Ne touchez pas à ce qui est impur

La question de la semaine est probablement... Bien, la question de la semaine, des dernières semaines qui sont passées, c'est qu'est-ce qui se passe dans le monde ? Et le chaos que nous avons vu à notre capitale le 6 janvier, nous avons vu des scènes choquantes de la violence. Les choses qui sont arrivées au cours des derniers mois avec de la violence, les émeutes, le racisme et le justice, cela semble presque écrasant pour nous. Et peut-être ce passage de Timothée, chapitre 3, vous est venu en tête. Vous savez ce qu'il a dit, vous savez que dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles, des temps remplis de troubles, des temps qui nous fatiguent, qui nous découragent. Et cela continue en énumérant ces traits de caractère, des mots impitroyables, égoïstes, amies de l'argent, enfin, farans. Ce sont des choses avec lesquelles nous ne voulons rien avoir à faire. Nous devons nous éloigner de ces choses, peut-être parce que les protocoles sanitaires nous montrent que il vaut mieux garder des distances des choses pour ne pas être contaminés. Nous ne voulons pas toucher aucune de ces gens de choses parce que ces tantumultures dans lesquelles nous vivons montrent certainement que c'est un monde incertain. En regardant ces choses se dérouler devant nous, quelle devrait être notre perspective en tant que chrétien ? Qu'en est-il de notre point de vue ? Comment devons-nous affronter les défis de la violence, du racisme, de l'esprit de partisans, des choses qui s'ennuient nous entourer ? J'ai pensé que cela pourrait être utile cet après-midi de jeter un coup d'œil au principe spirituel de Basque, du nous Don, qui devrait guider notre point de vue et devrait nous aider à avoir la bonne concentration et pas seulement dans les moments difficiles, mais vraiment pour nous encourager lorsque nous faisons face aux défis qui sont devant nous. Il y a trois passages bibliques fondamentaux qui, je pense, peuvent nous aider à faire cela. J'ai quelque sorte organisé le sermon par ces trois passages spécifiques qui peuvent nous aider à relever ces défis et nous donner sa perspective dont nous avons besoin face aux jours qui viennent devant nous. Le premier se trouve dans 1 Corintien chapitre 6, verset 17. Vous pouvez dire que c'est le verset thème d'aujourd'hui. Dans 1 Corintien chapitre 6, verset 17, dans cette section des écritures, Paul écrit à l'Église de Corintes qui avait beaucoup de problèmes et qui était divisé. Ils avaient fait des alliances avec le monde et ils avaient fait des compromis avec le monde. Paul dit quel communion entre la lumière et les ténèbres. Quel communion a-t-il avec le Christ ? Il fait face à des problèmes similaires à ce de jour des... Il a conclu de ce que les Corintiens devaient faire. Il dit, verset 18, dans la vie française, fuyer la débauche, non, ça ne correspond pas. Peut-être que c'est 2 Corintiens 6, verset 17. Il leur dit, sortez du monde. Oui, c'est 2 Corintiens. Quel accord y a-t-il entre Christ et Belial, verset 15 et verset 17 ? C'est pourquoi, sortez du milieu 2.

Sortez. Éloignez-vous et séparez-vous, dit le Seigneur. Nous devons échapper l'influence du monde, l'influence des non-croyants, des mauvaises façons de penser et de manière mauvaise.

Il doit être quelque chose dont nous nous échappons, dont nous nous éloignons. Il insiste sur ce fait en disant d'être séparé.

Il est dit, séparez-vous, dit le Seigneur. Vous devez fixer une limite au contact que nous autorisons cette influence extérieure pour nous affecter.

Le mot a le sentiment de faire une frontière, une limite entre ma façon de penser et l'influence de la culture et de la société autour de moi. Et cet effet que cela peut avoir sur moi, il a donc ce sentiment de garder nos distances.

Nous devrions savoir comment faire cela puisque nous avons pratiqué la distance sociale depuis pas mal de temps. Il ne s'agit pas de s'éloigner des gens physiquement bien entendu, mais il s'agit de la maladie du péché, de cette société, de nous séparer de cette influence. C'est ce que ce mot sépare se résume vraiment à cette influence corruptrice de la société, l'influence corruptrice du gouvernement, l'influence corruptrice de la politique, du divertissement et le monde qui nous entoure. Nous devons être mis à part et nous devons faire ce choix nous-mêmes, dans la mesure où Paul dit ici, ne le touche même pas.

Et bien sûr, quand vous pensez à ce mot pour toucher, ce que cela implique bien, que faisons-nous ces jours-ci ? Lorsque nous venons à l'Assemblée, nous touchons le coude, on peut pas, on n'a pas le droit de se donner des rags, mais normalement, quand tu aimes les gens, tu les étraignais, vous les embrassez. Pourquoi ? Parce que nous nous soucions d'il y a de l'affection avec ces gens. Donc je nous montre cette affection en les touchant maintenant d'un autre côté. Ce que nous trouvons ici, c'est que nous ne devons pas toucher, ne touchez pas. Ne vous attachez pas à la manière de ce monde. N'est-ce pas une relation qui est impliquée ici, afin qu'on ne s'attache pas à cette pollution de la société que nous sommes entourés ? De ne pas avoir de liens très étroits, de ne pas avoir de fraternité, pas de coïnonia, de partenariat, de communion avec ceux qui sont impis, ceux qui font de fausse adorateur, qui sont dans le noir. Ils nous disent de ne pas avoir ce genre de relations. Nous devons rester détachés. Et de ne laisser pas la société vous coller. Ça ne veut pas dire qu'on ne veut pas avoir d'amis dans le monde. Bien entendu, on doit. Mais leurs idées, leurs façons de penser, on ne doit pas y toucher les impuretés de ce monde. Et ainsi, ils nous rappellent que ce monde est juste cela qui est impur. Alors ne touchez pas à ce qui est impur, aux péchés et aux idées qui sont fausses. On nous rappelle que c'est littéralement quelque chose qui dégoute Dieu, leurs façons de penser. Et nous ne pouvons pas donc nous attacher à ces choses de la même façon que ce monde s'attache à nos priorités. Ils doivent être différents. Ils doivent être des choix différents. Et alors, qu'est-ce que nous voyons tout autour de nous ? Je veux dire que tout ce que nous voyons, c'est une division sur le coronavirus. Tout est faux, ce n'est pas vrai. Évidemment, c'est démilier et ça tue beaucoup de gens. Il faut porter un masque, il ne faut pas porter un masque. Parce que c'est ce qui va vous sauver. Nous voyons la fracture entre les idées. Et ça se répand sur tellement dans tous les domaines. L'injustice, les tensions raciales provoquant le chaos.

Ces choses, toutes chez soi, sont des indications des impuretés dans le monde, dans lequel nous vivons. Ces impuretés qui ont infecté la société qui nous entoure.

Maintenant, en contraste, nous, en tant que peuple de Dieu, notre vie est de représenter quelque chose de totalement différent. Notre vie est d'imaginer et de symboliser une période quand le monde sera séparé des impures, des choses impures, des actions et des idées. Notre vie doit refléter cela en ce moment. En tant que peuple de Dieu, nous condamnons la violence sur toutes ces formes. Nous condamnons les émeutes, nous condamnons l'anarchie sous quelque forme que ce soit. Nous nous opposons au système politique de ce monde. Nous le devons. Nous devons et nous reconnaissons que les gouvernements de ce monde, les gouvernements de l'homme ne sont pas les gouvernements de Dieu. Ils ne le sont pas. Et donc, cela devrait nous amener à nous demander à quel point est-ce que nous sommes attachés à ce monde ? Je veux dire que c'est notre sauveur qui a dit qu'est-ce qu'il a dit quand il a été confronté avec ce concept ? Il a dit que mon royaume n'est pas de ce monde. Ce n'est pas de ce monde, sinon mes serviteurs se battraient. C'est ce qu'il a dit, mais ce n'est pas ce dont il parlait. Il a dit non, mon royaume n'est pas d'ici. Vous voyez, il avait un tout autre perspective. Et alors que nous essayons de vivre nos vies, nous reconnaîtrons que cette culture et la société qui nous entoure continuent de nous pousser de plus en plus loin de Dieu. Et ces événements que nous reconnaissons montrent cette descente en spirale. Il est absolument essentiel que nous, en tant que chrétiens, ne suivons pas cette pente descendante. Nous ne pouvons pas nous laisser prendre au fait que nous devons être citoyens du royaume de Dieu, qui est notre vocation, qui est notre citoyenneté. Et donc on nous dit en fait que nous regardions dans 2 Corinthians 6-17. Si tu fais ça, ça veut dire qu'il ne... Dépênez-vous, je voudrais vous en faire la demande, ou simplement vous demander que de considérer. Il dit non, que dit-il ? Il donne un ordre.

Il nous commande de sortir du monde et d'être séparés pour être différents. Et notre appel en tant que chrétien, en tant que peuple de Dieu, ce n'est pas juste pour un monde meilleur, un petit peu meilleur que le monde. Dieu nous a pas appelé à essayer d'être un petit peu mieux que le monde. Il dit non, sortir de là, de s'en éloigner. Et échappez-vous-en.

Ça ne veut pas dire que, comme j'ai dit, on a des amis, on a des gens, évidemment, de la famille et des amis dans le monde. Et il n'est pas question de s'éloigner de ces gens, mais il est question de s'éloigner des idées et des pratiques, ou même toutes les choses qu'on entend, des discussions de...

de différents gouvernements et de prendre partie d'un côté ou de l'autre, le socialisme, le capitalisme, le totalisme... Qu'est-ce que Dieu va faire quand il va revenir ? Est-ce qu'il sera un conservateur ou un libéral ? Qu'est-ce qu'il va être ? Je ne pense pas qu'il va être ni l'un ni l'autre. Si vous reconnaissez ce que Daniel 2.44, et c'est très clair, quand le Christ vient et établit le royaume de Dieu, on nous dit qu'il va briser et consommer tous les royaumes, tous ces royaumes.

Et ce monde pour écraser, c'est absolument écrasé complètement. Ça n'a pas l'importance qu'elle s'y stêble de l'homme, parce que ça va être totalement détruit, et que le Christ, en Jésus-Christ, viendra établir le royaume de Dieu. Et cela devrait commencer à nous donner une perspective beaucoup plus claire sur ce que nous devons faire. Parce que, non seulement on nous dit une fois, dans le deuxième chapitre de Corinthien, il s'agit en fait d'une citation d'Isai 52. Donc un deuxième passage, et jetons un coup d'œil, on voit Isaïe.

Ce deuxième passage du sermon, c'est Isaïe 52. C'est le passage que Paul cite en fait. Isaïe, chapitre 52. C'est une section puissante des écritures. Isaïe prophétisait à Judah. Dieu envoie Isaïe pour prophétiser à Judah. Il se rendait déjà en captivité. Et le chapitre commence. Regardez les paroles d'Isai inspirées par Dieu. Isaïe leur dit, réveille-toi au verset 1. Reveille-toi, il leur dit. Revez ta parure, sillon.

Nous savons que Sion étant Jérusalem, représentant le peuple de Dieu, les Juifs à ce moment-là, c'est bien sûr, pensée à Sion aujourd'hui. Qui est Sion aujourd'hui ? C'est nous, c'est la vraie église de Dieu. C'est l'église de Dieu. Imaginez Dieu nous appelle en tant que son peuple. Nous dit de se réveiller, de se réveiller et de mettre ta force. Donc Paul cite ceci, et en fait un peu plus précisément, au verset 11, Isaïe dit, « Lève-toi !

» Et dit, « Détage les liens de ton cou. » Il leur dit de partir. Paul, Judat, leur dit qu'il fallait qu'il se réveille et pour se réveiller, il fallait qu'il fasse, il fallait qu'il sorte du monde. Si nous sommes vraiment l'église de Dieu, nous devons recevoir la force qui vient de Dieu, et ne pas laisser l'influence du monde nous infecter. Cette section des écritures a de multiples implications. Parce que vous pouvez repenser, il n'y a-t-il jamais eu un temps dans le peuple de Dieu où ils ont dû sortir, et peut-être, errer dans le désert pendant un bout de temps, pendant pas mal d'années, oui bien entendu, le peuple de Dieu, c'était déjà une représentation.

L'Egypte représentait la culture satanique du pharaon et de l'Egypte qui représentait le péché, et il devait en sortir. Et bien sûr, si vous avancez un petit peu dans le temps, qu'en est-il des autres représentations que cela pourrait avoir ? Eh bien, pensez à... et c'était également l'histoire de Sodom et de Gomorre. Il a dû sortir, il fallait qu'il s'échappe. Il ne pouvait pas s'accrocher aux choses et regarder en arrière. Non, il fallait pas faire ça, n'est-ce pas ? Ça a des implications pour nous aujourd'hui, comme la pôtre-Paul citait et encouragé, essayant de nous convaincre tous de cette façon, la plupart des érudits pensent que c'est probablement connecté à Babylone.

Parce que voici Ezaï, ici, averti le peuple de Judah, que s'ils ne changent pas, s'ils ne se déconnectent pas du monde idolat qui les entoure, ils vont finir en captivité sous Nebuchadnezzar à Babylone. Et donc si vous pouvez imaginer ça, cet appel de sortir de Babylone et dire « réveille-toi et sort de là », cela aurait probablement été assez simple. La captivité à Babylone a duré 5 ou 6 ans. Vous pensez que la captivité allait durer jusqu'à quelques années ? Non, la captivité à Babylone était de 70 ans. Ce n'était pas juste un ou deux ans de captivité.

Pensez à 70 ans, c'est long, c'est toute une génération. Cela fait longtemps que beaucoup d'entre nous dans cette salle. Je veux dire, c'est toute une vie. Comme ils étaient à Babylone, année après année, décennie après décennie, vous pensez que certains d'entre eux sont peut-être devenus un peu attachés à l'idée de vivre à Babylone.

Vous pensez que peut-être certains ne voulaient pas retourner à Jérusalem ? Je veux dire, pensez à ce que la plupart des captives qui ont été amenées à Babylone au départ, seraient morts. Par maintenant, avant la sortie, ce sont les enfants, ceux qui sont nés à Babylone, qui pourraient eux revenir à Jérusalem. Pour eux, ils n'avaient pas vécu à Jérusalem. Ils avaient juste entendu les histoires de cette communauté juive qu'ils avaient dans le passé. C'était un pays lointain pour eux. Comment pourrait-ils jamais penser à retourner ? Parce que Babylone était devenu leur maison. C'est là où ils avaient vécu. Aller là-bas, c'est un pays de plus en plus. Vous avez vécu. Aller là-bas, c'est un long, un voyage périlleux. En fait, tu devrais traverser le désert pour arriver à Sion. Je veux dire, nous sommes nés ici, elle disait. C'est notre maison. Vous pouvez donc imaginer le genre de pensée qui aurait été très difficile à surmonter. Je veux dire, certains avaient probablement un emploi. Peut-être de bons emplois. On dit qu'il y a des hommes qui étaient des conseillers importants au roi, les juifs qui occupaient des postes importants. Oui, il y en avait tout un temps, même Daniel, comme vous l'avez entendu, et les trois hommes qui ont été jetés dans le feu avec Daniel, des positions dans la fausse au lion, pardon. Et ils avaient des propriétés et un probablement des terres. Alors, pensez-vous qu'ils étaient un peu réticents à sortir, un peu réticents à partir ? Je veux dire sans aucun doute, ils avaient probablement des connexions, des attachements, des attachements malins qui avaient été faits. Certains ne voulaient peut-être pas les abandonner. Alors, quand ce décret est finalement arrivé, qu'est-ce qui s'est passé si Russes fait un décret, que vous pouvez tous retourner à Jérusalem ? Alors, ils sont tous retournés, n'est-ce pas ?

C'est pas ce qui s'est passé. Lisez l'histoire. Ils montrent qu'un nombre assez petit de Juifs ont quitté Babylone pour retourner à Jérusalem, à Sion. Mais Babylone était supposé être temporaire. Ce n'était pas supposé être leur vivre irritable, leur maison. Jérusalem, Sion, était leur maison.

Et je suis sûre que cela a dû être difficile, surtout lorsque les amis ont décidé de ne pas partir. Mais les autres ont décidé de partir. Cela vous montre que ça n'a pas l'important, ce que les autres décident de faire. Vous devez vous sortir de cela, vous séparer, et ne touchez pas à toutes leurs idées, leurs façons de vivre, et ne pas ramener cela avec vous. Cela devait être difficile quand d'autres ne sont pas partis, pour ceux qui sont partis.

Les valeurs de ce monde, nous vivons dans une nation remplie d'idolâtries. Malheureusement, c'est ce que notre culture est devenue. Et Dieu dit, préserve-toi, séparer de la mauvaise influence, de la culture et de la société. N'oublie pas que, en tant que peuple de Dieu, nous sommes des pèlerins, nous sommes comme des captifs à Babylone. Ce n'est pas chez nous, nous sommes comme des non-citoyens, en quelque sorte. Nous cherchons le royaume de Dieu, nous sommes comme des étrangers sur cette terre. Nous ne pouvons jamais oublier que ce monde autour de nous est temporaire. La vie est temporaire, la vie physique est temporaire. Et donc, au lieu d'y être attaché, nous devons nous détacher consciemment, de tout ce qui semble réel autour de nous. Nous devons nous détacher le visible de la scène et se séparer de tout ce qui est présent en termes des idées et des concepts, parce qu'on ne peut pas se laisser polluer et devenir faire partie de cette société à ce niveau idéologique et des actions car on a cherché la ville, le royaume de Dieu, la façon dont nous voyons les choses, la façon dont nous vivons notre vie. Il doit y avoir cette différence flagrante entre le style de vie d'un vrai chrétien et ceux qui s'attachent à cette ville. Et c'est cela le défi. Je veux dire sans aucun doute, il y a de la certitude tout autour de nous. Sans aucun doute, la situation politique aux États-Unis a été un problème très instable. Mais qu'en est-il de nous ? Vous voyez, nous devons nous assurer que nous sommes séparés. Nous devrions jamais assimiler notre foi à un parti politique. Nous ne pouvons pas le faire. Je veux dire, pensez à la façon dont le Christ a fait les choses. Le Christ n'a pas manipulé le processus politique. Il n'a pas travaillé avec les Romains, avec le sang et le drin. Il a travaillé pour accomplir ce qu'il voulait. Ce que le Christ a fait, il a lavé les pieds. C'est ce que le Christ a fait. Comment vainquez-vous les principes potés ? Nous fousions cela par la force de la loi de l'homme. Non, cela n'arrivera pas. Christ l'a fait par son sacrifice, en sacrifiant finalement, en donnant sa vie.

C'est comme cela qu'il a subverti le modus au Père Handa et de ce monde. Il n'était pas sur le point de participer de quelque manière, que quoi que ce soit. Parce que les gouvernements humains ne peuvent pas améliorer correctement une saine gouvernance spirituelle. Cela fait quelque chose qui fonctionnerait pour tout le monde, pour le bien de tout le monde. L'homme ne peut pas le faire. C'est donc pourquoi Dieu le paire envaira Jésus Christ en tant que roi des rois et seigneur des seigneurs. Et cela changera le gouvernement pour toujours. Et en réponse au plan de Dieu et notre appel et de recevoir le Saint-Esprit, nous devons sortir de la voie de ce monde, de cette façon de penser. Cela nous apporte beaucoup de stress.

Comment décrire les événements de l'année dernière ? C'est très dérangeant, c'est choquant des événements dans le monde entier, ce qui se répète. Le dernier programme de Beyond Today que j'ai enregistré, j'ai cité une enquête qui a été faite par l'association psychologique américaine qui montrait que 77% des gens ont estimé que le futur de leur nation est un facteur de stress important dans leur vie. La majorité de nous apparemment est stressée.

Cela n'a pas d'importance de quelle race vous êtes. Ils sont stressés et disent que la violence policière envers les minorités est une source de stress dans leur vie, très importante. La liste allonge encore et encore. En fait, 7 sur 10 américains, c'est le point le plus bas de l'histoire de notre nation.

Les gens sont tellement stressés par ces choses. Ce stress nous affecte nous aussi. Nous ressentons le stress de notre culture autour de nous. Cela s'applique à bien d'autres pays également. Comment est-ce que nous supportons ces choses ? Un troisième passage qui se trouve dans le livre de l'Apocalypse. Nous avons voir les instructions de l'Église du 1er siècle. Nous avons vu les instructions qui étaient données à l'ancienne Judat. Voici dans l'Apocalypse 18, vers ces deux, nous voyons des instructions données pour le futur. Nous voyons qu'ici cela vous semble vaguement familier. Il est question d'un temps où il y aura un grand pouvoir de la bête, où un gouvernement va contrôler le monde. Et finalement, c'est le gouvernement de l'homme. Et cela ne peut pas durer. Et il est dit, donc, elle est tombée. Elle est tombée. Un ange criant d'une voix forte. Elle est tombée, Babylone la grande. Elle est devenue une habitation de démon, un repère de tout esprit impure, un repère de tout oiseau impure et haut-dieu. Remarquez vers ces trois l'influence de cette nation, parce que toutes les nations ont bu du vin de la fureur de sa débauche.

Que les rois de la Terre se sont livrés avec elle à la débauche, et que les marchands de la Terre se sont enrichis par la puissance de son luxe.

Autrement dit, les choses étaient assez bonnes. Il y avait suffisamment de pêpes en un certain temps. La société, toutefois, était affectée par la perspective des gens.

On nous dit de sortir de ça, de remarquer les instructions qui sont données vers ces quatre. J'ai entendu du ciel une autre voix qui dit « Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne particiez point à ces péchés et que vous n'ayez point de part à ces fléaux ».

Ça nous fait penser à Isaïe 52 et à 2 Corinthiens.

6. Parce qu'en tant que le peuple de Dieu, nous devons sortir et échapper à l'influence. Ne vous laissez pas submerger par tout ce qui se passe. Fixez une limite, une frontière. Restez à l'écart. Éloignez-vous de tout cela. N'y touchez même pas. Éloignez-vous de tout cela. Et dans ce sens, avec ce monde nové, cela ne suffit qu'en tant que chrétien.

Pour nous, aujourd'hui, cela signifie que nous ne pouvons pas faire partie de ce monde corrompu. C'est à dire que notre comportement doit être différent. Nous ne publions pas sur les réseaux sociaux les horreurs de ces horribles républicains. Nous ne publions pas sur Facebook aux sédémocrates sédibiraux. Ils sont une bande de maniacs. On se détache de ce monde. On ne parle pas de systèmes politiques. Et dans d'autres pays, c'est la même chose. On ne parle pas combien. Est-ce que telle partie politique, ou absolument dégoutant, et que les libéraux sont terribles, ce qui compte vraiment ? Est-ce que c'est cela que nous sommes devenus maintenant ? Est-ce que nous parlons de cela ?

Toute l'histoire et de ne pas nous étacher un côté. Parce que tous les côtés ont tort. Les deux côtés. Est-ce qu'on doit se soucier des conspiracies de théorie de le vaccin du coronavirus que c'est là ? La marque de la bête, je vais écrire ça sur les réseaux sociaux. On n'a pas à discuter.

Elle a parlé de toutes ces théories du complot. Ce n'est pas le gouvernement de Dieu. Ce n'est pas le système de Dieu. Quand on fait des jugements sur des choses dont on n'a pas tous les faits, on doit reconnaître d'abord que la voix de Dieu ne se concerne pas de légiférer de meilleures lois dans le système de l'homme. Ce n'est pas de la manière de Dieu ne consiste pas à voter des leaders politiques plus pieux que d'autres. Est-ce qu'il n'y en a aucun ? Pensez à ça.

Voyez-vous, au lieu de cela, c'est à propos de nous. Ce que la Bible dit, c'est à propos... La dit que nous devons vivre une vie spirituelle tellement remarquable que les os se sentent obligés d'apprendre sur la loi de Dieu. C'est à propos de nous, c'est à propos de nos commentaires, nos conversations, qui devraient finalement mener les gens à Dieu.

Les conversations ne devraient pas mener les gens à déconspirer la théorie de la conspiration ou à croire la même chose que nous, on croit sur nos opinions. On ne peut pas s'empêcher de me demander parfois est-ce qu'on a été distrait, est-ce qu'on a été éloigné du chemin lorsqu'on commence à vouloir imposer aux autres de croire la même chose que nous ? Voyez-vous, nous égarons nos énergies parce que nous devons croire à ce que Dieu dit. Est-ce que nous sommes vraiment attachés à Dieu et reconnaissons-nous que son système n'est pas le système de nous, de l'homme, que nous ne rentrons pas, nous ne rentrons pas dans aucun système du monde, à deux, trois parties.

Vous voyez, nous avons échoué, nous avons échoué si nous ne sommes pas un témoin fidèle et un exemple de la manière de Dieu, de vivre. Un vrai chrétien qui prend en charge toutes les voix de Dieu et qui ne se soucie pas de qui est responsable de cela et qui a fait cela, et qui sait qui adore, et qui sait à raison. C'est un appel à nous réengager dans la voix du Christ.

Notre nom dit même que nous ne sommes l'Église de Dieu. Nous sommes l'Église de Dieu, l'Églésia, qui signifie l'appeler. Ceux qui sont réunis ensemble, qui sommes appelés par Dieu, et réunis pour le servir, pour l'honorer, pour l'adorer, pour être un témoin de ce monde, de ce que c'est une voix différente. Que c'est une culture qui est en train de mourir autour de nous.

Et la salle réponse est trouvée par notre Seigneur Jésus Christ. C'était tout ! C'est la salle solution. Nous modelons la justice. Nous montrons que l'Église de Dieu donne la paix. Nous montrons que ce sont les bonnes vraies relations. Nous vivons une morale pieuse. Nous vivons cette morale. Nos mariages devraient être si forts et si sains.

Qui se soucie des relations malades de ce monde ? Parce que regarder de cette façon de vivre, ça fonctionne, ça vit. Nous demandons un souci pour les autres, un amour pour les autres. Nous devons parler, nous devons enseigner, nous devons prêcher et agir d'une manière qui brille ce phare de Jésus Christ dans le monde. C'est notre devoir. C'est notre vocation. Et ça doit être celui qui inspire les gens. Un exemple qui montre vraiment que nous ne sommes pas attachés au système politique de ce monde.

Nous ne sommes pas attachés au préjugé mondain. Nous ne sommes pas attachés à des conspirations, à toutes sortes de complots. Nous ne sommes même pas attachés à nos opinions personnelles. Nos opinions ne sont pas forcément la vérité. Nos opinions ne sont pas attachées à cette façon de vie, parce que nous reconnaissons que nous n'étions pas attachés à ce qui adore et qui a raison dans ce système d'âme. Ce n'est pas de cela dont nos conversations devraient avoir lieu. Au lieu de cela, nous nous déconnectons de ce monde périlleux. Nous soupirons et nous pleurons sur ce qui se passe dans notre monde d'aujourd'hui.

Il montre simplement que le péché, le matérialisme égocentrisse, la violence, le cynisme, la dépendance à la recherche et aux luxes, à la fierté, à l'autosuffisance, tout autour de nous. Mais cela devrait nous pousser à la compassion. Et cela devrait nous pousser à notre prochain, à servir nos communautés. On ne se déconnecte pas des gens, nous servons, nous montrer la lumière avec tous ceux avec qui on entre en contact. Donc on est vraiment connectés dans le sens de servir les gens et le monde qui est autour de moi. Mais nous montrons la différence entre ce qui est bien et mal, entre ce qui est propre et ce qui est impur, entre ce qui est bien et mal à nouveau.

Nous utilisons le pouvoir de Dieu pour choisir le bien.

Soumettez-vous au pouvoir de Dieu pour faire ce qui est pur et bien, maintenant. Maintenant, il y a de bonnes nouvelles. Il y a, je veux dire, les bonnes nouvelles, c'est qu'il n'y a pas l'importance aux toutes les mauvaises nouvelles. Peu importe ce qui s'est passé en 2020, ce qui s'est passé l'été dernier, peu importe ce qui s'est passé en novembre, peu importe ce qui s'est passé le 6 janvier, ce qui continue à se passer, on a reçu le pouvoir de Dieu. Nous sommes les enfants de Dieu, nous sommes différents, et nous pouvons nous accrocher en toute confiance aux précieuses promesses que Dieu nous a données. La responsabilité de Dieu est en contrôle. Il ne va nulle part. Et le Créateur de cet univers nous aime. Il se soucie de nous. En fait, il aime le monde. Et j'ai hâte qu'un meilleur moment soit établi ici, sur Terre. Et il veut que nous ayons tout ce qu'il y a de mieux dans cette vie, bien entendu. Et il nous donne une promesse incroyable. En fait, je vais regarder un autre verset dans Psalm 32 verset 8. Dieu nous donne une promesse immuable dans Psalm 32 verset 8.

C'est Dieu qui parle ici.

C'est Dieu qui parle ici. Il dit dans Psalm 32 verset 8. Il dit quelque chose de spécial, qui devrait nous donner la confiance et l'assurance dont nous avons besoin. C'est tant difficile. Dieu dit cela. Je t'instruirai. Et je te montrerai la voie que tu dois suivre. Je te conseillerai. J'aurai le regard sur toi. Voyez-vous, c'est Dieu qui dit ça. Et dans sa sagesse infinie, il promet de nous instruire. Est-ce que nous reconnaissons vraiment le pouvoir de cette promesse ? Dieu lui-même, le créateur, Dieu lui-même, garantit qu'il va nous instruire, qu'il va nous conduire, qu'il va enseigner chacun de nous directement. Bien sûr, pensez à Dieu, réfléchissez qu'il a cette sagesse infinie, qu'il sait tout depuis le début jusqu'à la fin. Et il dit que qu'est-ce qu'il promet de faire ? Qu'est-ce qu'il a fait un veut qu'il va être notre conseiller personnel ? Il va être notre entraîneur. Il va être notre instructeur, notre professeur et moi. Et nous avons mon... Il dit j'ai... J'ai mes regards sur toi. Il nous regarde, il fait attention à nous. C'est ça que ça veut dire au verset 8. Je le veux. Il dit, ce n'est pas une question. Il dit, je le ferai, je t'instruirai. Et je te montrerai la voie que tu dois suivre. Je te guiderai. Tu vois, en tant que... Voyez-vous, en tant que père aimant qui est notre conseiller, notre leader, le guide qui sera avec nous à chaque étape de la façon... Chaque étape, donc chaque minute de la journée. Et il dit, tu peux compter là-dessus.

Dieu n'oubliera jamais de nous guider. Il n'oubliera jamais d'avoir les regards sur nous. Pas une seconde se passera où j'en l'irai vrai, mais regarde-toi. Nous pouvons avoir cette assurance, cette confiance que lorsque nous nous soumettons à l'esprit de Dieu, il nous promet le meilleur résultat. Et nous pouvons réussir sous le vigilant de Dieu.

Alors, soyons de bons étudiants. Apprenons de Dieu. Peut-être même gagner une maîtrise ou un doctorat dans les matières divines. Afin que nous puissions vraiment apprendre à discerner entre le bien et le mal. Discerner ce que nos conversations devraient être. Discerner ce que afin que nos pensées peuvent réfléter à la voix divine. L'esprit de Dieu, nous pouvons filtrer la vie et ce qui arrive autour de nous avec la parole de Dieu. Afin que nous nous détachons émotionnellement des choses qui se passent dans ce monde. Que nous nous détachons et que nous nous attachons à Lui. Et quand cela arrive, nous sortirons du monde. Nous ne toucherons pas la chose impure.

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