L'hospitalité : Une clé pour la croissance

L'hospitalité est un riche sujet biblique décrit à travers la Bible et qui nous est commandé. Comment pouvons-nous pratiquer cette importante vertu chrétienne ?

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Je vais commencer ce sermon pour dire qu'il peut y avoir un piège pour nous les chrétiens. Si nous ne faisons pas attention, nous pouvons décrire notre christianisme, non pas par ce que nous sommes, mais par ce que nous sommes pas. Nous ne mangeons pas du porc, nous ne fêtons pas de noël, nous ne croyons pas de la trinité. Voilà, ça, c'est les négatives. Ce sont des déclarations réactionnaires. Nous réagissons à une certaine norme et nous disons que nous sommes différents de cette norme. En France, au niveau le plus simple, le plus large, nous pouvons dire que si nous ne sommes pas catholiques, nous sommes alors quelque chose d'autre que catholiques. En Afrique, nous ne réunissons pas le dimanche, mais nous ne réunissons le samedi. Cependant, nous devenons défini nos christianismes par ce que signifie être un disciple de Jésus-Christ et d'écrire notre foi par nos vertus chrétiennes, par les choses que nous faisons, pas les choses que nous sommes, et non pas les choses que nous ne sommes pas. Nous voyons l'expression ultime de ce concept exprimé par Jésus-Christ en s'adressant à ces disciples lors de les dernières pacts qu'ils ont passés ensemble. Reprenez-vous, si vous plaît, à Jean XIII. Jean XIII est vers ses 34. Lisez ensemble les paroles de notre serveur. Jean XIII est vers ses 34. Ça, c'est le dernier pacte, comme je l'ai mentionné. On va aller vers ses 34 à 35. Il dit, je vous donne un commandement nouveau. Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimé. Vous aussi, aimez-vous les uns les autres. Il est vers ses 35. Ceci, tous connaîtrons que vous êtes mes disciples si vous avez de l'amour les uns ou les autres. Les relations que nous entretenons les uns avec les autres doivent servir d'exemples au monde pour savoir si nous sommes ou non des disciples de Jésus Christ. Nous pouvons penser que notre exemple pour le monde est que nous gardons le vrai sabbat de septième jour. Oui, c'est vrai, mais une fois que quelqu'un entre dans l'église de Dieu, le verset 35 est en fait ce qui destine l'action de l'esprit de Dieu en eux. Serons-nous perçus comme le peuple de Dieu par notre amour les uns envers les autres ?

L'un des traits caractéristiques de l'expression de l'amour les uns envers les autres est ce dont je voudrais parler aujourd'hui. Je précise cela parce que notre sujet aujourd'hui peut souvent être considéré comme étant une préférence, un choix personnel. Il peut être décrit presque comme un trait de personnalité. Certaines personnes sont plus simplement meilleures que d'autres à cet égard. Mais ce n'est pas vrai. L'une des caractéristiques des chrétiens est l'hospitalité. L'hospitalité. Reportez-vous, si vous plaît, un pied quatre et vers ses neufs.

Et on lire cette commande concernant l'hospitalité. Un pied quatre. Chapitre 4 et vers ses neufs. On peut lire ici que le pôtre Pierre dit « Excercé l'hospitalité, les uns envers les autres sont mumeurs ». Pierre, écrivant au chrétien reparti dont toutes les îles mineures exorment l'église à être hospitalière.

L'hospitalité est un riche sujet biblique décrit à travers la Bible et qui nous aident commenter. Pierre, ici, Paul, Jésus-Christ lui-même, en en parler. Elle est citée comme l'une des qualifications d'un ancien, d'un ministre. Et de nombreux exemples de cette pratique nous sont donnés dans l'ancien et le nouveau Testament aussi. Comment faisons-nous pour être hospitaliers les uns envers les autres ?

Comment faisons-nous preuve d'hospitalité envers les étrangers ? Sommes-nous un modèle d'hospitalité ? Aujourd'hui, je mérirai à vous parler de la vertu chrétienne de l'hospitalité. Qu'est-ce que c'est ? Que dit la Bible à ce sujet ? Et comment pouvons-nous nous améliorer dans ce domaine vital qui est l'amour chrétien ?

Le titre de message aujourd'hui est « L'hospitalité, une clé pour la croissance ». Et on va voir que c'est la croissance spirituelle bien sûr, mais peut-être physique aussi. Donc, commençons par comprendre ce qui est l'hospitalité. Qu'est-ce que c'est ça, l'hospitalité ? Donc, reportez-vous, s'il vous plaît, à Hebreu XIII et verset 1 et 2. Hebreu XIII, ça c'est juste quelques pages avant un pierre. Hebreu XIII verset 1 et 2, première partie de Hebreu XIII. Et on peut lire un passage intéressant concernant l'hospitalité. Il dit « Presse persévérer dans l'amour fraternel.

N'oubliez pas l'hospitalité qu'en l'exerçant, quelques-uns ont loger des anges sans le savoir. » Avant de nous plonger dans cette série de versets très intéressants, concentrons-nous sur le mot « hospitalité » au verset 2. En grec, ce mot est « phylozénia ». Vous connaissez peut-être la racine grec phylios, comme phyledélphie, qui signifie « amour » et « zénia », qui signifie « étranger ». Nous nous signifions donc littéralement « l'amour des étrangers ». Ou, comme le dit la concordance strong en anglais, « aimer les étrangers ». Dans notre société moderne, nous entendons souvent un autre mot, le mot « zénophobia », qui signifie « la peur des étrangers ».

Mais intéressant pour un chrétien, en lieu d'être zénophobe, nous devons être zénophiles, ceux qui aiment les étrangers. Parce que ça c'est le racisme même de ce mot « zénophile » ou « phylozénia ». Ça c'est le mot vrai ici en grec. En parlant de ce mot, le dictionary word helps la désanglais dit que le mot signifie « chaleur », « amabilité », « démontré envers les étrangers ». On sent se figurer l'empressement à partager l'hospitalité ou généoracité en recevant dans sa maison. Voilà. Donc souvent, quand on pense à l'hospitalité, comme « avoir des invités dans notre maison ».

Et bien sûr, ça c'est le sens de ce mot, mais au bas, c'est l'amour pour des étrangers. C'est la base de ce mot. L'hospitalité est définie par la Russie de trois manières différentes. Il y a dit premièrement « action de recevoir et d'herberger chez soi, graciaisement, quelqu'un par « chérité », « libéralité », « amité ».

Deuxièmement, généoracité, bienviance, cordialité, dans la manière d'accueillir et de traiter ces autres. Troisièmement, intéressant, asile, accorder à quelqu'un. Il y a un groupe par un pays. Et ici, dans le livre des hébreux, on nous dit de ne pas oublier, de faire preuve d'hospitalité, car nous pourrions même accueillir des anges sans nous en rendre compte.

Imaginez, imaginez. Et aussi, nous voyons également le lien entre l'expression de l'amour et l'hospitalité. Parce qu'il commençait au verset 1 avec « perserverer » dans l'amour fraternel. C'est intéressant de le mot « perserverer », parce qu'on pense que peut-être il faut avoir l'amour, ou c'est l'amour qui vient mérfrailement, mais il dit « perserverer ». Dans un sens, il faut continuer à voir l'amour, les uns pour les autres. Alors, quelle est votre expérience personnelle dans l'hospitalité ? À quand remottes la dernière fois où je vais faire preuve d'hospitalité envers quelqu'un ?

Et quand remottes la dernière fois où je vais faire preuve d'hospitalité envers un membre de ma famille, un ami ou un étranger ? Nous devrions nous demander, suis-je acquisant envers les autres ? Est-ce que je suis si occupé que je n'ai pas le temps pour ça ?

Ou est-ce que je me sers de mes mauvaises expériences de passer avec certains pour justifier mon manque d'hospitalité ? En 2015, un anthropologue et membre de l'Institut des migrations à Michel Agier a dirigé l'étude Hospitalité en France, Mobilisation Intime et Politique, dont l'Utime Volet a été publié en septembre 2018. Il dit, et j'ai le citation devant moi, laisse-moi citer jusque quelques phrases sur cette étude, il dit en France, nous avons quelque peu perdu les codes de l'hospitalité parce que nous vivons dans une société individualisée avec une famille nucléaire.

Nous avons encore un peu d'hospitalité pour la famille, mais goraires plus que cela. D'auprès de mon expérience, j'ai été accueillie chez des gens et j'ai reçu l'hospitalité de plusieurs en France. J'ai particulièrement vu une grande hospitalité parmi les frères et soeurs de l'Afrique de l'Ouest. Nous pouvons apprendre les uns et les autres dans ces domaines. Franchement, je pense que nous pouvons apprendre de ceux qui ne font pas partie de l'Eglise du Réussi. Mutuellement, à mon avis, nous avons peut-être perdu quelque chose de spécial en matière d'hospitalité.

Permettez-moi de vous raconter une histoire qui, je pense, sera familière à nos frères et soeurs du Canada. Il s'agit des événements qui ont entouré le 11 septembre 2001 et des étapes entre le World Trade Center et New York. En septembre après les attentats de Washington et de New York, tout le trafic ariens a été interrapu. Et de nombreuses vols transatlantiques à destination des États-Unis ont été détournés vers Ternove. L'une des villes plus touchées a été la ville de Gondé, à Ternove, qui compte 10 000 habitants, mais se jouent là 38 avions transportant 7 000 par-seins gés, et 100 atterris.

Studemment et sans préavis, cette petite ville a dû absorber 7 000 personnes, qui n'avaient aucun endroit où rester, aucune nourriture et aucun moyen de repartir. Je peux vous permettre de lire un actrait, un blog de Montréal de 11 septembre, décrivant la réaction de cette petite ville. Et ça, je cite maintenant. Il dit, les stations de télévision communitaires ont lancé un appel. Donnez un coup de main. Faire ce que vous pouvez. Les écoles et les entreprises non-issentials ont été fermées. Peu m'attends, au terme ne vient des personnes âgées aux écoliers et de se porter volontairement.

Accaillant, chère leureusement, les gens nous dit des avions. Des habitants, leurs ont fourni des reparts, des drapes propres et des douches chaudes. Les écoles, les églises et les salles de la Légion royale canadienne ont été transformées en dortoires de fortune. Certains habitants, dans le mari de la ville à Pôton, ont invité les visiteurs à rester chez eux. Les pharmacies de la région ont rempli des ordonnances sans frais. Des téléphones publics gratuites ont été installés pour que les visiteurs puissent appeler chez eux. Et les dons d'articles de toilettes, des vêtements et des nourritures ont afflué. Une grande partie de la nourriture était stockée dans le patinoir, du centre communitaire de Gandet, qui est devenu le plus grand congélateur du pays.

Une fois les besoins fondamentaux satisfaits, les terres ne vient, ne se sont employés à diverter les visiteurs. Ils ont organisé les visites de la ville, des parties de bowling, des concerts, de groupes locaux. Les visiteurs ont également pu découvrir la cuisine régionale, notamment leur agout d'original. Intorégés sur leur générasité de nombreux habitants ont répondu que leurs efforts ne sortaient pas de l'ordinaire. Pour nous, il dit, c'est juste que nos habitudes de vie a déclaré Janis Goudy, une journaliste de la presse locale. On ne tourne pas le dos aux personnes dans le besoin.

Intéressant, qu'auriez-vous fait si cela se produisait dans votre communauté ? Qu'auriez-vous, à Carille, dans votre maison des gens totalement étrangers pour le prêter à l'assistance dans un moment difficile ? L'autre a Carille des anges, dans sa maison en pensant qu'ils étaient des visiteurs de la ville. Je ne sais jamais si des membres de l'Église du Dieu étaient présents à Gandhi en 01, mais je me demande si des anges ont été à Caïre pendant cette crise.

C'est intéressant de considérer dans le contexte de seversité. L'hospitalité consiste donc à accueillir des personnes dans nos maisons, mais aussi à être gêneureux envers l'étranger qui se trouve parmi nous. En gardant cette définition à l'esprit, que dit la Bible à propos de l'hospitalité ? C'est notre deuxième point. Que dit la Bible à propos de l'hospitalité ? Reportez-vous, s'il vous plaît, à Levitik 19. Levitik 19 est verset 33. Levitik 19 est verset 33 et 34.

Levitik 19 est verset 33 et 39. Si un étranger vient séjourner avec vous dans votre pays, vous le primerai. Vous traiterai l'étranger en séjour parmi vous comme un indige de milieu de vous. Vous l'aimerai comme vous-même, car vous avez été étrangers dans le pays d'Égypte. Je suis l'éternel, votre Dieu. Dans le monde d'aujourd'hui, il y a beaucoup de méfiance et même de peur à l'égard de ceux qui sont différents de nous.

C'est pourquoi je pense que l'étude sur l'hospitalité en France était si intéressante. En gros, nous pouvons faire preuve d'hospitalité envers notre famille et peut-être nos amis, mais envers ceux que nous ne connaissons pas, c'est bien plus rare et peut-être plus difficile. Pouvez-vous me dire une question qui vous racontait l'histoire où j'ai été accueilli dans la maison d'un étranger ?

Moi, j'ai passé une année en Thaïlande, en enseigner l'anglais au début de ma vingtaine. Pendant cette période, mon ami et moi avons décidé de prendre une semaine de congé et de visiter le Nord-Est du pays. Le Nord-Est du pays de Thaïlande est la région le moins visitée du pays et également connu comme la région le plus pauvre du pays. Nous avons loué une moto et n'avons pas pris qu'un seul sac à dos pour nous deux.

Et c'est au cours de ce voyage que notre moto de la question est tombé en panne. Nous étions des pauvres étudiants et nous n'avons même pas l'argent pour aller à l'hôtel. Pour nous loger pendant ce voyage, nous poursions avec nous des lettres de monastère bouddhiste où nous enseignons l'anglais et que nous devions présenter au temple local.

La lettre d'introduction était générement suffisante pour nous permettre de dormir gratuitement dans l'encentre d'un temple bouddhiste. Et donc quand notre moto est tombé en panne, nous étions dans les pétrines. Ils nous ont dit qu'il faudra trois jours pour repérer le moto et nous avions tout juste assez d'argent pour repérer le moto. C'est juste presque rien d'autre pour manger, sans parler, bien sûr, de la reste de le voyage.

Voilà, c'est la fin de notre voyage. C'est juste repérer le moto, manger, retourner chez nous à Bangkok. C'est à ce moment-là qu'un jeune homme, probablement à la fin de son adolescence, nous a vu et nous a invité chez lui.

Il a expliqué notre histoire à sa mère, à son grand-père, ça, c'est les deux personnes dans la maison. En attendant notre histoire, il nous a immédiatement dit que nous pouvons rester chez eux, juste ce que notre moto soit réparé. Nous ne savions pas, mais le merc est parti presque immédiatement au marché pour acheter de la nourriture. Et le marché, à l'époque, dans la Taland, est comme un marché, c'est comme un marché à l'Afrique de l'Ouest. C'est plein air, beaucoup de tarts, c'est juste les légumes, les choses comme ça. C'est rien spécial que l'on en pense.

C'est ainsi qu'au commence, qu'à commencer, l'une de mes expériences le plus inhabituelle de ma vie. Nous avons passé trois jours avec cette famille, à manger des repas et à partager des histoires. J'ai appris que le grand-père parlait français et était réfugié en Talande après avoir fui le pays voisin, le Laos.

Il avait été connelé dans l'armée et avait dû fuir le pays après que les Français accordaient l'indépendance au Laos. Il y avait une profonde tristesse chez cet homme qui avait tant perdu. C'était une famille pauvre, mais très jeune heureuse. Et mon ami David et moi avons été très touchés d'entendre leur histoire et d'être invités dans leur vie. C'est le moment où j'étais ému par la gentillesse, mais en y repensant toutes ces années plus tard, je pense que le plus grand cadeau que j'ai réussi au cours de ces trois jours était de comprendre ce que l'a signifié de pratiquer leur fatalité. Quelle est votre histoire ? Avez-vous eu l'occasion d'avoir invité des étrangers chez vous ? Avez-vous reçu ce genre de gentillesse de la part d'un inconnu ?

Je voudrais citer une autre section de l'étude. Je pense que l'hospitalité en France est partenante ici. L'hospitalité est une première forme de relation. C'est le sens d'arriver. Comme Emmanuel Kant, le philosophe anglais, c'est simplement pour signifier à l'autre que vous n'êtes pas mon inimie. Invitez quelqu'un que vous ne connaissez pas chez vous, êtes un premier part vers une relation. C'est le pièce inteminière entre le vide, l'espace et la sécurité intérieure de vassaux spatiales. Vous ne savez pas ce qui peut se passer après avoir invité la personne chez nous. Peut-être que nous ne la revenons jamais, ou peut-être qu'elle deviendra notre amie, ou peut-être que quelque chose d'autre se produira. Nous ne le savons pas. Pour les chrétiens, c'est la manière dont nous laissons briller la lumière de notre exemple.

Ajussons-nous, motivés par le peur de ce qui pourrait nous arriver, ou pas l'amour d'aider d'autres y. Bien entendu, il faut faire poivre de sa geste, mais dans un monde où tout le monde se méfie et de tout le monde, pouvant nous être différents, sachant que Dieu est là et qu'il peut nous protéger lorsque nous pratiquons leur suitéalité d'un corps ouvert et sincère, avant nous jamais essayer.

Regardez l'exemple de l'Église de Nouveau-Testement, dans Act 2, vers 42 et 47. Reportez-vous, s'il vous plaît, dans le livre de Act 2, vers 42 et 47. C'est intéressant parce que, dans le XXe siècle, on peut regarder ça et dire, voilà, c'est tout les frères, les frères et ceux de l'Église. Ça, c'est l'art d'expérience, mais imaginez à cette époque, les différents personnes, c'est des mètres, des esclaves, c'est des personnes, c'est les juifs d'Israël, c'est les juifs de Babylon, c'est les juifs d'Afrique.

C'est toutes sortes de personnes. Mais qu'est-ce qu'il dit dans Act 2, vers 42 ? Il dit, ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés. Et en ce jour-là, le nombre des disciples augmentant d'environ 3000 ans, 3000 âmes, ça s'est versé 41. Il dit, il persévérait dans l'enseignement des oportres, dans l'ocumune fraternelle, dans la fraction du pain. Interessant, fraction du pain et dans les prières. Et remarquez, comment l'ocumune fraternelle, le fait de manger ensemble et le prière sont tout liés. Cette fraction de pain avait lieu dans les maisons des uns des autres. Au suivant, la lecture verset 46.

Et c'était chaque jour, tous ensemble au sud-dure temple, et rompait le pain dans les maisons, et les prenait leur nourriture avec joie et simplecité de cœur. Louvons Dieu et trouvons grâce auprès de tout le peuple, et le Seigneur ajoutait chaque jour à l'Église ce qui était sauvé. Nous voyons ici une église dynamique en pleine croissance spirituelle et physique.

Nous voyons des gens qui ne s'étaient jamais connu auparavant, apprendre à se connaître au cœur des repas et par la prière. Ait-elle-t-il des gens parfaits ? Non. Il y avait sans doute des problèmes, et Luc, l'auteur de Livres des Actes, nous raconte la thème majeure de cette époque. L'hospital était, pourrait-elle être une clé pour que Dieu appelle des gens dans son Église aujourd'hui ?

Elle était certainement au premier siècle. Au XXe siècle, lorsque j'étais enfant, l'Église de Dieu grandissait de 30% par an. Je me souviens très bien des nombreux événements où ma famille a accueilli des gens. Mon père servait dans la Congression espagnolone de Los Angeles, aux États-Unis. Nous organisions de nombreuses rencontres chez nous. Je me souviens d'une cuisine mexicaine délicieuse avec des dames qui préparaient des totilles et les partageaient avec tous les enfants.

Je me souviens de la musique espagnole dérire et du fait que tout le monde appréciaient la compagnie des autres. Marise a partagé avec moi ses souvenirs de son enfance dans l'Église de Paris. Elle se souvient de la façon dont ses parents accueillent régulièrement les gens chez eux et de la façon dont les Parisiens se recevaient les uns des autres. Je sais que nombreux d'entre vous ont pratiqué cela dans le passé. Je suis bien conscient du contexte actuel où l'âge et le fait d'avoir été si dispersé peut rendre cela difficile à pratiquer et nous faire oublier ces choses peu à peu.

Mais il est important de s'en souvenir. A cet égard, vous pouvez me mettre au moindre de citer un article de Dr Georges Ross écrit dans le blog du journal de similaires théologiques baptistes de la Nouvelle-Oliens. Laisse-moi trouver cette citation.

C'est une citation de Dr Georges Ross qui dit qu'il existe de nombreux passages de Nouveau-Testement où Paul et ses compagnons ont traité à cahir dans leur effort missionnaire. L'évangile a progressé de la maison de Lédi dans acte 16 et verset 15, dans la maison de Joliet de Philippe acte 16 et verset 34 avec Aquila et Priscilla à Corinthre dans acte 18 et verset 2 et 3. Dans la maison de Philippe à Cesseray dans acte 21 verset 8, celui-le de Malt dans la maison de Publis dans acte 28 et verset 7 avec Gheass dans Romain 16 et verset 23 et comme invité de Filomont verset 22.

Derrick Brown et Todd Twist établissent un lien entre le progrès rapide de l'Église et la pratique de l'hospitalité. Les coutumes de l'hospitalité grecque en Romain semblent avoir alimenté la croissance de l'Église primitive car les missionnaires les croyants trouvaient un logement et des provisions lorsqu'ils voyagaient pour l'amour de l'Évangile. Les missionnaires de l'Église primitive dépendaient de l'hospitalité des gens dans les régions qu'ils parcouraient. Les récits bibliques de l'hospitalité dans le Nouveau Testament révèlent la relation catholétique entre la diffusion de l'évangile et l'hospitalité dans l'Église primitive.

Quelle croissance dans l'Église de Dieu pourrait en nous voir en nous souvenant de principes simples et fondamentaux de pratiquer l'hospitalité ? Quelles souvenirs futurs seront criées grâce à l'esprit de Dieu qui nous conduit à inviter des gens dans nos maisons ? Regardez avec moi Romain 12 et Verses 10. Reportez-vous, s'il vous plaît, et jusqu'à la prochaine lettre dans le Nouveau Testament.

Romain, chapitre 12 et Verses 10. 12 et Verses 10. Il dit, par amour fraternel, soyez plein d'affactions, les uns pour les autres, par honneur usée de provenance réciproque. Eyez d'usel et non de la paresse, soyez fervent d'esprit, servez la Seigneur. Verses 12. Rejeuciez-vous en espérant soyez patient dans l'affliction, persévérer dans la prière.

Verses 13. Pourvoyez aux besoins des saints exercer l'hospitalité. Nous pourrions parcourir cette liste et être d'accord avec à peu près de tout ce qu'elle dit, jusqu'à ce que l'on arrive à l'hospitalité. C'est là que l'on se donne parfois des excuses et que nous ne considérons pas l'hospitalité comme les autres grandes vertus que sont la prière et l'étude. Bien sûr, nous devons donner la priorité à la prière et à l'étude de la Bible, mais c'est pas l'hospitalité que nous pouvons exprimer les fuits, de l'amour, de la joie, de la paix, de la bonté, etc.

Permettez-moi de dire brefement deux choses sur les raisons pour lesquelles nous n'avitons pas forcément les gens chez nous. Premièrement, il se peut que notre logement soit très petit. Ne laissez pas cela vous inquiéter. L'hospitalité n'est pas une question du maison, mais d'être ensemble. Ce souci d'endroit où nous vivons est l'expression de notre nature humaine, où nous avons tendance à nous comparer aux autres. Nous craignons que notre appartement ou notre maison ne soit pas assez bien.

J'ai tellement aimé rendre visite des gens dans des appartements d'une pièce. Bien sûr, ça arrive souvent. Et aussi, Marie-Zébois, avons aimé inviter des gens dans notre petit appartement de deux pièces quand nous étions jeunes. C'était la joie d'être ensemble qui compte. Ce n'est pas non plus le quantité de personnes, le détail de la maison. Si nous n'avons pas le place que pour une ou deux personnes, la principe d'hospitalité reste le même. Le deuxième préoccupation est que nous pouvons avoir l'impression d'être toujours celui qui invite et que personne ne nous invite. J'ai dû aborder cette question directement. Reportez-vous à Luc XIV. Luc XIV est versé 12. Luc, depuis 14, est versé 12 à 14. Luc XIV, c'est l'enseignement de notre maître, de notre souverain-sacrificateur. Qu'est-ce qu'il dit ? Il dit aussi à celui qui a avité versé 12.

Je pense qu'il est clair que Jésus voulait dire qu'il faut inviter certaines personnes et ne pas limiter ses invitations à la famille et aux amis. L'hospital était comme la môle lui-même, ne consiste pas à donner enfin d'obtenir. Il s'agit de donner et de ne s'attendre à rien en retour. Je dois également mentionner qu'il se peut que nous n'avons peut-être pas assez d'argent pour inviter des gens. Mais laissez-moi vous dire que même si tout ce que vous pouvez offrir est un verre d'eau, ou une tasse de thé, le principe est mis en pratique, le fait d'accueillir quelqu'un dans votre espace personnel pour partager quelque chose représente l'expression de cette vertu. Comment pouvons-nous améliorer notre hospitalité envers les autres ? Ça, c'est notre troisième et dernière point. Comment pouvons-nous améliorer notre hospitalité envers les autres ? Réponse à cette question dépendre de votre situation personnelle. Comme toutes choses, il s'agit d'en faire une priorité dans votre vie. Comment ne sais-tu pas vous demander à quand remotte la dernière fois où j'ai invité quelqu'un chez moi ? Si vous ne vous en souvenez pas, vous ne pratiquez peut-être pas l'hospitalité comme nous l'avons eue dans les écrits précédents. Invitez et recevez des gens chez soi régulièrement peut-être tous les mois, tous les deux mois, dépendant des circumstances. Pour certaines personnes, cela peut sembler parfaitement normal. Voilà, une fois par mois, par deux mois. Mais pour d'autres, cela peut être dérangeant, voire effroyant. Nous pouvons nous poser la question. Mais qui est-ce que je pourrais même inviter chez moi ? Voilà, c'est une bonne question. Il y a-t-il ne serait-ce que cinq ou six groupes de personnes que nous pourrions inviter chez nous au cours de l'année prochaine ? Nous pouvons inviter, bien sûr, les membres de notre famille, mais aussi nos amis, nos voisins, des personnes avec lesquelles nous travaillons. Nous pourrions dire quelque chose comme, « Eh oui, mais culturellement, ce sera très inévituel d'inviter les gens de mon travail ou mes voisins chez moi ». Mais une fois encore, c'est là que la culture chrétienne doit devenir plus forte que la culture dans laquelle nous vivons. C'est ainsi que les gens peuvent voir une différence de vie, une différence d'ouverture et de générosité. Il s'agit d'une valeur chrétienne et cela fait partie de développer en nous la culture de chrétien, qui forcément va souvent s'opposer à la culture de mode de monde autour de nous. Mais risez-moi avant invité des gens de mon travail chez nous. Nous avons parlé du travail et du travail que nous avions en commun. Au fil des années, nous avons essayé d'entretenir de nombreuses bonnes amitiés avec des personnes appartenant ou non à l'Église grâce à la communion fraternelle chez nous. Cela n'était pas toujours facile et nous n'avons pas toujours pris le temps de l'affaire aussi souvent que nous aurions aimé. Nous avons essayé de faire une valeur universelle qui transcende toutes les cultures. En ce qui concerne les membres de l'Église, vous pouvez vous faire part d'une remarque de Gary Patti, un pastor aux États-Unis qui a dit quelque chose dans un séanceux, l'hospitalité. Reportez-vous, si vous plaidez, à 1 Jean 1. 1 Jean 1 est versé 6. 1 Jean 1er Jean. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1.

1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. 1 Jean 1. Nous voulons être proches de Dieu, avoir cette communion avec Lui dont nous avons besoin. Nous devons être en communion les uns avec les autres. Et l'hospitalité est un moyen important d'être en communion mituel les uns avec les autres. Certains d'entre nous sont probablement en train de hocher la tête et d'approuver, tandis d'autres sont peut-être inquiètes ou skeptiques. Si l'idée d'inviter des gens chez vous est quelque chose qui vous dépasse, je vous encourage à m'envoyer un courriel ou à m'appeler pour me faire part de vos sentiments. Si vous avez plus de 80 ans ou si vous êtes handicapé, il se peut que vous ayez des limites physiques pour recevoir des invités. Cela est compréhensible. Il y a des raisons, bien sûr, pour que nous ne puissions pas avoir des gens chez nous. Cependant, si une personne est valide, il n'est vraiment pas de raison de ne pas pratiquer l'hospitalité assez régulièrement. En conclusion, comme je l'ai dit dans mon introduction, nous pouvons parfois définir notre christianisme par ce que nous ne sommes pas. L'hospitalité, comme le fait de toujours dire la vérité, donnerait nos parents ou de mettre de côté la journée de septième jour pour se reposer, est une caractéristique de notre marche chrétienne. L'hospitalité n'est pas une préférence ou un choix personnel. Ce n'est pas un trait de personnalité que certaines personnes maîtrisent mieux que d'autres. Tout le monde peut et devait pratiquer l'hospitalité.

Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org

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Tim Pebworth est le pasteur des congrégations à Bordeaux et Narbonne ainsi que des membres de l'Église de Dieu Unie en France qui se réunissent chez eux. Il est également le Pasteur en charge de superviser les ministres et les diacres des congrégations francophones en Côte d'Ivoire, au Togo et au Bénin.

M. Pebworth acheva un programme de quatre ans d’études théologiques à l'Ambassador College, en Californie, aux USA. Avant de devenir Pasteur à plein temps pour l’Église de Dieu Unie, Il travailla pendant plus de 20 ans dans le secteur de la finance et de la comptabilité pour des entreprises de haute technologie, de la Silicon Valley. Il est titulaire d’un MBA en finance et est expert-comptable aux États-Unis. Lui et son épouse Maryse ont deux enfants adultes. Ils vivent en Californie et passent toutefois trois à quatre mois par an en France et en Afrique.