Atonement jubilee

Quel est le concept biblique du Jubilé, et comment ce concept historique nous affecte-il aujourd'hui ? Pourquoi le jubilé avait-il lieu le Jour des Expiations, et quel est l'objectif de Dieu en la matière ? Contient-il une signification spirituelle pour nous aujourd'hui ?

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Nous sommes sur du jour qui est un précurseur avant la fête des Tabernacs. C'est un grand jour, la fête des Espiations, et l'une de ces occasions que nous avons vraiment rentré dans la parole de Dieu avec différentes facettes, beaucoup de symbolisme dans la fête des Espiations. Si quelqu'un vous demandait quel est le but de la fête des Espiations ? Si vous y pensez dans le contexte de l'Ancien Testament, pourquoi Dieu leur a-t-il donné le jour des Espiations ? En réfléchissant, ce qui vous vient probablement à l'esprit, c'est le souverain sacrificateur et le temple. C'était un point central du jour des Espiations. Fait de consacrer le temple, de le rendre sain, de le nettoyer, et le souverain sacrificateur se rentrait dans le Saint-Déceint juste une fois par an pour consacrer le temple et aussi pour le peuple, pour faire des sacrifices, pour que leur péché puisse être couvert.

Il y avait un moyen que Dieu avait créé, avait fait pour que les péchés du peuple soient couverts le jour des Espiations et le grand sacrifice était fait.

Bien sûr, nous reconnaissons cela dans une grande partie de l'évitique, mais nous n'allons pas à si revenir cet après-midi. Je vais détailler toutes les activités qui ont eu lieu le jour des Espiations. Il y avait les boucs, le Seigneur, le Brasazel et cela montre que Dieu avait mis ce péché sur celui qui représentait Jésus Christ. Et finalement, Satan a un rôle à jouer, comme nous l'avons, comme nous l'entendons, symbolisant l'antityp, quand Jésus Christ reviendra et qu'un ange alors mettra Satan dans la bime. Ce jour symbolise cela, en fin de compte, lorsque son influence sur ce monde sera supprimée. Nous avons ce symbolisme étonnant derrière ces activités qui ont eu lieu dans l'ancien Testament.

Spirituellement, nous reconnaissons que c'est un jour très important. Nous reconnaissons que ce fut une journée de réconciliation. Le jour des Espiations, dans un sens, représente un jour de pardon, un jour de restauration, un jour où on oublie les fautes des autres, on les pardonne. Celui qui a un grand cygrancibolisme veut dire que les relations seront différentes. Les relations ne vont être restaurées. Et la relation la plus importante qui doit être restaurée, la relation entre Dieu et l'humanité. Le besoin qui existe va être souligné dans le cymbolisme de ce jour. Cela représente cette époque où nous pouvons réellement être unis avec Dieu. Nous pouvons avoir une relation entre l'homme et son créateur, le Dieu Tout-Puissant, tout omniscient que nous avons représenté par Jésus Christ, notre Sauveur.

Et en faisant cela, nous voyons que nous pouvons entrer dans le Saint-Déceint. Nous pouvons entrer dans la présence de Dieu par notre Sauveur, Jésus Christ. Nous pouvons être restaurés, pas un jour dans le futur, mais maintenant. En ce moment, nous avons cette chance d'être dans une bonne relation avec Dieu. En fait, le jour des expiations porte toutes ces facettes, de signification et bien d'autres. Si vous voulez bien vous reporter avec moi à l'Evitique 23, l'Evitique 23, où on nous dit que c'est un jour de fête. Toutes les fêtes qui sont mentionnées dans l'Evitique 23 sont les fêtes du Seigneur. Ce sont les Siennes. Dans l'Evitique 23, vers C-26, nous voyons un passage qui discute du jour des expiations.

L'éternel parle à Moïse et dit, ce sont des choses qui faisaient partie d'une ancienne alliance, mais ce ne sont pas juste ça. Ce sont des choses qui représentent tellement plus pour nous que ce que les anciens et les Israélites pouvaient voir à l'époque. Au vers C-26 de l'Evitique 23, vers C-27, le dixième jour de ce 7e mois, ce sera le jour des expiations.

Selon le caractère de Dieu, c'est aujourd'hui. Nous avons une réunion sacrée, une occasion de nous réunir, de louer, d'adorer Dieu. Il dit, vous aurez une 5 convocations, vous humilerez vos âmes et vous offrirez à l'éternel des sacrifices consommés par le feu. Nous examinons ce verset et on fait cela à notre époque moderne. On se réunit pour avoir une 5 convocations, pour l'adorer, pour le louer. Nous affligeons aussi nos âmes, ce qui veut dire que nous, genons, ne prenons ni haut ni peint. C'est un jour de fête solennelle. En fait, il est dit que tout au long du verset, ce sera un saba de repos solennelle et vous affligeriez vos âmes.

Toutes personnes qui feront... c'est du vendredi soir au samedi, que les saba ont lieu, nous genons, du vendredi soir au samedi soir, pendant l'année, cette année, c'est un mardi soir. Probablement ce sont des choses qui vous viennent à l'esprit lorsque vous pensez au jour des expiations. Pourtant, il y a un autre aspect, dont je voudrais parler aujourd'hui. Si vous tournez à la page 25, à l'Evitique 25, au chapitre 25, il y a un aspect critique du jour des expiations. Il y a des vitiques 25 verset 8, qui donnent des instructions additionnelles concernant ce jour.

Remarquez ce qu'Israël devait faire, au verset 8. Les vitiques 25 verset 8. Tu conteras 7 saba d'années, 7 fois par année, et les jours de ces 7 saba d'années feront 49 ans. Ils donnent des instructions très spécifiques, et ils leur donnent des instructions concernant compter vers quelque chose d'important.

Le 10e jour du 7e mois, tu feras retomper, retentir les sons éclatants de la trompette le jour des expiations, vous sonnerai de la trompette dans tout votre pays. Donc, le jour des expiations, après 49 ans, la trompette devait sonner. Le chauffard, la yovel, c'était une trompette spécifique. C'était des cornes, en fait, ce qui était commémoré par le fait de... il commémorait cette année bien spéciale.

Et si vous regardez dans la version 2, la Bible, c'est traduit par jubilum, jubilès, en latin, qui est... cela ressemble à jubilé, ce n'est pas célébré, d'être jubilant, d'exalter, d'être surtout béni. Particulièrement béni. Vous vous demandez comment le monde... comment on est supposé affliger nos enfants, comment on est supposé affliger notre âme en se passant de nourriture et d'eau. Comment cela est-il lié au jubilès ? Parce que c'est censé être un jour solennel, un repos solennel. Et pourtant Dieu connecte le fait... la jubilation, la joie, la réjouissance.

Quel est le concept biblique du jubilès ? Et comment ce contexte historique nous affecte-t-il ? Pourquoi est-ce important pour nous aujourd'hui ? Je veux dire, il y a très longtemps, la loi du jubilès, n'est-ce pas ? Comment est-ce que cela peut nous affecter aujourd'hui, en ce jour des expiations ? Pourquoi est-ce que 50 était-il si spécial ? Pourquoi est-ce que le jubilès a-t-il eu lieu le jour des expiations ? Et quel est le dessin de Dieu derrière cela ?

Est-ce qu'il y a une signification spirituelle pour nous aujourd'hui ? La fléchissante est-ce que nous considérons 4 points concernant le jubilès de l'expiation. Point numéro 1. La liberté. Le jubilès a souligné la liberté. Il devait y avoir la liberté pour tous. Si vous regardez à nouveau vers ces 9, il dit alors, alors tu feras sonner la trompette. La trompette sonnera. Faites le connaître dans tout votre pays. Donc ça a commencé avec un appel de la trompette. Le son du chauffard, la corne du bélier. Et nous reconnaissons que cela a une signification énorme prophétiquement.

Au retour du crise, la trompette va sonner. Et tous les nations de ce monde deviendront les nations de Dieu. Le royaume de Dieu sera établi. Et finalement, se dont un corintien 15 parle, comment sera-t-il à se produire ? Si vous voulez retenir votre place, reportez-vous à l'évitique 21.

Reportez-vous à un corintien 15 en tenant votre place à l'évitique. Un corintien 15, 50 et 1. Un corintien 15 verset 51. Remarquez au verset 51. Voici, je vous dis un mystère. Nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés. En un instant, en un clin d'œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles. Et nous, nous serons changés, car il faut que ce corps corruptible revête l'incorruptibilité, et que ce corps mortel revête les mortalités. Tous ceux qui sont en Christ, morts ou vivants, à cette trompette, seront ressuscités.

Le son retentira dans le monde entier. Tout le monde reconnaîtra que la vie a changé, que Jésus Christ est de retour. Et tous les habitants du pays seront forcés de reconnaître que les choses vont être différentes. C'est exactement ce qui se passait pendant l'année du Jubilée. Si vous voulez revenir à l'éviteque 25 où nous étions, l'éviteque 25 verset 10, ici, on leur dit physiquement de consacrer et de proclamer la liberté dans tout le pays.

Pour tous ces habitants, ce sera pour vous le Jubilée. Chacun de vous retournera dans sa propriété, et chacun de vous retournera dans sa famille. Non seulement le monde pouvait retourner, ça impactait tout le monde, parce que le Jubilée donnait la liberté à tout le monde de façon différente, mais 50 est devenu si critique. Le son du chauffard annonçait le Jubilée.

L'antitype spirituellement donne la liberté à tout le monde, à toute l'humanité. Quelques passages de ce que cela signifiait pour eux. Cela, ce que ça voulait dire pour eux, si vous descendez au verset 47, ils parlent également de l'étranger qui était dans leur porte.

Même un voyageur qui était touché par cela, ou un étranger qui passait, pouvait être impacté par le Jubilée. Si il était parmi du peuple et qu'il faisait partie des pauvres, il s'était vendu à quelqu'un proche de toi, un membre de la famille. Il est dit, après avoir été vendu, il peut être racheté à nouveau. L'un de ses frères peuvent le racheter. En d'autres termes, ce n'était pas une situation permanente. Quand quelqu'un s'en détestait, la terre était vendue. Ce n'est pas destiné à rester ainsi.

Pensez-y pour nous, cette société dans ce monde n'est pas destinée à rester comme cela. L'humanité ne sait pas comment se gouverner. Elle ne connaît pas le chemin de la prospérité, de la paix, de la vraie liberté, de la paix. Dieu n'avait jamais eu l'intention que ce système reste intact. Il doit être remplacé. La liberté viendra à travers le Jubilée, à travers le son de la trompette. C'est un cadeau. Le Pâme n'a pas gagné le droit d'être acheté.

Les gens n'avaient pas gagné ce droit pour que leur terre le soit rendue. Ils ne le méritaient pas peut-être. Ils avaient pris des mauvaises décisions et c'était en été. Ce concept de liberté dans le Jubilée, ce n'était pas un droit. C'est un don au pécheur, pas un droit à ceux qui le méritent.

Cela accomplit cet antityp de ce que Christ accomplira dans le Jubilée ultime. Reportez-vous maintenant à Jan 8, 38. Nous reviendrons à l'élitique, mais pour le moment, Jan 8, 38. Nous voyons une connexion du Jubilée de l'expiation avec Jésus Christ. Remarquez l'impact de la liberté dans les enseignements du Christ en Jan 8, 31. Jésus dit, parlait ainsi plusieurs crues en lui. Il leur dit si, si vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira. Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment médiciples. Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous affranchira vers Jan 32. Il leur répondit, nous sommes la postérité d'Abraham. Nous n'avons jamais été esclaves. Qu'est-ce que tu veux dire ? Où sera libéré ? Jésus répond. En vérité, en vérité.

Je me dis que c'est quelque chose de critique que je vais dire ici. Je vais vous dire quelque chose de très important. Quand il disait en vérité, en vérité, je vous le dis, c'était cela qui voulait dire. Et il est dit que, quiconque se livre au péché, est esclave du péché. L'esclave ne demeure pas toujours dans la maison. Le fils, il demeure toujours.

Si donc le fils vous affranchit, vous serez réellement libre. Alors que nous pensons à cela par rapport aux expiations, nos péchés doivent être expiés. Ils doivent y avoir une réconciliation. Ils doivent y avoir une rédemption. Et nous ne pouvons pas gagner cette rédemption. Nous avons un sauveur. Nous avons le Christ. Malgré le fait que nous étions autrefois esclaves du péché, par lui, nous sommes maintenant libres. Grâce aux jubilés ultimes, nous pouvons être pardonnés. Dans l'Ancien Testament, ce jubilé parlait de l'annuation de dettes physiques. Ils pouvaient revenir dans leur propriété ancestrale. S'il l'avait perdu. Spirituellement parlant, tout péché est une dette. Nous devons la dette du péché à Dieu, nous devons notre vie à Dieu. Mais on ne peut pas nous racheter nous-mêmes. Le seul qui pouvait le faire, c'était Jésus Christ. Il a même enseigné cela dans cette prière modèle. Matthieu 6, souvenez-vous, pardonne-nous nos dettes comme nous. Pardonne-nous nos péchés. Le mot est identique. Pêcher et dette, c'est le même concept, spirituellement parlant. Nous reconnaissons que nous sommes libérés du péché. Mais si on s'arrête là, je pense qu'on passe à côté de quelque chose de très important. Avez-vous déjà considéré que nous avons la liberté de quelque chose ? Mais qu'en est-il de la liberté d'aller vers quelque chose ? La liberté de quoi ? On est libre de quoi ? Qu'est-ce que l'expiation ? Qu'est-ce que c'est le jubilé, une liberté de faire quoi ? Bien sûr, nous sommes reconnaissants d'être libérés du péché, de la société autour de nous, libérés des mots de ce monde, libérés de nos propres prêchés grâce aux sacrifices de Christ. Oui, c'est important et c'est essentiel. Nous avons été libérés de ces choses. Mais si la seule chose que nous voyons, c'est une compréhension assez superficielle, parce qu'on nous a aussi donné la liberté d'aller faire quelque chose avec ça, et que nous avons aussi pensé à cela dans le contexte du jubilé. Il s'agissait d'une célébration, il s'agissait d'une fête, de la joie, de la liberté. Et où est-ce que cela nous amène ? C'est la liberté d'adorer Dieu, la liberté d'obéir à Dieu, la liberté de le suivre, la liberté de recommencer. Qu'est-ce que quelqu'un a besoin de nouveau départ, d'appuyer le bouton pour réinitialiser votre vie ? Il s'agissait, le jubilé était une réinitialisation de la société au niveau commercial à l'époque. Si vous avez une carte de crédit, imaginez que la dette est payée, tout est oublié. Vous pouvez vous sourire de cela, imaginez ce scénario. Je veux dire qu'aujourd'hui, qui sait qu'au répart d'un jubilé, ce reste possible ? Quand on nous donne la liberté d'obéir à Dieu, la liberté de recommencer, quand nous allons devant Dieu et nous demandons pardon pour nos péchés, quelle formidable bénédiction cela est ? En fait, si vous réfléchissez en termes de l'ancien testament, qui a vécu mille et toutes ces terres au fil des décennies, soudainement confrontés au jubilé, quelle devait être sa compréhension pour rendre cette terre assez propriétaire d'origine ? Comment comprendreait-il le jubilé ? En serait-il fâché en colère ? Je ne trouve pas dans les écritures. On dit que ça devait être un jubilé pour tous les habitants du pays, même celui qui a accumulé des richesses. C'est plutôt intéressant d'y penser en ces termes.

Si vous y pensez par extension aujourd'hui, que devons-nous être collectivement ? Quand on pense collectivement au peuple de Dieu en tant qu'église de Dieu, il y a aussi un lien avec le jubilé, avec la liberté, parce que nous devons être un phare de liberté pour ce monde. L'église, quand les gens viennent, les gens viennent. L'église, comme que les appellent et qu'ils répondent à cet appel, qu'ils franchissent cette porte, cela devrait être une libération du monde, qui est autour de nous. Nous devrions être un peuple différent du monde extérieur, que les gens qui viennent à l'église viennent vers quelque chose de sain. Dans ce monde, c'est vraiment un bazar. C'est le fouillis, c'est la confusion. Les gens qui viennent, devraient entendre et ressentir la liberté, en venant dans l'église. La liberté que nous gagnons nous permet de devenir un esclave de Christ. Et cela équivaut à une véritable liberté. Le monde ne comprend pas cela, mais c'est cela dont il s'agit. Je pense que tout d'abord, l'expiration et le jubilé représentent la liberté. Mon point numéro 2, c'est que le jubilé était comme une ancre dans la société. L'ancre de leur économie, de la société, c'était la terre. Les terrains étaient rendus à leur propriétaire original, si quelque chose était arrivé au cours des générations qui leur avaient fait perdre leur terre. Quelle était la base de leur société ? C'était l'agriculture et les troupeaux. C'était ce que la terre leur donnerait, ce que la terre produirait. Quand vous lisez ces sections un peu ennuyeuses du livre de Josué, je dis cela parce que j'en saigne cela à la Bécée. Parfois, il y a des endroits longs à lire. Quand vous lisez toutes les terres qui sont données aux différents tribus, aux différents clans et qui a reçu quoi ? C'est très précis. Les familles de cela recevaient aussi la famille. Lorsque vous lisez ces sections qui ne sont peut-être pas les plus stimulantes, parfois, ce qui en ressort, c'est que Dieu leur a donné cette terre. À chaque famille, il ne le méritait pas, mais Dieu leur a donné. Et il s'est assuré que chaque famille israélite ait une terre, et des terrains sur lesquels ils pouvaient survivre, grandir et prospérer. Leurs troupeaux seraient nourris, leurs récoltes pourraient pousser. Maintenant, le défi était que se passe-t-il s'ils devenaient indigents ? Que se passe-t-il s'ils prenaient de mauvaises décisions et perdaient leur terre ? Devaient-ils la vendre ? Bien voyez-vous, quand on y repense, ces gens pour survivre, il fallait qu'ils aient des terres. La terre était la vie. Et au jubilé, si ils avaient perdu leur terre au cours des 49 années passées, c'était le moment où elles revenaient à la famille. On a parlé dans les vitiques 25. Si vous voulez revenir à cela, verset 13, décris le scénario de ce qui se passait pendant le jubilé. Dans cette année de jubilé, chacun de vous retournera dans sa propriété. Dieu leur avait donné. Maintenant, il leur appartient toujours. Il n'avait pas l'intention qu'il perd de tout. Cela est très différent de notre façon moderne de penser. Vous achetez une maison, ce qui n'a pas d'importance, qui est ce qu'il a possédé avant. C'est à moi maintenant, pour nos états d'esprit occidentaux. C'est un petit peu difficile à comprendre cette mentalité. Mais c'est ce que Dieu leur avait dit. Si vous vendez à votre prochain, ou si vous achetez de votre prochain, aucun de vous ne trompe son frère. C'est aussi une façon américaine de faire les choses. On trompe son prochain quand on vend quelque chose. Tu achèteras de ton prochain en comptant les années depuis le jubilé. Et il te vendra en comptant les années de rapport.

Si plus il y aura d'années, plus tu élèveras le prix, et moins il y aura d'années, plus tu le réduiras. Car c'est le nombre des récoltes qu'il te vend. Aucun de vous ne tromperas son prochain et tu craindras ton Dieu. Car je suis l'éternel, votre Dieu. Nous voyons que la valeur du terrain était déterminée. Pas par combien la valeur de la propriété avait augmenté, comme c'est dans notre monde aujourd'hui, les propriétés foncières sont à la hausse. Pourquoi ? Personne ne le sait. Parce que les gens sont prêts à payer plus. On ne sait pas, on n'a pas de récession, c'est super. Alors les prix des maisons vont augmenter et baser sur ce que quelqu'un est désireux de payer. Ce n'est pas le système de Dieu. Le système de Dieu n'était pas sur la terre elle-même. C'était connecté sur les moissons, les récoltes. C'était les récoltes qui leur permettaient de vivre. Ce qui était vraiment vendu n'était pas la terre, c'était les récoltes pendant ce temps-là. Les récoltes jusqu'au prochain jubilé. Donc dans un sens, c'était un bail foncier.

Il louait ce terrain jusqu'au prochain jubilé, puis il revenait à son propriétaire. Parler d'équité, parler de justice. Ça c'est juste, personne ne sera trompé. Si je te paye ce que tu... ou si tu me payes, je peux... Si tu es prêt à payer beaucoup plus pour ma maison, ok je te le vends. C'est la manière américaine de faire les choses, n'est-ce pas ? Ce n'est pas la façon divine de faire les choses. Pendant ce temps, c'est un système éguitable. En fait, c'est incroyable. Pendant ce temps, si vous regardez bien, il ne devait pas se mêner ni récolter. Pendant cette période, il n'y avait pas de plantations pendant le jubilé. Pas de récoltes pendant cette période. Aussi une bénélection pour reposer les animaux. Vous pouvez vous animer les animaux de la ferme. Il n'avait pas besoin de se reposer. Il n'avait pas besoin de travailler. Si vous vous proposez aussi, nous voyons que cette tanque de la Terre était quelque chose qui gardait Israël en sécurité. Regardez au verset 18. Mettez-les loin en pratique. Observez mes ordonnances. Mettez-les en pratique et vous habitez en sécurité dans le pays. Le pays donnera ses fruits et vous mangeraient à la société. Et vous y habitez en sécurité. Si vous vous demandez... Et si je ne suis pas supposée planter 7e année, 50e année, qu'est-ce qu'on va manger ? Puisque nous ne s'aimons pas, nous ferons pas de récolte.

Dieu le répond verset 21. Je vous accorderai ma bénédiction la 6e année. Et elle donnera des produits pour 3 ans. Vous sèmerai la 8e année et vous mangeraiez de l'ancienne récolte jusqu'à la 9e année. Jusqu'à la nouvelle récolte, vous mangeriez de l'ancienne. Imaginez, l'année 48, ça devait être une portion triple pour les porter pendant 2 ans. Quand la Terre était en jachère, quand les récoltes n'avaient pas lieu. Mais Dieu dit, fais-moi confiance. Parce que je ne vais non seulement... J'aime beaucoup commencer à le parler. Je ne vais pas simplement vous protéger. Je vais le commander. En anglais, il dit, je commanderai les bénédictions.

En anglais, en français, il dit, je vous casse accorderai ma bénédiction. En anglais, il dit, je commanderai ma bénédiction d'avoir lieu. Autrement dit, il y a un engagement ferme de la part de Dieu. Qui exige que nous lui faisaient confiance. Que la Terre n'était pas même le vrai Ancre. C'était Dieu, en fait. C'était Dieu qui travaillait à travers cette propriété de la Terre. C'était un moment de réjouissance que Dieu a commandé cette triple bénédiction qui devait avoir lieu. Quand nous considérons l'antityp de cela, je pense que nous pouvons dire que quelles que soient nos circonstances, quelles que soient nos difficultés, si nous faisons confiance, si nous obéissons à Dieu, que nous mettons en pratique sa parole, nous vivons sa façon, son mode de vie, comment devra une bénédiction ? Il nous accordera. Ça ne peut pas dire que toutes nos dettes seront payées. Il y a des conséquences pour nos actions, pour la façon dont nous gérons nos finances, mais il répondra à nos besoins. Il s'occupera de nous. Aujourd'hui, nous ne pouvons pas rendre les propriétés à leurs propriétaires, mais pensez à ce concept différemment. Qu'est-ce que c'est qui doit revenir à son propriétaire d'origine pour nous ?

Pensez-y différemment. Qui m'appartient ? Dieu me possède. Je lui appartient. Est-ce que j'ai remis ma vie à Dieu ? Il est mon propriétaire d'origine. Ma carrière, ma famille, mes affaires, ma maison, tout mes trucs que j'ai. Est-ce que je le possède vraiment ?

Vous n'avez jamais rencontré quelqu'un qui peut l'emmener tous leurs trucs dans la tombe avec eux ? Vous voyez, le jubiler, l'expiration pour nous est un si grand rappel que nous avons été rendus à notre propriétaire d'origine. Nous ne sommes plus de ce monde, nous ne sommes plus de ces modes de vie. Nous sommes fils et filles de Dieu. Dieu nous considère comme si nous étions ça maintenant, ces fils et ces fils. Si nous avons en nous le Saint-Esprit, nous appartenons à Dieu, il nous possède. Et donc l'expiration soulève cette question. Sommes-nous un fidèle, un tendant de ce que Dieu possède ? Nous sommes les propriétaires temporaires de tout ce que nous avons, mais girons-nous. Nous sommes de bons entendants pour le royaume. Et illustrons-nous ce que cela signifie d'être la propriété de Dieu. Est-il vraiment le Seigneur de notre vie ? Est-il vraiment celui qui est notre ancre ? L'expiration nous pose cette question. Cela nous amène au numéro 3. Mon point numéro 3, le jubilé des expirations signifie aussi arrêter. Arrêter. Pour l'ancienne Israël, c'était arrêter de travailler, arrêter de planter. Pour eux aussi, c'était arrêter de manger. Ne mangez pas. Pour nous aussi. Aujourd'hui, je pourrais vous dire arrêter de bailler et réveiller-vous. Ce qu'il fallait arrêter ici, c'est que la terre était laissée vite. Elle était en jachère. La terre devait se reposer ainsi. Elle ne devait pas être domestiquée en quelque sorte. La terre était laissée. Les choses devaient pousser normalement pour se reposer. Ils devaient, eux, compter sur Dieu. Qu'en est-il de nous ? Sur quoi comptez-vous ? J'ai mes capacités, mes talons, mes dons. Mes dons, je peux subvenir à mes besoins, assez bien.

Est-ce que nous comptons sur notre propre force, notre propre pouvoir, nos propres emplois ? Est-ce que notre indépendance ? Vous voyez, l'expiation du jubilé leur disait que vous ne pouvez pas compter sur le terrain, sur le brouhécote. Vous êtes forcés de compter sur Dieu.

Quand Dieu nous appelle et ouvre notre esprit à sa vérité, nous devons compter sur Dieu. On doit arrêter de compter sur nos propres moyens, nos propres talents, nos propres capacités et notre foi. Et l'appel qui nous a été donné, vraiment, devait être comme une terre. Que se passait-il pendant ce temps-là ? La terre devenait sauvage.

Les choses grandissaient de façon sauvage, pas fou, mais comme la nature sauvage. Il fallait laisser, aller, ces choses qui nous retiennent, ces choses qui nous pèsent. Et bibliquement, spirituellement parlons, grandissaient spirituellement, à la manière de Dieu. Je pense que l'expiation a un accent là-dessus. Parce que parfois, nous essayons de trouver une relation confortable, domestiquée avec Dieu. Que nous avons les choses en ordre. Et vous savez Dieu a un joli petit endroit là où je le mets là dans ma vie, sur cet étagère. J'ai Dieu ici à côté, j'aime Dieu. Dieu ne veut pas être domestiqué. Il veut que nous l'aimions à plein. C'est ce qu'il veut pour nous. Il veut grandir à la plainte dans notre vie, sans être arrêté, sans être domestiqué. L'expiation nous rappelle que Dieu ne veut pas être en arrière de notre vie. Il ne veut pas que nous ayons nos affaires, notre maison, notre avare, notre carrière. Nous avons tout notre tas de trucs. Et nous mettons un petit peu de crème fouettée sur le dessus. Et c'est Dieu. Voilà, Dieu c'est la crème fouettée dessus. Ce n'est pas ce qu'il veut. Il dit, je ne veux pas être la crème fouettée sur le dessus de votre vie. Je ne veux pas être à la deuxième place. Les expiations nous rappellent que tout dépend de Dieu. Parce que si nous ne mangeons pas demain, aujourd'hui et le jour après, etc. Qu'est-ce qui va s'arriver ? Nous allons mourir. Que se passe-t-il si nous faisons la même chose à Dieu spirituellement ? Si nous ne participerons pas à Dieu, si nous ne permettons pas à Dieu, dans la spiritualité de courir librement dans notre vie, si nous ne parlons pas journalement, nous allons mourir spirituellement. Nous n'allons pas y arriver. Dieu nous indique de cette façon qu'il n'est pas en deuxième place. Il doit être en premier. Et donc nous aussi, nous devons permettre à cette fois de grandir, de grandir dans notre vie, et ne pas la retenir de quelque façon. Dans Isaïe 40, verset 28, parle de cette chose même. Le concept étonnant ici, que Dieu sait comme ça que ça doit être, je ne prends pas la deuxième place. Mais si tu me mets là, si tu me mets en deuxième place, d'accord, c'est là où je vais, parce que Dieu nous donne le choix. Il nous donne l'opportunité de le mettre là où nous voulons, dans notre vie, soit pour le bien, soit finalement pour le mal.

Et ainsi, il nous donne le choix. Dans Isaïe, il est question de ça. Dans Isaïe 40, verset 28, il met l'accent là-dessus. Isaïe 40, verset 28. 40, verset 28. Ne le sais-tu pas ? Ne la tue pas appris, c'est le Dieu d'éternité l'éternel qui a créé l'éxtrémité de la terre. Il ne se fatigue point et ne se lasse point. On ne peut sonder son intelligence. Il donne de la force à celui qui est fatigué et il augmente la vigueur de celui qui tombe en défaillance.

Pour nous, c'est vrai, spirituellement parlant. Les adolescents se fatiguent et se lasent. Et les jeunes hommes chancèlent, mais ceux qui se confient en éternel renouvellent leur force. Ils prennent leur vol comme les ailes. Ils courent et ne se lasent point. Ils marchent et ne se fatiguent point. Ainsi, nous attendons. Nous comptons sur Dieu. Comptez sur Dieu ne veut pas dire simplement se tourner les pouces en attendant qu'il revienne. Ce que je veux dire, c'est que j'ai de l'espoir. J'ai hâte qu'il vienne. Je m'y attends. Et dans ma vie, mon exemple, ma façon de vivre illustre cette pensée, mon caractère illustre cette pensée que je suis, j'attends et je cours spirituellement en parlant. Même si la récolte n'a pas été plantée, cette année, je ne deviens pas faible. Je compte sur lui complètement. J'ai l'opportunité de choisir et d'être vraiment fortifié par Dieu et de ne pas le tenir à bout de bras. Nous pouvons donc choisir. C'est maintenant qu'il faut commencer à le faire. Je peux choisir de donner, de vraiment donner. Je peux choisir d'aider, de vraiment donner. Je peux choisir de servir, non parce que les gens me remarquent, mais parce que c'est ce que je suis. Je suis un servant et je suis un serviteur et je choisis parce que j'attends le retour de Seigneur avec impatience. Je choisis de changer mon caractère. Je choisis de nonner entièrement chaque partie de ma vie à Dieu, non pas simplement des petites choses ici et là qu'on choisit parmi ceux qui nous plaident en sa loi. Il nous fortifie, il nous soutient. Quand nous sortons de ce genre de choix, il n'y a aucun doute Dieu nous donnera de la croissance. Je pense qu'une partie de ce concept d'arrêter signifie aussi que Dieu n'en a pas encore fini avec nous parce que je sais que nous pouvons prendre du recul et regarder toutes les choses négatives dans notre vie. Voir là où on n'est pas à la hauteur, là où on est un pécheur. Et peut-être, c'est vrai, ça peut être décourageant. Mais c'est le jubilé. Dieu ne veut pas qu'on reste découragé. Je pense qu'arrêter veut dire Dieu n'est pas fini avec moi. Il n'a pas fini. Il les travaille encore avec moi. Ne se n'est-il pas content que Dieu n'ait pas comme un appareil photo où il nous dit que c'est comme ça qu'ils sont. Et puis ça reste comme ça. C'est eux et ça ne changera jamais. Voyez-vous. Dieu est dans la vidéo. Dieu est dans la vidéo. Il veut des résultats.

Dieu prend des vidéos. Il ne prend pas des photos qui nous fichent dans un moment instantané de notre vie, dans un moment où on a peut-être péché de façon terrible. En ce moment-là, pour lui, c'est une vidéo parce qu'il sait que nous pouvons changer. Ce n'est pas un moment arrêté dans le temps. Il sait que nous pouvons changer et grandir. Donc il prend une vidéo de nous. Pas une photo. Il nous rappelle que Dieu veut être notre Dieu. Nous avons entendu parler du Fils Prodigre. Si vous pouvez prendre une photo du Fils Prodigre, alors qu'il est là en train de manger avec les cochons, qui n'a rien à lui, il n'a pas appelé à rester là où nous sommes. Ah, tu vas être avec les cochons parce que c'est comment tuer. C'est comme ça que tu es. Dieu nous rappelle le jour du Jésus qui nous libère de nos dettes.

Il nous ramène à une bonne relaxation quand nous pouvons venir vers lui et nous demandons pardon et il nous pardonne. Et la vidéo continue. Nous pouvons changer. Nous pouvons nous reprendre. Parfois, nous sommes coupables de prendre un instantané de nous-mêmes. Et c'est la seule façon que nous nous voyons. Nous nous voyons là-bas, dans la boue avec les cochons.

Mais les jubilés nous rappellent que Dieu ne veut pas qu'on se voie comme ça, nous non plus.

Parce qu'il nous a donné la liberté du pardon de la réconciliation avec lui.

Et quand nous pensons à ces certaines choses sur nous-mêmes, nous limitons Dieu pour nous libérer pleinement. Nous ne leissons pas Dieu nous libérer de ce que nous pourrions être pour ce que nous pourrions devenir.

Vous voyez, nous étions ces choses, mais Dieu nous voit.

Dieu voit ce que nous pouvons devenir.

Et il nous a, comme la terre, libérés.

Je pense qu'il y a aussi une autre petite facette de cette idée d'arrêter. C'est l'idée de repos. Dieu voulait que la terre se repose. Vous savez qu'est-ce que le Christ a dit ? Venez à moi, vous qui êtes chargés.

Qui portaient des fardos lourds.

Et dans notre version du 20e siècle, vous qui êtes chargés, je vous donnerai tant de choses à faire. Des affaires sans fin, une vie effrénée, toujours occupée, des problèmes à câblant. Ouais, c'est notre monde.

Mais il dit, venez à moi, et je vous donnerai du repos.

Je te donnerai un tout autre état d'esprit. Quand nous sommes fatigués, quand nous portons un fardeau, vous savez le jubilé est juste ici à l'horizon.

Nous sommes accablés par le péché. Et quand vous pensez à ce que le Christ nous apporte, il dit, venez à moi, et je vous donnerai du repos. J'appuyerai sur le bouton de réinitialisation.

Je suis comme cet oasis dans le désert, avec quoi vous pouvez boire. L'espiration nous rappelle de cela. Oui, il faut s'arrêter, il faut arrêter de travailler. Nous sommes réunis, nous nous réunissons. Mais la plantation et la récolte comme l'ancien Israël, il y a toute une autre perspective. Il y a un nouveau départ et une dépendance complète de Dieu qui dit que nous pouvons lui faire confiance. Quel que soit les circonstances de notre vie, quelle bénédiction pour le jubilé de l'espiration. Très bien. Mon point numéro 4, maintenant, le point numéro 4 est le timing.

Le jubilé a eu lieu à un moment bien précis. C'était cette cinquantième année. Il y a un lien entre le message du jubilé et un autre moment très spécifique qui arrive également dans un timing parfait, celui du retour du Christ.

Le jubilé et l'avenue du Messie sont liés très prochemment.

Retournez à l'évitig 25. Cette fois, c'est l'évitig 25 verset 25.

Remarquez les connexions qui sont faites ici en pensant au jubilé. Gardez cela à l'esprit pendant que nous lisons le verset 25 et nous descendrons verset 28. Si ton frère devient pauvre et vend une portion de sa propriété, celui qui a le droit de rachat, son plus proche parent, viendra et rachetera ce qu'a vendu son frère. Si un homme n'a personne qui est le droit de rachat et qu'il se procure lui-même de quoi faire son rachat, il comptera les années depuis sa vente, et se tuera le surplus à l'acquérure et retournera dans sa propriété. L'homme pense à cela. Quelqu'un est destitu et pourra racheter ses années de... et si c'est sa dette qu'il a mis dans cette situation de mauvaises décisions, quoique qu'il en soit qui l'aie amené à ce point, ça pouvait être restauré. Nous en venons au fait que même si personne ne pouvait le racheter, sa propriété, il est destitu. Le verset 28 donne le moyen par lequel il pourrait être restitué. Si il ne peut pas le faire, si il ne trouve pas de quoi lui faire cette restitution, ce qui l'a vendu resterait entre les mains de l'acquérure jusqu'à l'année du jubilé. Et au jubilé, il retournera dans sa propriété et l'acquérure en sortira. Pensez à cela au sens spirituel. Si nous y pensons spirituellement, nous sommes vendus au péché. Qu'arrive-t-il finalement à cette dernière trompette ? Les morts en Christ sont ressuscités. Ils deviennent des êtres spirituels. Ils sont finalement rachetés par leur frère, Jésus Christ. Nous sommes rachetés par notre frère, Jésus Christ. Spirituellement, ils nous rachètent.

Nous n'avons pas à attendre le retour de Christ. Nous pouvons avoir cette réconciliation. Chaque fois que nous allons devant le trône de Dieu pour lui demander de nous pardonner, nous pouvons être pardonnés et racheter. Mais pour que cela se produise, nous reconnaissons qu'on ne peut pas faire cela nous-mêmes. Nous avons besoin de ce parent, de ce frère, qui paiera le prix pour moi. Et nous savons que Christ a payé ce prix.

Parce que je mérite la mort. J'en ai dit, le salaire du péché, c'est la mort. C'est ce que j'ai gagné. C'est ce que j'ai dû. La mort. Comment est-ce que je peux être racheté de la mort ? Parce que j'ai un frère, qui est parfait. Un grand frère qui n'a jamais pêché. Celui qui est l'ultime rédempteur.

Mon rédempteur, mon frère, est né. Et sa vie n'a pas seulement payé pour la mienne, elle a payé pour l'humanité entière.

Si donc cette leçon spirituelle vient au premier plan tout au long du Nouveau-Testament, vous pourriez simplement écrire titre 2 verset 14, qui décrit notre sauveur, qui nous rachète de tout acte illégal et nous purifie en tant que son propre plope spéciale. C'est Jésus-Christ. C'est notre frère-aîné. Notre frère-aîné a fait exactement cela pour nous. En fait, il a une grande récompense qui l'a en réserve pour nous. En fait, une partie de ce timing, c'est au bon moment, comme nous lisons dans un Quarantien 15, exactement au moment où Christ revient.

Cela vaut pour nous aussi dans notre appel. Pourquoi ça me nous appelait maintenant et d'autres plus tard ? Je crois que c'est le bon moment pour nous. C'est notre meilleur temps. C'est le moment où nous avons la meilleure chance de faire partie de la famille de Dieu. C'est notre temps. D'autres viennent à d'autres moments. Mais le timing pour nous, comme le jubilé, c'est un timing parfait pour que nos dettes, nos péchés puissent être pardonnées. Il y a un autre aspect, je pense, qui est aussi intéressant quand il s'agit du jubilé.

Il y avait un groupe de gens qui n'avaient pas une partie de la terre, qui ne recevait pas d'héritage dans la terre, qui ne recevait pas de terrain. Vous savez qui ils étaient ? C'étaient les sacrificateurs, la tribu sacerdotale, les lévites. Au lieu de recevoir des biens comme tous les autres tribus, comme les terres, ils ont reçu des villes.

Il y a certaines villes dans lesquelles ils pouvaient rester. Il est question de cela dans les vitiques 25 verset 32. Les vitiques 25 verset 32. Remarquez ce qu'il a dit au sujet des lévites et cette connexion au bon moment, le jubilé, et cette connexion à l'antitipe au retour de Christ.

Les vitiques 25, remarquons le verset 32. Verset 32 il a dit, «Quand aux villes des lévites et aux maisons qu'ils y possèderont, les lévites auront droit perpétuel de rachat. Celui qui achètera des lévites une maison sortira au jubilé de la maison vendue et de la maison. Les maisons des villes et des lévites sont leurs propriétés au milieu des enfants d'Israël. Les maisons autrement ne faisaient pas partie du jubilé. La terre faisait partie du jubilé. Le travail de l'homme, le logement, ne faisaient pas partie du jubilé. C'était la terre et les gens qui ont été libérés.

Le seul groupe pour lequel il est différent était celui des lévites. La famille s'assert de tales.

On leur a donné des maisons. C'était leur possession dans leur ville. C'était leur possession. Bien sûr, vous pensez à ces villes en particulier. Ces villes étaient des lieux privilégiés pour la famille des sacrificateurs. Que sommes-nous destinés à devenir ? Lorsque nous attendons avec impatience la résuration, que dit l'apocalypse à notre sujet ? Quelles seront nos devoirs, nos responsabilités ? Bien l'apocalypse parle de roi et de sacrificateur, d'un royaume de sacrificateur, qui serviront Dieu, qui l'aideront pendant cette période du millénium. Nous sommes vraiment un antityp du groupe de personnes s'asserts d'hôtales, des lieux vit ici dans les vitiques 25C. Sacrificateur était un type de Christ. Et par extension, qu'est-ce que notre souverain sacrificateur a préparé pour nous ? Avoir-nous aussi une ville qui l'a préparé pour nous ? Également, Hebreu 11 en parle assurément. Abraham attendait avec impatience cette ville qui a des fondations. Cette ville, un architecte qui est le constructeur dont Dieu en est le constructeur lui-même. C'est ce que nous attendons avec impatience. Le jubilé est un thérapelle, non pas d'une ville, les vitiques temporaires, mais en fin de compte de l'avenir. La nouvelle Jérusalem, c'est ce vers quoi le jubilé pointe, nous indique. Le jubilé indique une ville qui a des murs qui ne peuvent pas être détruites.

La ville antétique de jubilé est la ville que nous allons recevoir. Cette ville qui descendra du Père, du ciel, que Dieu finalement veut, que nous, comme les Lévites, habituons avec lui, qu'il sera finalement notre demeure.

Christ a parlé de ce moment-là même. En fait, le jubilé qui indiquait cette époque, lisez Luc 4 verset 14.

Nous voyons en quelque sorte à résumer de ces diverses choses qui... Tout tourne autour du type de l'antitype de ce que représente le jubilé.

Luc 4 verset 14. Commençons verset 14.

Allons, revenons un petit peu en avant.

Oui, d'accord. Verset 14. Il a hésité, là.

Jésus, revêtis de la puissance de l'esprit, retourna un galilé et sa renommée, se répondit dans tout le pays d'alentours. Il enseignait dans les synagogues où il était glorifié par tous.

Au verset 17, il entre dans la synagogue au verset 16 et au verset 17, on lui remit le livre du prophète des aïes, l'ayant déroulé, il trouve à l'endroit où il était écrit. Il commence à lire.

Pour proclamer au captif la délivrance et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour envoyer libre les apprimés, pour publier une année de grâce du Seigneur.

Ensuite, il roula le livre, le remit au Seigneur et s'assit. Alors, il commence à leur dire aujourd'hui cette parole de l'écriture que vous entendrez est accomplie.

Il a proclamé l'année du Seigneur, l'année, une année de grâce du Seigneur, une année où Dieu ferait preuve de davantage de grâce. Et pour les enfants d'Israël, c'était l'année où il devait faire entièrement confiance à Dieu, être dépendant de Dieu complètement, non pas le Christ, venait proclamer le jubilé spirituel, l'année qui plaira le plus à Dieu, l'année de la libération, l'année où sa grâce sera enfin donnée à tout le monde. Vous voyez, Jésus Christ a certainement accompli cela lors de sa première venue. Et Jésus Christ est notre jubilé. Nous n'avons pas à attendre 50 ans pour trouver notre liberté, notre rédemption. Nous n'avons pas besoin d'attendre. Nous pouvons avoir un renouvellement dès maintenant. Et pour vous et moi, l'année de la faveur de la grâce du Seigneur est maintenant. Si nous l'acceptons, je dis si nous l'acceptons. Dieu nous a invité, Il nous a allor. Il s'est occupé de nous. Et dans un sens, c'est un jubilé perspectuel.

Si nous restons en lui, ce n'est pas juste une fois par an, comme les souverains-sacrificateurs entrent dans le Saint-Déceint. Pour nous, c'est une relation continuelle avec Dieu. Nous vivons dans le Saint-Déceint, parce que nous avons cette relation continuelle avec le Christ. Cela nous est rappelé à travers le jubilé, à travers ces quatre points qui sont en fait en acronyme.

En anglais, l'acronyme, c'est freedom and call stop timing fast. Mais cela ne marche pas en français. Donc, c'est la liberté. Et cet acronyme, en anglais, épèle le mot fast, qui veut dire jeûner. Cela ne marche pas en français. Le jeune et ce qu'il représente est absolument essentiel pour notre survie spirituelle. Nous devons nous soumettre à Dieu dans la prière, dans le jeune et lui faire confiance. Nous allons au-delà de la chair. L'espiation nous rappelle de cela. Le jubilé nous le rappelle certainement. Nous devons tout tourner, dépendre entièrement de lui pour tout. Nous rejetons, s'attends, nous l'avons déjà mis dans notre abîme, dans nos cœurs, dans notre esprit. C'est là où on veut qu'il soit. Le jeune montre que nous devons compter totalement sur Dieu, comme nous comptons sur la nourriture pour notre existence physique. Car s'abstenir complètement de nourriture et d'eau nous rappelle humainement parlant. Que nous sommes faibles ! Nous sommes faibles et nous nous rapprochons de Dieu particulièrement près de Dieu, chaque fois que nous genons. C'est le genre de jaune que Dieu bénit, en fin de compte.

Alors n'oubliez pas, c'est une journée incroyable, avec tant de belles facettes de signification.

Et donc nous genons, c'est le jour des expiations. Alors assurez-nous que le jubilé a commencé dans notre vie.

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Steve est un pasteur de l’Église de Dieu Unie à Cincinnati dans l’État de l’Ohio aux États-Unis. Il est également professeur à l’Ambassador Bible College et l’un des présentateurs de l’émission Beyond Today. Il sert Dieu et Son peuple avec sa femme Kathe depuis plus de 25 ans.