause de cela, nous sommes en conflit avec Dieu et nous sommes en conflit les uns avec les autres. Mais là, pas quel moment où nous sommes ramenés et pour être réconciliés avec Dieu. Voici le problème auquel nous sommes confrontés. Lorsque nous regardons comment Dieu nous a sauvés, ce que nous venons de lire ici, il est évident que nous avons un problème avec la loi. Vous et moi, sommes tous condamnés à la mort par la loi de Dieu. Les protestants en conclut qu'il a aboli la loi, ce qui est absurde. Je n'y reviendrai pas. Mais comment abolir la loi ? Il n'y a pas été nécessaire qu'il soit sacrifié. Plus besoin s'il n'y a pas de loi. S'il n'y a pas de loi, il n'y a pas de péché et alors rien de tout cela n'est nécessaire. Mais la loi de Dieu demeure. Il n'a pas aboli sa loi. Il fallait donc un substitut.

Nous parlons beaucoup de Jésus Christ en tant que substitut et nous devrions le faire car c'est là que nous commençons. Il est l'agneau de la paque. Il est le substitut pour nous afin que nos péchés puissent être couverts et effacés. Mais après qu'ils étaient couverts et effacés, qu'est-ce qui est censé se passer ensuite ? Ce qui est censé se passer après que la loi de Dieu a été satisfaite. La loi de Dieu est la justice de Dieu, donc Dieu est satisfait.

Nous parcourons les chapitres 52 et 53 des aïs au cours de cette période de la paque. Il a été satisfait par le sacrifice de son fils. Sa justice a été satisfaite. Le Christ s'est sacrifié pour satisfaire son propre sens de la justice, car nous devons répondre de nos péchés.

Et soit nous mourons, soit nous avons un substitut pour nous. C'est l'aspect de la loi. La question de savoir ce qui s'est passé ensuite, si le sens de la justice de Dieu a été satisfait, est que vous êtes pardonnés. Si vous avez été pardonnés de vos péchés, mais que par nature vous êtes toujours quoi ?

Vous voulez faire une étude de mots intéressante ? Parcourez la Bible et étudiez le mot « abomination ». Quand l'abomination, vous le verrez, est utilisée à de nombreuses reprises en référence de l'interaction de Dieu avec les êtres humains. L'abomination et la réaction de Dieu face à des ennemis hostiles.

Abomination cela signifie « détestable ». Abomination cela signifie « détestable ». Il est difficile d'exprimer par des mots la profondeur de ces quêtes, une abomination. Une abomination est détestable pour Dieu, elle le dégoûte. C'est quelque chose qu'il trouve absolument répugnant. Qu'est-ce qu'un être humain par rapport à Dieu ? Hostile envers Dieu, ennemis de Dieu. Quelle est la réaction de Dieu face à la nature humaine corrompue ? Il la trouve détestable. En parcourant ces textes, vous verrez ce qui est fascinant ici.

C'est ce qui motive Dieu à faire ce qu'il fait. Il trouve que les êtres humains corrompus sont des abominations. Maintenant, ce que nous aimons faire, c'est choisir. OK, l'homosexualité est une abomination, l'hydrolatrie est une abomination. On nous aimant cela. Oui, nous aimons attaquer ces choses. Mais si vous regardez tous les endroits où l'abomination est utilisée, vous découvrirez que votre vie parfois est une abomination pour Dieu. Alors que vous étiez son ennemi, il vous a trouvé tout à fait dégoutant.

Il m'a trouvé tout aussi dégoutant. L'abomination est utilisée pour la malhonnêteté, l'orgueil et même pour les pensées d'une personne. Il y a un endroit dans les proverbes, où il dit qu'une personne devient si méchante que ces prières sont une abomination pour moi. Nous pensons que si quelqu'un prie et Dieu écoutera ces prières, Dieu dit qu'il y a des fois où des gens, il y a des gens qui le dégoûtent tellement qu'ils trouvent leurs prières dégoûtantes.

Vous devez comprendre le niveau d'hostilité que nous avons en tant qu'être humain envers Dieu, parce que nous sommes tous corrompus. Il y a sept milliards de Dieu qui coursent cette terre. Nous, nous sommes tous transformés en Dieu. Nous sommes les ennemis de Dieu et ils trouvent tous la dégoûtant. Oh non, ils nous aiment ! Je ne parle pas de savoir s'ils nous aiment ou non. Je parle de ce qu'ils disent. Pas moi. Ce qu'ils disent, c'est que sa réaction est de traiter les enfants qui deviennent ses ennemis.

C'est-à-dire tout le monde, jusqu'à ce qu'ils nous changent. Ils ont Proverbe 6 au verset 16. Proverbe 6 verset 16. Ça devient plutôt déprimant, n'est-ce pas ? Mais attendez, ce ministère de la réconciliation est extraordinaire. Mais nous devons comprendre la profondeur du prix payé. Nous devons comprendre qui nous étions, si nous voulons comprendre qui nous devenons. Nous devons comprendre qui nous étions pour comprendre qui nous devenons et pour comprendre comment nous allons gérer les conflits.

Que recevrons-nous lorsque Jésus Christ reviendra ? Une récompense pour l'avoir aidé à faire quoi ? À réconcilier l'humanité avec lui et à mettre fin à tous les conflits entre les êtres humains. Nous ferions donc mieux de la prendre maintenant. C'est ce que nous sommes appelés à faire. Il y aura toujours des conflits tant que nous serons des êtres humains. Nous devons comprendre les raisons et les problèmes fondamentaux qui les sous-tendent. Pourquoi nous nous laissons si souvent envahir par la colère, l'amertume et la haine ?

Pourquoi nous avons des relations dysfonctionnelles ? C'est là que tout commence. Regardez Proverbe 6, verset 16. Proverbe 6, verset 16. Il y a six choses que est l'éternel. Certains disent que Dieu ne déteste rien et bien c'est pas vrai. Il y a six choses que est l'éternel et même sept qu'il a en horreur.

Les yeux hauteins, la langue menteuse, les mains qui répandent le sang innocent, le cœur qui médite des projets iniques, les pieds qui se hâte de courir au mâle, le faux témoin qui dit des mensonges, et celui qui excite des querelles entre frères. Vous trouverez dans la Bible, de nombreux endroits, où vous lirez et direz « Oh, j'ai fait certaines de ces choses !

» Vous voyez, nous choisissons les choses concernant l'homosexualité et d'autres parce qu'il est si facile alors de s'en prendre à ces personnes. Oui, c'est une abomination pour Dieu, mais il en est de même lorsque vous vous asseyez pour élaborer de mauvais plans. Il en va de même lorsque vous portez de faux témoignages. Il en va de même lorsque vous semez la discord entre frères. Il en va de même lorsque nous faisons l'une ou l'autre de ces choses.

Nous sommes fiers. Nous avons donc ici cette nature humaine dysfonctionnelle en conflit avec elle-même. Elle a besoin de Dieu, mais veut en même temps être un Dieu. Et pourtant, nous réalisons que nous sommes appelés à redevenir des enfants de Dieu. Mais pour être les enfants de Dieu, cela signifie que nous devons changer fondamentalement notre nature. Nous devons passer d'un statut d'enfant de la colère à celui d'enfant de Dieu. Comment cette rencontre a-t-elle lieu ? Pensez aux fossés qui nous séparent de Dieu.

Il y a un fossé énorme entre nous et Dieu. Nous sommes ses ennemis et il est le créateur juste. Nous et moi ne pouvons pas combler ce fossé. Nous ne pouvons pas aller d'ici à là. Nous parlons de la grâce de Dieu. Parfois, nous n'avons peur d'en parler car les protestants l'utilisent tellement. Mais l'essentiel est que vous et moi ne pouvons pas aller d'ici, d'un côté à l'autre.

La gnau de la pâque doit être immolée. Le sang doit être mis sur le montant de la porte. L'ange de la mort doit passer au-dessus de nous. Vous ne pouvez pas aller jouer aux cartes avec l'ange de la mort. Vous savez quoi ? Coupons les cartes pour cela. On va décider. Vous et moi ne pouvons pas aller voir Dieu et le forcer à combler le fossé. Nous ne pouvons même pas y arriver par nous-mêmes. Voilà ce qui est la grâce.

Nous avons une responsabilité. Si nous ne nous acquittons pas de cette responsabilité, oui, nous pouvons perdre le salut éternel. Ce dont je parle ici, c'est de comment passer du statut d'ennemi de Dieu, c'est le ministère de la réconciliation, à celui d'enfant de Dieu. Comment passer du statut d'enfant de la colère à celui d'enfant de Dieu ? Comment se gouffre cet énorme gouffre sans fin ? Comment le franchir alors que vous et moi n'en sommes pas capables ? Allons dans Romain 10. Je vais passer en revue très rapidement un certain nombre d'écritures, parce que je vais les lire et les développer un peu, parce qu'elles le disent elles-mêmes.

Ici, dans Romain 10, et nous repensons à heureux ceux qui procurent la pécâche, ce seront fils de Dieu. Romain 10, allons verser 14.

Romain 10 verser 14. Comment donc invocrons-t-il celui en qui ils n'ont pas cru ? Paul dit, comment cela se passe-t-il ? Comment quelqu'un fait-il appel à Dieu ? Comment quelqu'un entre-t-il en relation avec Dieu ? Comment est-il rétabli dans sa relation avec Dieu ? Comment y parvenir ? Comment croir-t-il en celui dont ils n'ont pas entendu parler ? Comment entend-t-il parler s'il n'y a personne qui prêche ?

Comment les gens arrivent-t-il à Dieu ? Verses 15. Comment y aura-t-il des prédicateurs s'ils ne sont pas envoyés, selon qu'il est écrit, et ils citent maintenant l'Ancien Testament, qu'ils sont beau les pieds de ceux qui annoncent la paix, de ceux qui annoncent de bonnes nouvelles ?

Le message de l'Évangile, la bonne nouvelle, contient la paix. La paix entre les nations, la paix entre les familles, la paix entre les frères et les sœurs, la paix entre les membres de la congregation, la paix entre les voisins. Et tout commence par la paix entre nous et Dieu. C'est l'Évangile de la paix.

Comment Dieu comble-t-il ce fossé ?

Voyons, hébreux deux. Nous allons maintenant passer en revue une série d'écritures. Nous allons les parcourir et voir comment les écrits disent que ce fossé est comblé. Car deux choses doivent se produire. Tout d'abord, Dieu doit franchir le fossé jusqu'à nous. Ensuite, Il doit faire quelque chose pour nous amener à Lui. Vous voyez ce que je veux dire ? Il y a un énorme fossé entre nous et Dieu. Nous sommes ses ennemis. Il doit franchir le fossé. Et ensuite, Il doit faire quelque chose pour nous amener à Lui. Il y a deux choses qu'Il doit faire. Hébreux deux verset 14.

Hébreux deux 14. Hébreux deux 14.

Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, il y a également participé lui-même afin que par la mort, parlant de Jésus Christ, il rend impuissant celui qui avait la puissance de la mort, c'est-à-dire le diable. Verset 15.

Vous savez l'une des raisons pour lesquelles nous essayons de tout contrôler ? Je sais pourquoi j'essaie de tout contrôler. La peur. Si tout allait bien dans ma vie en permanence, je pourrais être heureux, avoir une bonne image de moi à être en sécurité sur le plan émotionnel, et toutes mes attentes seraient satisfaite. Mais ce n'est pas comme ça que ça marche, n'est-ce pas ? Nous sommes constamment empoids à la peur. Et verset 15.

Comment a-t-il comblé le fossé ? Vous et moi ne pouvions pas devenir Dieu, alors Dieu a envoyé son fils pour qu'il devienne comme nous. Il l'a envoyé de l'autre côté du fossé. Selon l'épitre Philippien, Jésus Christ l'a fait volontairement. Paul dit qu'il a renoncé à son privilège de divinité. Il est littéralement devenu cher. Nous continuons afin qu'il soit un s'ouvre à un sacrificateur miséricordieux et fidèle dans le service de Dieu pour faire l'expiation des péchés du peuple verset 18. Car du fait qu'il a souffert lui-même et qu'il a été tenté, il peut secourir ceux qui sont tentés. Il est littéralement devenu ainsi. Après une dur journée de travail au marteau, en tant que charpentier, c'est musclé et douloureux, tout comme les nôtres. Il a eu des jours où il a eu faim, tout comme nous avons faim. Il a eu des jours où il ne se sentait pas bien, tout comme nous, nous, nous, ne sentons pas bien. Il a eu des jours où les disciples ont énervé, il a eu des jours où il était entouré de conflits et où il est allé vers le Père et a dit, vous savez, vous avez lu quelques-unes de ses prières. C'est bizarre la façon dont ces gens vivent ! Il s'est assis et a pleuré. Il a regardé Jérusalem et a dit, je peux arranger ça si tu me le permettais. Nous devons, au plus profond de nous-mêmes, comprendre ce que signifie le fait que Jésus-Christ se soit fait cher. Vous vous rappelez-vous ce vieil homme qui nous répétait, Jean 1.1, encore et encore jusqu'à ce qu'il tombe à l'âde ? C'était M. Armstrong qui disait, mais vous ne comprenez pas ! Et il nous ramenait à Jean 1.1, au commencement, était la parole, et la parole était avec Dieu, et la parole était Dieu. Et nous avons dit, mais pourquoi il fait ça ? Et bien, voici pourquoi il le fait. Au plus profond de notre être, nous devons comprendre ce que signifie le fait que Jésus-Christ se soit fait cher. Et bien, voici pourquoi il le fait. Au plus profond de notre être, nous devons comprendre le prix que Dieu et son fils ont payé pour franchir ce fossé et mettre fin à nos conflits entre notre conflit avec eux. Lorsque nous comprenons cela, cela change la façon dont nous gérons les conflits les uns avec les autres. Si nous ne comprenons pas cela, nous nous traiterons les uns les autres de la même manière que le monde se traite les uns les autres. Jésus-Christ s'est sali, il a dû prendre un bain. Jésus-Christ a traversé toutes sortes de choses. Toute sa vie a été marquée par des conflits. Ses propres frères et soeurs n'ont pas accepté comme le Messie, pas avant sa mort. Ses propres disciples, ses meilleurs amis l'ont abandonné. On s'est moqué de lui en public. Il a fait l'objet d'un procès injuste. Il a été brutalement assassiné. Toute sa vie, les gens ont essayé de le tuer simplement parce qu'il disait la vérité. Toute sa vie n'a été que conflit. Il a franchi ce fossé. Il est devenu comme ses frères pour faire quoi ? Pour consommer de lui, qu'on le rabaisse, qu'on l'ostracise et qu'il renonce à toute la grandeur d'être divine, divin, de ne jamais avoir à dormir, de ne jamais ressentir la douleur. Il a renoncé à tout cela pour passer de l'autre côté. Dans un Colossien 1 verset 19, voyons comment Paul décrit le ministère de la réconciliation. Colossien 1, 19.

Car Dieu a voulu faire habiter toute plénitude en lui. Il a voulu par lui tout réconcilier avec lui-même. Nous comprenons maintenant la réconciliation, le fait qu'il est dû mourir pour payer la peine infligée par la loi. Mais c'est plus que cela. C'est pour que nous puissions entrer en relation. C'est parce que le fossé peut être franchi. Il l'a franchi. Vous et moi, nous ne pouvons pas le faire. Tout réconcilier avec lui, dans ce qui est sur la terre, que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui par le sang de sa croix. La paix. Remarquez ce qu'il dit. La paix peut exister entre nous et Dieu grâce à cela. Parce que nos péchés sont pardonnés. Parce que notre stilité envers lui est pardonnée. Parce que nous pouvons maintenant changer et ne plus être ses ennemis. Nous pouvons devenir en paix avec Dieu. Remarquez ce que dit le verset 21. Colossiens 1, 21. Et vous qui étiez autrefois étranger et ennemi. Ennemi de qui ? Des ennemis de Dieu. Par vos pensées et par vos mauvaises oeuvres, il vous a maintenant réconcilier.

Le ministère de la réconciliation n'est pas un ensemble de règles, de bonnes communications, pour que vous et vos amis puissent y résoudre un problème. Ou que vous, au travail, puis si vous asseoir ensemble dans la salle de réunion et y résoudre un problème. Ce sont simplement des façons de traiter les problèmes. Lorsque nous parlons du ministère de la réconciliation, nous parlons de l'essence même de l'être humain.

La mort de Jésus Christ et sa résurrection ont été sa façon de franchir le fossé pour nous ramener dans la relation en nous pardonnant d'abord nos péchés, car il ne nous acceptera pas dans le péché. L'idée que Jésus vous accepte tel que vous êtes est l'un des plus grands mensonges jamais rencontrés dans le christianisme moderne. Dieu ne vous accepte pas comme ses ennemis. Dieu dit, « Viens ici, laisse-moi te changer. Viens ici, laisse-moi te pardonner. Viens ici, laisse-moi faire quelque chose dans ta vie pour que toi et moi ne soyons plus ennemis, pour que nous soyons en paix. Viens ici, laisse-moi faire. Je dois sauter le gouffre pour que tu puisses le faire parce que tu ne peux pas le faire. Tu ne peux pas franchir ce gouffre. Continuons vers C-21 par sa mort dans le corps de sa chair. Pourquoi ? Dans le corps de sa chair. Vous savez que Jésus a allergi aujourd'hui. Jésus s'est promené avec un rume de temps en temps. Quel prix à payer de voir sa baisser à ce point pour être comme ses frères, pour être comme les autres enfants ? Quel prix à payer ?

Par sa mort dans le corps de sa chair pour vous faire paraître à lui, paraître devant lui.

Vous voyez, une fois que la paix est faite entre vous et Dieu, notre nature peut être changée. Il nous fait paraître devant lui, saint, sans défaut et sans reproche. La paix est établie entre vous et Dieu parce que le Christ a sauté le vide. Il a franchi le gouffre.

Romain 5, vers C-6.

Romain 5, vers C-6. Voici ce qui est vraiment étonnant à ce sujet. Vous savez, nous avons besoin d'être guéris, n'est-ce pas ? Nous en reparlerons la prochaine fois. Nous avons besoin d'être guéris. L'approche de Dieu pour la guérison des conflits est exactement à l'opposé de la nôtre. Exactement le contraire. Dans Romain 5, vers C-6, nous lisons.

C-6, vers C-8. C-6, vers C-8.

Alors que nous étions ses ennemis.

Nous admirons toujours ces gens qui reçoivent la médaille d'honneur parce qu'ils se sont jetés sur une grenade pour sauver leurs copains. D'accord, nous disons que c'est ce que le Christ a fait. Mais non ! Le Christ a été torturé et ailli parler ennemis et il s'est jeté sur la grenade pour sauver les gens qui le torturaient. Voilà le contexte. Il a pris les abominations, c'est ainsi qu'il nous appelle. Il a pris les petits êtres humains finis qui courent partout et disent je suis Dieu, je suis Dieu, je suis Dieu. Et il a sauté sur la grenade pendant que nous le torturions. C'est ce qu'il a fait.

Lorsque nous comprenons cela, les conflits que vous avez entre votre mari, votre femme ou vos enfants deviennent assez mineurs. La plupart d'entre eux. C'est tout à fait mineur. Il a fait parce qu'il nous aimait. Il nous a regardé non pas comme ce que nous étions mais comme ce que nous pouvions devenir. Dieu n'a pas vu en nous ce que nous étions, il a vu ce que nous pouvions devenir et il nous a aimé.

C'était sa motivation. Il a aimé ses ennemis. Dieu ne nous a pas aimé parce que nous étions aimables. Il nous a aimés alors que nous étions ses ennemis. Comprenez-le bien. Alors que nous étions hostiles à son égard. Continuons verset 9 et 10. A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, seront-nous sauvés par lui de la colère. Car si lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son fils, à plus forte raison étant réconciliés, seront-nous sauvés par sa vie.

Jusucrisse n'est pas resté mort. Jusucrisse est ressuscité. Et il accomplit maintenant une œuvre de réconciliation dans les hommes. Il accomplit une œuvre de réconciliation. Nous avons donc été pardonnés, mais en comblant ce fossé, en allant de l'autre côté de ce fossé, il est toujours avec nous, nous réconciliant avec Dieu par son esprit, nous amenant à Dieu. Il agit en tant que souverain sacrificateur, en tant que frère aîné. Tous ces termes sont utilisés dans les Écritures. C'est ainsi que nous comblons le fossé. C'est la raison d'être de la Pâque. Il a comblé ce fossé en sautant par-dessus vers nous. Maintenant, comment Dieu nous fait-il passer de l'autre côté ? Il y a deux étapes. La prochaine fois, nous parlerons du ministère de la réconciliation et de la manière dont le Christ a franchi le fossé pour devenir cher, l'esprit de Dieu dans un être humain. Et ce qu'il fait maintenant pour se réconcilier avec nous, afin que nous puissions franchir ce fossé et avoir une relation avec Dieu qui puisse durer pour l'éternité.

Gary Petty est diplômé de l’Ambassador College (1978) et titulaire d'un BS en communication de masse. Il a travaillé pendant six ans dans le domaine de la radio en Pennsylvanie et au Texas. Il a été ordonné ministre en 1984 et a servi des congrégations à Longview et Houston au Texas, à Rockford dans l'Illinois, à Janesville et Beloit dans le Wisconsin, et à San Antonio, Austin et Waco au Texas. Il est actuellement pasteur des congrégations de l’Église de Dieu Unie à Nashville, Murfreesboro et Jackson, dans le Tennessee.