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... Encore, bonsoir à tous ! C'est bien que vous pouvez être avec nous aujourd'hui. Je vous espère que si vous m'écoutez maintenant, vous considérez la prière comme une partie importante de votre vie. Ce serait une bonne chose, bien sûr. Cependant, en réalité, des personnes de nombreuses confessions religieuses prient et diffèrent en Dieu. Mais nous seulement, les chrétiens, les hindous et d'autres traditions religieuses recherchent l'intervention d'une puissance supérieure dans leur vie. Mais les personnes qui ne croient qu'en théorie, en Dieu, peuvent également prier lorsqu'elles se trouvent dans une situation difficile. De nombreuses prières sont souvent formulées ainsi. En mon Dieu, bénémoire, garde-moi en bonne santé, protège-moi le travail, aide-moi à gagner plus d'argent, protège ma famille du mal, etc. Mais je vous invite à vous rapporter à Jean XIV et pour Dersse 12 à 14 et lire la promesse que la Christ a faite à ce qui le suivrait. Et peut-être pendant ce sermon, on peut voir les prières dans une mania différente que j'ai juste mentionné. Donc, Jean XIV, Dersse 12, on peut lire ensemble, ensemble je suis ici, dans Jean XIV, Dersse 12, et dit, en verreté, en verreté, je vous le dire, celui qui croit en moi fera ainsi les oeuvres que je fais. Et il en fera de plus grande parce que je m'en vais au Père. Et tout ce que vous demanderez à mon nom, verset 13, je le ferai enfin que le Père soit glorifié dans les fils. Si vous demandez quelque chose, en mon nom, je le ferai. Et basé ce passage, nous conclurons nos prières dans l'Église de Dieu, à part la phrase nous adressons cette prière en nom de Jésus Christ. Donc, mes prières, je demande tout cela en nom de Jésus Christ. Je vous dis ça aussi, vous le direz ça aussi. Nous demandons donc à Dieu d'attendre nos prières à notre frère anné, Jésus Christ, d'interceder à notre faveur. Nous avançons dans la foi, dans cette manière. Mais que se passe-t-il s'il apparaît que nos prières ne sont pas excossés ? Que faisons-nous ? Tu n'as-t-il pas en arrêt la promesse d'ici de Jean XIV ? Vous pourrez dire, non, je suis dans l'Église de Dieu depuis de nombreuses années, et je sais que mes prières ne doivent pas être centrés ce mois, je sais que mes prières doivent être agréables à Dieu, et je comprends qu'il se peut que je ne obtienne pas la réponse que j'attendais. Même si vous avez une attitude comme cela, un mur et sage à la gare de la prière, chacun d'entre nous est confronté à des moments de sa vie où il peut être décorégé. Il se demandait où est Dieu et pourquoi il permet que certaines choses se progrise dans notre vie. Nous pouvons désseparément souhaiter l'égarisation, le soulagement de l'épreuve qui ne vient pas.
Je me souviens lors de mon dernier voyage en Côte d'Ivoire, j'ai eu le plaisir de revoir un homme à l'Assemblée, nommé Armand. Bien sûr, j'ai pris avant et après chaque jour pendant mon séjour là. Il y a ce monsieur, il avait assisté à la glise il y a des années, il a été éloigné, et il a été revenu depuis quelques temps. Il a été enthousiaste et engagé pour le partage de Messages de Royaume. C'est une année à calme et son histoire m'a inspiré. Le lendemain de mon départ de Côte d'Ivoire et de mon retour en France, j'ai réussi un message au TAP, un informant qu'il était gassé d'é.
Subitement, la nuit précédente, il avait une quarantaine d'années, des enfants jeunes et ados, mais il souffre de malades non diagnostiquées, il était entré à l'hôpital un jour même, un jour pour mourir le soi-même.
Pourquoi Dieu permet-il cela ? Comment se fait-il que nous vivons dans la prospérité en France et au Canada et que nos phrases et ceux dans le pays, le monde entier, vivent dans l'instabilité politique, le monde de soins médicaux et l'absence d'opportunités économiques ? Vous pourrez connaître et intellectuellement les réponses, mais notre cœur souffre. Pour ceux qui nous aimons et qui souffrent aujourd'hui. Le salaire auteur et théologien britannique C.S. Lewis a parlé de ce type de lutte dans un livre intitulé « Apprendre la mort » Apprendre la mort en français, c'est un grief absolu en anglais.
Et ce livre est une réflexion sur une période difficile de sa vie après avoir perdu sa femme dans le cancer. À propos de la mort de sa femme, il a écrit ceci. Ce n'est pas que je sois, je pense, en grand danger de cesser de croix en Dieu.
Le vrai danger, c'est d'en arriver à croire des choses aussi terribles à son sujet. Le conclusion que je redoute n'est pas, après tout, il n'y a pas de Dieu, mais c'est ainsi que Dieu est vraiment. Donc ça, c'est souvent le cas quand nous nous trouvons dans une situation comme ça. Si vous avez été dans une situation difficile et si vous êtes dans cette situation maintenant, si vous êtes prêt à être honnête avec vous-même sur ce que vous ressentez lorsqu'un être cher et malade depuis longtemps et quand le monde de votre famille meurt, alors nous pouvons discuter ouvertement de la manière de faire face à ce qui semble être des prières non excers, excossés.
Aujourd'hui, je m'aurai parlé de ce que l'on appelle, comme une ment, la prière non excossée. La Bibériture, en exemple, de prières excossées d'une manière inattendue, des réponses comme non, ou par maintenant, des réponses sur la forme d'une silence, d'un silence et des réponses qui ne prennent tout leur sens que les années plus tard. Et j'espère qu'en parcourant ces passages bulles-biques, vous pourrez y trouver votre situation de vie et être fortifié si vous êtes découragé. J'ai appris de ces exemples moi-même et j'espère que vous en ferez autant.
J'espère qu'en discutant, nous pourrons être honnêtes sur ce que nous ressentons à l'égard de Dieu dans les moments où nos prières ne semblent pas être entendues. Être honnête et apprendre à parler avec Dieu et avec nos phrases et ses ancrices est le seul moyen de commencer à voir ce qui se passe réellement. Le titre de mon message d'aujourd'hui est « Se rapprocher de Dieu par la prière non exhaustée ». Se rapprocher de Dieu par la prière non exhaustée. Nous avons abordé trois points. Est-ce vraiment possible qu'une prière ne soit pas exhaustée ? Les prières non exercées sont-elles dues à une manque de foi ?
Et comment vivre avec une prière dans la repense et être un nom ? Ou pas maintenant ? Ça arrive peut-être. La repense peut-être c'est pas non, mais peut-être pas maintenant. Commençons pas notre première point. Est-il vraiment possible qu'une prière ne soit pas exhaustée ? La repense à cette question est oui et non. Je vous invite à lire 1-5-0-28, verses 5 et 6, et à découvrir une prière qui n'a pas été exhaustée.
Donc 1-5-0-28, 1-5-0-28, verses 5 et 6. Ici, verses 5, à la vue du camp de Philistine, ça oule, foussaie, des craintes. Et un violent tremblement s'empera de son coeur. Salut, verses 6, consultez les cannelles. Les cannelles ne répondent du point. Mi par des sangs, ni par l'orune, ni par les prophètes. Ce verse indique clairement que Dieu ne répond pas en salut. Recortez-vous 1 Samuel 14, verset 37, jusqu'à quelques pages avant. 1 Samuel 14, verset 37.
Et on peut lire un autre exemple. Verset 37, oui. Il dit, et ça, consulta Dieu, descendrait, descendrait Dieu, après les Philistins, les libraitues entre les mains d'Israël. Mais à ce moment-là, il ne lui donnaient point de réponse. Donc voilà deux exemples. Ici, de refus de Dieu, d'exaucer une prière. Donc le réponse est oui. Et souvent, lorsque nous pensons à une prière non-exaucée, nous pensons à une prière par laquelle nous ne recevons pas la chose que nous avons demandé. Reportez-vous, s'il vous plaît, à 2 Samuel 12, verset 15, et lisons où Dieu a recondu à une prière mais par un non. Non. 2 Samuel 12. Nous sommes toujours dans l'Ancien Testament. 2 Samuel 12, verset 15. Maintenant.
2 Samuel 12, verset 15. Le contexte, je peux mentionner que le contexte de ce passage est que David a connu la dotère avec Bathsheba, très connu, très fameuse, insamuse, et qu'elle est tombée enceinte. David fait alors tuer le mari de Bathsheba. Pour tard, le prophète n'a tant confondre David. Nous voyons que Dieu permet à l'enfant né de Bathsheba de tomber malade. Lisons la réaction de David ici. Verset 15, je vais juste vérifier. Verset 7, par contre. David prie à Dieu pour l'enfant et jeune homme. Quand il rentre, il passa la nuit couchée par terre. Les anciens de sa maison insistèrent auprès de lui pour le faire lever de terre, mais ils ne volaient point. Et ils ne mangeaient rien avec eux. Le septième jour verset 18, l'enfant mourut. Ah non, l'enfant mourut. David a prié et même jeûné pour que son fils soit épaigné. Et la repense a été non. Techniquement, il s'agissait d'une réponse à sa prière, mais ce n'était pas la repense que David souhaitait. Je pense qu'à ce moment-là, David a probablement considéré sa prière comme non-exaucée. D'autre part, la Bible révèle que lorsque nous prions, nous devons savoir que Dieu nous reprendra. La réponse à la question est donc également oui. Reportez-vous, s'il vous plaît, à Jacques 1. Jacques 1. Maintenant dans le nouveau testament, peut-être plus applicable, plus pertinente pour nous comme les chrétiens de Nouvelle Alliance. Jacques 1. 5. Il dit, si quelqu'un d'entre vous montre de sa geste qu'il la demande à Dieu, qui donne à tous simplement et sans reproche, et elle lui sera donnée. Jacques 1. 6.
C'est un problème consistant dans tous ses voies. Donc, c'est intéressant. Selon mes études à ce sujet, je pense que cette infraction pour nous est plus pertinente. J'espère que nous ne sommes pas dans une situation comme celle de Sa'ul dans mes exemples précédents. Mais, pour nous, nous sommes en train de nous empêcher gravement, comme David, nous comprenons que nous pouvons effectivement recevoir une réponse, mais ce n'est peut-être pas ce que nous voulons, mais plutôt ce dont nous avons besoin.
Nous pouvons avoir confiance dans le fait que Dieu est là et qu'il suscite de nous. Nous sommes convaincus qu'il y a une raison pour laquelle nos prières ne sont pas extorsés comme nous le souhaitant. C'est la définition de la foi que nous lisons dans Ébreu 11 verset 1. Ébreu, je sais juste que 1 de page avant, vous pouvez simplement lire avec moi.
Ébreu 11 verset 1 est dit, or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celle qu'on ne voit pas. Pour la foi pour se aider verset 2, les anciens ont obtenu une témoignage févérable. Notre foi repose ce l'assurance que les choses que nous espérons que ce soit dans la prière ou dans notre vision de l'avenir serait le raison. Notre foi repose une démonstration de la puissance de Dieu qui ne peut être mesurée scientifiquement dans certaines carnet, qui nous a été némoins démontré. Nous sommes convaincus que, quelle que soit, le résultat de nos prières sont entendus. Existerait-il une prière non excursée ?
Oui. Mais pour nous aujourd'hui, nous devons comprendre que Dieu nous entend toujours même si la repense n'est pas celle que nous souhaitons. Donc, on peut voir les deux exemples, mais pour nous, je crois qu'elle est claire, que Dieu est toujours là, toujours.
Mais peut-être, il ne reprend pas dans une manière que nous demandons. Passons au deuxième point. Les prières non excursées sont-elles d'où un manque de foi ? Un manque de foi de notre part ? Comme pour notre première question, la réponse est oui. Et non ! Reportez-vous à Jacques 5 et verset 14. Lisez en quelque chose, nous sommes juste dans le même chapitre, Jacques 5 verset 14 et 15. Lisez en quelque chose qui montre que notre niveau de foi peut effectivement effectuer le résultat de nos prières. Jacques 5 verset 14. Quelqu'un parmi vous est-il malade ?
Il appelle les anciens de l'Église et que les anciens prient pour lui en loignant l'huile, en nombre de Seigneur. Ça, c'est notre pratique dans l'Église de Dieu. Et verset 15 maintenant, la prière de la foi souverra le malade. Et le Seigneur le révélera et, s'il a commis des péchés, il lui sera pardonné. Ce passage est intéressant car il part d'une prière de la foi qui a un résultat. Le remarque est maintenant comment cela est répété verset 16. Confessez donc vos péchés les uns aux autres et priez les uns pour les autres afin que vous soyez guerri.
La prière est glissante, juste à une grande efficacité. Nous ne pouvons pas ignorer le contraire de ce qui est enseigné ici. Si certaines prières sont très efficaces, d'autres peuvent l'être moins. Si la prière de la foi sauve le malade, une prière qui n'est pas faite avec foi peut ne pas sauver le malade. Même si nous n'aimons pas penser que nos prières sont peut-être efficaces, nous devons nous rendre à l'évidance que Dieu est sans doute en train de travailler avec nous au niveau spirituel.
Il désire que nous grandissons, grandissions dans la foi envers lui. Parfois, il attire notre intention en permettant que des difficultés dans nos vies nous permettent de nous rapprocher de lui. Et dans ce processus, nous grandissons dans la foi alors que nous entendons patientement que Dieu intervienne. Je connais personnellement des gens qui, lorsque je leur demande de prier pour une situation donnée, j'ai l'impression que Dieu entend leur prier plus que le mien. Elle intercède en ma faveur.
Jésus Christ est bien sûr l'exemple utile de ce type d'intercession. En souffrant, à l'exemple du Christ, nous pouvons nous rapprocher plus profondement de Dieu. C'est intéressant. Je vous invite à lire 1 Jean 3. Nous sommes toujours juste pas loin. 1 Jean, chapitre 3 verset 21.
21 à 23. Ça nous donne un exemple vraiment robuste d'une prière, une personne qui est vraiment proche de Dieu. Dans 1 Jean 3 verset 21. Bien aimé. Si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l'assurance devant Dieu. Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui parce que nous gardons ces commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. Verset 23. Essayez-ci son commandement, que nous croyons en nom de son fils Jésus Christ et que nous nous aimons les uns les autres selon le commandement qui nous a donné.
Interessant. Oui, le commandement qui nous a donné. Nous avons une description solide d'un croyant qui vit et marche dans la foi et qui comprend comment sa vie s'aligne à la volonté de Dieu et qui vraiment comprend le rôle de Jésus Christ. Nos prières ne visent pas à devenir riches ou à avoir une vie sans problème, mais à nous faire grandir à l'image de Jésus Christ et à devenir un avec notre Père céleste. Nous respectons ces commandements. Bien sûr, ça c'est le base. Il faut émettre par garder ces commandements. Nous faisons confiance au chef de l'Église Jésus Christ. Nous faisons preuve d'amour envers notre frère et même s'il fait des choses qui nous déranges de temps en temps. Nous recevons de lui les choses que nous demandons, lorsque nous demandons les choses que Dieu désire également dans notre vie. Ça, c'est un problème. Souvent, je vous invite à lire Jacques 4 et Verset 3. Jacques, J.4 et Verset 3, on peut voir facilement qu'il y a un problème, il y a des situations où nous demandons des choses qui n'est pas bon. Je vous invite à lire Jacques 4 et Verset 3. Vous demandez et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos patients. Peut-être, pardon, pour être exaucé, nous ne devons pas demander mal. Et pour notre propre bénéfice parfois, nous sommes tellement frustrés par une situation dans notre vie et dérangés par l'absence de repense de Dieu que nous commençons à penser différemment. Nous pouvons être tellement convaincus de notre propre vérité, de notre propre justice, que nous nous demandons de plus en plus où est Dieu. Comme l'a écrit C.S. Lewis, nous pouvons nous demander quelle genre de Dieu nous permettrait d'être dans une telle situation. Personnellement, au début de ma carrière, dans la finance il y a longtemps, j'avais l'impression qu'on ne me donnait jamais de promotion et qu'on ne remarquait pas les avantages que j'ai apporté à l'entreprise. C'était frustrant pour moi et il me semble que Dieu ne reprend pas à mes prières.
Ce n'est pas que plus tard que j'ai commencé à comprendre que c'était vraiment moi le problème. Ma perception de moi-même était erronée et j'avais une façon de penser au niveau personnel et professionnel qui devait changer. J'ai dû m'examiner et demander à Dieu de me réveiller ce que je devais apprendre. Ce n'est que à ce moment-là que mes prières ont commencé à être exhaustées et que Dieu m'a avalé les choses spirituelles que je devais changer.
Les prières non exhaustées sont-elles dues à une manque de foi ? La repense est oui et non. Cela dépend de votre situation personnelle. Nous pouvons vraiment croire que Dieu nous donnera une réponse, mais nous pouvons aussi être aveuglés par notre propre orgaï et nos problèmes et penser que Dieu ne peut pas reprendre à nos prières de la manière dont nous le souhaitons. Venons à notre dernier point.
Comment vivre avec une prière dans la réponse ? Il est non. Ou peut-être pas maintenant. C'est l'une des situations les plus difficiles pour un chrétien. Nous pouvons nous trouver dans la situation que je viens de décrire, où nous n'avons pas encore vraiment vu ce que Dieu veut nous révéler. Il se peut que nous ne puissions pas encore voir et comprendre que ce que nous demandons n'est pas la résultat que Dieu désire.
Il se peut aussi que Dieu travaille puissamment dans d'autres domaines de notre vie et que nous ne pouvons pas voir. On ne peut pas voir la chose qui fait dans d'autres domaines. On focalise sur quelque chose et voilà, on ne peut pas voir les miracles qui est accompli dans d'autres domaines de notre vie. Il y a quelque soit la raison pour laquelle, ne pensons recevoir un nom ou une réponse par maintenant, il y a un racisme ébrique qui peut nous aider, mais qui contient également le risque de nous égarer.
C'est l'histoire de la Vovre et de Juge dans Luke 18. Je vous invite à vous reporter à Luke 18 et verser 1 à 8. C'est une bonne exemple de prière. Il y a des choses qu'on prend des cibles bien sûrs. On va lire tout le parobol dans Luke 18 et verser 1 à 8.
Je vous invite à lire avec moi. On peut commencer verser 1 et dire que Jésus le adressa à une parobole pour montrer qu'il faut toujours prier et ne point se relâcher. Il dit verser 2. Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait point Dieu et qui n'avait des gardes pour personne. Il y avait aussi dans cette ville une Vovre qui venait de lui dire, pardon, faites-moi justice de ma partie adverse.
Il y avait en fait des gardes pour personne, mais ensuite il dit en lui-même, quoique je ne craigne point Dieu et que je n'ai des gardes pour personne, n'est moins parce que cette Vovre n'apporte une, je lui ferai justice. Enfin qu'elle ne vienne pas sans cesse, ne m'a cassé la tête.
Le Seigneur ajouteur attendait ce que dit le juge Ennick, et Dieu ne ferait-il pas justice à ses allus qui craignent à lui et qui crient à lui jour et nuit, et tardent-ils à leur égard ? Je veux lui dire, il le fera promptement justice, mais quand le Fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? Ok, nous lisons cette histoire, nous pouvons en réduire que la clé d'une prière non exercée est la perce d'avance. Nous pouvons lire la dernière ligne en verset 8 et conclure que nous devons simplement demander plus souvent et avoir plus de foi.
Mais nous pouvons tomber dans le piège qui consiste à dire que les prières exaucées dépendent de l'entensité de notre travail, de notre intensité de prières et de nombre de personnes qui prient pour une situation donnée. Nous pouvons devenir très exigeants envers Dieu, demandant. Ça c'est la clé. Mais ça c'est un piège. Est-ce que vraiment le but de cette parbole, devant nous, continuez à prier jusqu'à nous forciant Dieu, à nous rependre ? Comme pour la plupart des choses dans la Bible, nous devons examiner le contexte de ce parbole.
Ce verset se comprend mieux comme un prolongement de la parbole que Jésus a raconté dans le deuxième parti de chapitre 17, ce lavagement de royaume de Dieu. Dieu donnera justice à son peuple de Dieu. Dieu donnera justice. Cette dame demande la justice. Remarquez à nouveau le verset 7 du chapitre 18. Il dit, et Dieu ne forâtait pas justice à ses élus qui crient à lui les jours et nuit.
Et t'adirait-il à leur égard ? Nous attendons patientement la vraie justice de Dieu à l'égard de monde actuel dans lequel nous vivons. Et Dieu est juste pour nous venger lors de retours de Jésus Christ. Entre-temps, nous devons faire face aux juges injustes et du monde et aux personnes qui ne craignent pas Dieu. Nous prions et n'abandonnent jamais.
Jésus a dit dans Matthieu 7, verset 8 et 9, ce n'est pas nécessaire de le reporter, qui compte que devant le reçoit, celui qui cherche trouve et l'on ouvre et celui qui frappe. Lequel donnera une prière ? Pardon. Qui donnera une pierre à son fils s'il lui demande de peint ? Dieu n'est pas un juge injuste qu'il faut assaler. Il est un père, un mot qui souhaite que nous sentions aimer et sachant qu'il prend soin de nous.
Il désire nous donner les désirs de notre cœur. Si il ne reprend pas toujours comme nous le souhaitons, c'est qu'il comprend l'objectif qu'il a pour nous. Donc le point ici dans Luke 18, c'est la justice ultime et ne pas perdre l'espoir que Dieu est toujours là. On demande toujours, mais ce n'est pas de forcer Dieu de faire quelque chose pour nous. C'est pour comprendre que la foi sera toujours là. Ce n'est pas de forcer Dieu de faire quelque chose pour nous, mais de s'y faire confiance. On va recevoir la justice par le retour de Jésus Christ, comme il est écrit dans la deuxième partie de verse 17.
Je vous invite à vous reporter à 2 Corinthians 12, verse 7 et 9, et lire comment le Pôtre Paul a appris cette lussant. 2 Corinthians, verse 12 et 7. Il a dit ici, « Et pour que je ne sois pas enflé d'Augay, à cause de l'excellence de ces révélations, il m'a été mis une échelle dans la chair, un ange de certains pour me souffléter et m'en empêcher de mon Auguayir. Trois fois j'ai pris le Seigneur de l'Aéloignée de moi et il m'a dit ma grâce de ce fille.
Donc, ce n'est pas une question de demander quatre fois, cinq fois, dix fois, douze fois, non, et de demander trois fois. Et la réponse est « Ma grâce de ce fille, je voudrais m'arrêter ici, au milieu de verse 9, car je pense qu'il y a des points importants à souligner. En un sens, Dieu a dit non à Paul, mais il lui a fait comprendre qu'il y avait quelque chose d'important dans cette épreuve, quelque chose qui voulait que Paul apprenne. Nous pouvons lire rapidement cette première partie et pas intérérériser à quel point cette épreuve était difficile pour la pote Paul. Je ne sais pas si vous avez déjà eu un écharpe dans la main, le pied, il peut vous faire très mal et c'est infecté. Ok, un écharpe. Je crois que peut-être on peut comprendre cette douleur avec une histoire. Il y a une histoire célèbre aux États-Unis d'un homme qui s'est rendu chez le dentiste en se plaignant d'un mal de tête et d'une rage de dedans. Lorsque le dentiste a fait des radiographies, il a découvert que l'homme avait un clou dans le cerveau. Oui, un clou dans le cerveau. L'homme travaillait dans le bâtiment et utilisait régulièrement un pistolet à clou dans la cadre de son travail de construction de maisons. Aux États-Unis, de nombreuses maisons sont construites en bois et de longs clous sont utilisés pour fixer les pièces de bois ensemble. Au lieu de l'utiliser un manteau, il existe un pistolet à clou spécial qui enfonce les clous dans le bois. Apparemment, il s'était accédentiellement enfoncé un clou dans sa tête sans son vent en compte. Le clou était étouattre. Il ne saignait pas beaucoup. Cependant, cela lui donnait des douleurs dans ses dents et dans sa tête. Et ça arrive le mot de tête. Lorsque nous pensons à une écharpe dans la chair, comme dans cet exemple, je pense qu'on peut imaginer que Paul se promenait avec un clou dans la tête. Il y avait un mal de tête terrible tout le temps. On ne sait pas exactement l'épreuve que Paul a subie ici. Il y a des spéculations qui est quelque chose avec ses yeux. Mais le point qu'il demande à Dieu de exaucer ses prières, si c'était vous, ne voudrez-vous pas, quand vous enlève le clou, Dieu ne voudrait-il pas que cette douleur s'asse ? Je vais remarquer la réponse de Dieu vers 9 et 10. Il m'a dit, ma grâce, tu suffis, car ma puissance accomplie dans la faiblesse. Je me glorifiais donc bien plus volontaire de mes faiblesse. Enfin que la puissance des Christes repose sous moi. Pourquoi je me plais dans les faiblesse, dans les autrages, dans la calamité, dans les persécutions, dans les détresses pour Christ ? Car quand je suis faible, c'est alors que je suis fort. Paul a appris que tout comme le jeune et la faiblesse physique qui l'accompagne conduit à la force virtuelle en nous rapprochant de Dieu, de même sa faiblesse physique le conduisait à avoir une plus grande force spirituelle. Parfois, une période d'attente, de la réponse de Dieu à nos prières peut approfondir et renforcer notre confiance en Dieu. Nous apprenons à attendre Dieu. Comme je l'ai dit dans le titre de ce message, nous pouvons nous rapprocher de Dieu par des prières non-exorcées. L'Obsan 13 nous montre que David comprenait que parfois dans son intent, il avait besoin de s'approcher de Dieu et de s'en apprendre davantage sur sa grâce. Paul a reçu un enseignement sur la grâce de Dieu. Je sais que, personnellement, dans mes épreuves, j'avais besoin de mieux comprendre la grâce de Dieu. Faut me terminer ce point-là où j'ai commencé dans Jean 14. Quand je pense que nous passons parfois à côté d'une partie importante de ce que cela signifie, je demande quelque chose au nom de Jésus. Donc revenons, s'il vous plaît, à Jean 14 et verset 13. Et verset 13.
Il est devenu aboutir à ce que Dieu soit glorifié. Ce n'est pas nécessaire de le reporter, mais dans l'Option 35, il demande à Dieu sur plusieurs versets de le délivrer des ennemis qui lui font à tort de mal. Plusieurs fois, il décrit une angoisse personnelle à ce sujet et il conclut son prière. Seigneur, jusqu'à quand le vorait-tu protège mon homme contre l'homme en bouche ? Et à la fin verset 18, il dit, je te louer dans la grande assemblée. Je te célébrerai au milieu d'un peuple nombreux. Et à la fin il dit, il déclère à nouveau, et ma langue célébrera ta justice. Donc, David a compris vraiment que le point de ses prières, c'est de glorifier Dieu. Nous devons nous demander si ce que nous demandons va servir à glorifier Dieu, ou simplement résoudre un problème personnel. Et si nous avons dans le passé vraiment rendu gloire à Dieu pour les réponses qui nous accortent. Je mérite que beaucoup de choses soient différentes dans ma vie. Lorsque j'écoute les récits de personnes vivant dans les pays en développement, j'entends la frustration. Et parfois la colère face à l'injustice à laquelle elles sont confrontées. Pourquoi les êtres chers mordent-ils dans la quarantaine ? Pourquoi sont-ils cambriolés ou kidnappés ? Dieu désire-t-il vraiment cela ? Dans le pays de Velepé, nous vivons plus longtemps. Et nous sommes souvent confrontés à des maladies et des problèmes de santé chroniques. Nous pouvons nous poser la même question aussi. La question est de savoir quelle solution et quelle prière vont contribuer à glorifier le nom de Dieu. Comment vivre avec une prière dans la repense d'un nom ou un parment maintenant ? Nous recherchons la grâce et la gloire de Dieu et attendant qu'ils nous vengent comme il l'a promis. Et dans ce processus, nous en venons à avoir le sens et le but plus large de ce que Dieu désire pour nous. J'espère que notre discussion a été encourageante et utile. Et en guise de conclusion, je voudrais évoquer l'ultime prière qui ne fut pas exaucée. Et à mon avis, l'exemple ultime de la manière dont comprendre le pokwap. Je vous invite à vous à reporter à Matthieu 26. Matthieu 26, verset 39. Matthieu 26, je crois que c'est important de lire ça ensemble parce que ça c'est le prière non exaucé, mais pour une raison très importante. Je vous invite encore, Matthieu 26, verset 39, à lire les paromimes du Christ, alors qu'il était confronté à sa propre mobre et la réalité des terribles souffrances auxquelles il allait faire face. Le royaume, sa véritable humanité, mais aussi sa confiance en son père. Puis ayant fait quelque part en avant, il se jetta sous sa face et pria ainsi. Mon père, si il est possible que cette coupe s'éloigne de moi, toutefois non pas ce que je veux, mais que tu veux. Jésus a recherché la volonté de Dieu et a cherché ce que Dieu voulait, parce que lui, en tant que humain souhaité, recherchant ce que Dieu veut dans nos vies et non ce que nous voulons, que nos prières soient accompagnés d'un examen, de conscience et d'une reflection profonde, qu'elle nous permettant de nous rapprocher de Dieu et de rassembler plus en plus à Jésus Christ. Merci et je vous souhaite un bon sabbat. J'ai hâte d'avoir une discussion sur ce sujet de prière non exaucée. Merci.
Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
Tim Pebworth est le pasteur des congrégations à Bordeaux et Narbonne ainsi que des membres de l'Église de Dieu Unie en France qui se réunissent chez eux. Il est également le Pasteur en charge de superviser les ministres et les diacres des congrégations francophones en Côte d'Ivoire, au Togo et au Bénin.
M. Pebworth acheva un programme de quatre ans d’études théologiques à l'Ambassador College, en Californie, aux USA. Avant de devenir Pasteur à plein temps pour l’Église de Dieu Unie, Il travailla pendant plus de 20 ans dans le secteur de la finance et de la comptabilité pour des entreprises de haute technologie, de la Silicon Valley. Il est titulaire d’un MBA en finance et est expert-comptable aux États-Unis. Lui et son épouse Maryse ont deux enfants adultes. Ils vivent en Californie et passent toutefois trois à quatre mois par an en France et en Afrique.